Bacchus

beaux-arts du Canada, Ottawa — acqu. Sotheby's, 14 mai 2002). * Le sujet, tiré de la Légende dorée de Jacques de Voragine, est parfois appelé la Seconde Annonciation. * Ariane, attribué à P.B., vers 1620 (Muzeum Narodowe, Poznan). * Bacchus, attribué à P.B., vers 1620 (Muzeum Narodowe, Poznan). * Chiromancienne (Een waarzegster, die de hand leest), daté 1641 (Centraal Museum, Utrecht). * Cydippe avec la pomme d'Acontios, attribué à P.B., vers 1620 (Rijksmuseum, Amsterdam).

dignes de Bacchus*, dignes aussi d’Apollon : ses joues imberbes4, son cou éburnéen5, sa bouche charmante, et la rougeur qui colore la blancheur de neige de son teint. Il admire tout ce qui le rend admirable. 10 Dans son ignorance, il se désire lui-même et celui qui vante est lui-même vanté, tandis qu’il se réclame, il est réclamé ; il allume le feu pareillement et se consume. 1 Métamorphoses, Livre III, v.415-424, Ovide Traduction Régine David pour le Cned Notes : * Bacchus : dieu

(15Bisontin Jean Mairet (1604-1686). 75-1621) et Alexandre Hadry (1572-1632) Pierre Corneille (1606-1684) ETYMOLOGIE DE "TRAGEDIE" Nom venant du grec tragôdia, lui-même dérivé de tragôdos « qui chante pendant l'immolation du bouc aux fêtes de Bacchus » Cet adjectif est formé de deux éléments : · tragos " qui signifie " bouc " · -odos , issu de aeidô qui signifie " chanter " D'après son étymologie, le mot tragédie signifie donc au départ " chant du bouc " Ce mot est apparu en français

tribunal qui s'y tient : rend attractive(on découvre avec le héros et de manière très précise : on peut se représenter la scène) -Très longues phrases (l.36-42 surtout) souci de description -Parle beaucoup de la Grèce antique. (Pythagore, Bacchus) Des péripéties multiples: rencontre avec des animaux qui parlent, rencontre avec des gens qui courent dans tous les sens et bousculent le héros, la spectacle d'un tribunal religieux, la rencontre avec un sage indien et la mort par le feu du héros

à Pessinunte, fut placé dans le temple de la Victoire sur le mont Palatin. Il devint un des gages de la stabilité de l’empire, et une fête fut instituée, avec des combats simulés, en l’honneur de Cybèle. Ses mystères, aussi licencieux que ceux de Bacchus, étaient célébrés avec un bruit confus de hautbois et de cymbales : les sacrificateurs poussaient des hurlements. |Rhéa ou Cybèle | |“ Les tours dont sa tête est

vraisemblablement né à Rome en 264 a.C. par imitation des Etrusques afin de mettre un terme à une épidémie de peste qui frappait alors Rome. - A Rome comme à Athènes, le théâtre a un caractère religieux ; les représentations font partie du culte rendu à Bacchus, dieu de l’ivresse et de l’inspiration artistique. - Danse, chant, musique, décors, accessoires et effets spéciaux : il s’agit d’un spectacle total. I) Le lieu - Au départ c’est une construction provisoire en bois. - C’est Pompée qui fit bâtir le

appe-lait un tribunal, et sur ce banc des juges, et ces juges tenaient tous une queue de vache à la main, et ils avaient sur la tête un bonnet ressemblant parfaitement aux deux oreilles de l'animal qui porta Silène1 quand il vint autrefois au pays avec Bacchus, après avoir traversé la mer Erythrée à pied sec, et avoir arrêté le soleil et la lune, comme on le raconte fidèlement dans les Orphiques 2. Il y avait parmi ces juges un honnête homme fort connu de Pythagore. Le sage de l'Inde expliqua au sage de

la Châsse de saint Dominique ( le tombeau) pour la basilique. De 1495 à 1501 , Michel-Ange travaille à Rome, en particulier pour le cardinal Raffaele Riario qui lui commande un marbre la  statue de Bacchus . Le cardinal ayant refusé l'œuvre, son banquier Jacopo Galli, également mécène, l'acquiert. L'épisode symbolise bien les rapports de l'artiste avec l'Eglise : attraction due à sa notoriété, mais répulsion dogmatique inhérente à sa liberté

"grands" dieux, les demi-dieux (Apollon), génies et numina. Il y avait même des empereurs qui ont été divinisés après leur mort (-Augustalia, du 5 au 12 octobre, en l’honneur d’Auguste). Tous les « grands dieux » avaient leur propre fête religieuse : Bacchus ou Liber Pater (-Liberalia, le 17 mars, prise de la toge virile), Neptune (-Neptunalia, le 23 juillet), ainsi que la déesse du Foyer, Vesta (-Vestalia, le 9 juin), dont le feu sacré était gardé par les vestales (issues de nobles familles, ces prêtresses

était une représentation donnée en l’honneur de Bacchus (appelé aussi Dionysos) 1, pendant les fêtes populaires qui se déroulaient à l’occasion des récoltes. Ces fêtes avaient une symbolique religieuse et agraire. Nous pouvons dire aussi que leur célébration prenait tout son sens dans leur rapport aux bonnes récoltes et à la fertilité de la terre, ils favorisaient les pluies. Il s’agit de carnavals, appelés aussi les Bacchanals ou culte de Bacchus, où sont données en spectacles : danses, mascarades