Bacchus

était l'entré d'un temple car au-dessus de ce trou il y a une partie d'un monument antique ce qui nous renvoie aux bacchanales, fêtes religieuses célébrées dans l'Antiquité liées aux mystères dionysiaques, elles se tenaient en l'honneur de Dionysos-Bacchus, dieu du vin, de l'ivresse qui aujourd’hui est un héritage du carnaval. Comme sur de nombreux tableaux de Dali, les traits de la tête du cygne sont flous, effacés. Le cygne est dans une posture élégante, féminine. On retrouve donc l'opposition féminin/masculin

illustres ( des personnes rejetées par la société, drôles ) Il exclu les intellectuels et les sérieux. Lorsqu'il fait référence aux " Banquets de Platon " il parle des épicuriens, les bons vivants et attend des ses lecteurs qu'ils soient comme ça. Bacchus : Dieu du vin et de la fête. C'est une relation dynamique entre lui et ses lecteurs puisque Rabelais dit L18 : " Mes bons disciples et quelques autres fous de ces jours " Il espère que ses lecteurs soient comme lui, il veut être en harmonie avec

des grecs en formant, eux aussi, des symposiums et en produisant leur propre vin. L’empire Romain, héritier des étrusques et de la Grèce antique, s’inspire de la mythologie grecque afin de constituer ses propres divinités. Ainsi, Dionysos devient Bacchus. Les Romains propagent les vignobles à tout l’empire et profitent de leur suprématie politique et militaire pour en faire commerce sur tout le bassin méditerranéen ainsi qu’en Gaule. Ils transportaient le vin dans des amphores ou figurait l’origine

XANTHIAS. - J'ai vu un aigle très grand s'abattre sur la place publique, saisir avec ses serres un bouclier (04) d'airain, et l'emporter jusqu'au ciel ; puis, Cléonyme jeter ce bouclier à terre (05). (01) C'est-à-dire qu'il tache de s'endormir. (02) Bacchus, ainsi appelé par les Thraces. (03) C'est-à-dire un ennemi. (04) Le mot grec signifie aussi un serpent. (05) Cléonyme : lâche qui jeta son bouclier dans une bataille

Virgile fait hommage à Bacchus et l’honore en tant que Dieu des arbres fruitiers et du vins. Puis il citera les différents procédés de reproduction des arbres, qui se divisent en deux catégories : la reproduction naturelle, ou les arbres poussent au loin et au large formant de denses forets et végétations, et la reproduction qui requiert l’ intervention de l’ homme afin de profiter plus de certains arbres , dont Virgile mentionne le bouturage, le marcottage ou même le greffage qui donne des possibilités

▪ Il réalisa les portraits des Quatre Saisons par la juxtaposition de fruits, légumes, végétaux, symbolisant[3] les saisons ou les métiers. Il existait déjà dans l’antiquité une tradition de portraits formés d'éléments pris dans la Nature. (Bacchus) Il fit plusieurs séries de Quatre saisons en 1572 et 1573 (une des séries se trouve au Louvre). ▪ Arcimboldo, dans les Quatre saisons, crée un lien entre l’empereur et le cycle des saisons. En effet, comme le souverain

Mercure (Hermès) : Messager de Dieux et dieux des voyageurs Bacchus (Dionysos) : Dieu du vin Jupiter (Zeus) : Roi des dieux et dieu de la justice

périphrase à valeur hyperbolique « Semblable aux Silènes » : l’auteur propose une comparaison entre Socrate et les Silènes. Il utilise des images fortes, amusantes, des double sens pour mieux avoir un impact sur son lecteur. b) ( Les Silènes… Bacchus) Description « extérieure » des Silènes. « Harpies… Rires ». : Énumération en gradation. Créatures mythologiques ou fantaisistes. Il chercher à stimuler et impacter l’imaginaire symbolique des lecteurs. c) (Mais… Prix) Description « intèrieure

prothèses en passant par son expression et sa mise en scène. Elle aussi procède par séries et revisite des stéréotypes et des archétypes. Son corps est le seul et l’unique médium qu’elle utilise. Elle fait aussi référence à des œuvres, comme par exemple Bacchus de Caravage. Michel Journiac s’est aussi mise en scène dans sa série : 24 heures dans la vie d’une femme ordinaire en se travestissant en femme. Il travaille sur la question de la ressemblance et de l’apparence. Il met en scène le quotidien, tout

subtilement que ce n’était pas la sienne mais celle du dieu Terminus qui représentait la mort ou le terme de la vie, et que c’était la mort et non Érasme qui parlait. En fait Érasme portait comme sceau sur sa bague, une gemme antique représentant le dieu Bacchus, cadeau de son élève l’archevêque Alexandre Stuart, mais Érasme avait cru qu’il s’agissait du dieu Terminus, beau prétexte à une devise sans doute à double sens. Ce « memento mori » est représenté sur des gravures et elle figure entre autres sur la