Bagne

nombreux rebondissement divers qui peut empêcher de continuer son aventure et du coup créer des question au lecteur du type va t il arriver a son but ? Dans le roman Les misérables de Victor Hugo le personnages principal Jean Valjean après être sorti du bagne se fait poursuivre par un inspecteur du nom de Javert a cause d'un malentendu. Javert croit que Jean Valjean a volé des objet or ce n'est pas le cas. Dans ce roman a chaque fois que Jean Valjean sent qui va se faire arrêter il quitte la ville pour

d'après l'un de ses prénoms, Mgr Bienvenu). L'évêque de la ville de Digne, l'accueille avec bienveillance, le fait manger à sa table et lui offre un bon lit. Jean Valjean a été condamné en 1795, pour le vol d'un pain et vient de passer vingt ans au bagne. Pourtant malgré la générosité de son hôte, Jean Valjean s'enfuit en pleine nuit, après avoir dérobé les six couverts d'argent, les seules richesses de l'évêque. Le lendemain, les gendarmes le ramènent chez Mgr Bienvenu qui, à sa grande surprise,

galériens dans la boue. » et « Il y en eut qui pleurèrent ; les vieux frissonnaient et se mordait les lèvres. » (p.34) Cette vision de l’enfer est renforcée quand les forçats se mettent à chanter une dernière fois. « Ils chantaient une chanson du bagne […] des cris grêles, des éclats de rire déchirés et haletants se mêler aux mystérieuses paroles puis des acclamations furibondes. Si je cherchais une image du sabbat, je ne la voudrais ni meilleure ni pire. » (p.35). Le sabbat au Moyen Age était une

de 1934 est soit le thème principal du document pour Jacques Prévert « il avait dit J’en ai marre des maisons de redressement » soit la vie de ces colons est le thème principale comme pour Emmanuelle Bouchez « Un aspect de Belle-Ile méconnu : son bagne pour enfants. » soit il est évoqué comme un événement important dans l’histoire des jeunes délinquants en France d’après Jacques Bourquin « La révolte des colons de Belle-Ile-en-Mer ». Grâce aux trois documents on découvre que des mesures ont pu être

La peine de Jean Valjean analysée par lui-même. Introduction. Dans le roman « Les Misérables » de Victor Hugo publié à Bruxelles en 1862, Jean Valjean est condamné à cinq ans de bagne, pour avoir volé un pain, et quatorze ans supplémentaires pour avoir fait de nombreuses tentatives d'évasion. Dans cet extrait, nous imaginons Jean Valjean, assis dans sa cellule, repensant à tout ce qu'il a fait. Nous sommes donc plongés dans ses pensées mouvementées, où il se pose des questions, y répond

plusieurs romans, ce qui contribue à lui donner une dimension mythique. En lisant Le Père Goriot, Les Illusions perdues et Splendeurs et misères des Courtisanes, on arrive à retracer son itinéraire. Lorsqu'il est à la pension Vauquer, il est évadé du bagne dans lequel il devait purger une peine de 5 ans de prison pour avoir endossé des faux en écritures « d'un beau jeune homme qu'il aimait beaucoup ». Après son arrestation à la pension Vauquer, il s'évade à nouveau, il remplit auprès de Lucien de

philosophie : l’enfant doit être éduqué, protégé et en cas de délits, jugé par un tribunal pour enfants. Cependant cette nouvelle opinion ne change en rien les conditions des colonies pénitentiaires décrites par un journaliste comme étant des « écoles du bagne ». En 1934, les colons d’une de ces colonies s’enfuient ce qui défraie la chronique et provoque des campagnes de presse, menées notamment par le journaliste Alexis Danan. Suite à ces campagnes, des réformes voient le jour. Elles permettent de réintégrer

un magistrat Bonneville de Marsangy va mettre en place le casier judiciaire, ce qui permettra la loi du 28 Avril 1832 de supprimer la mutilation du condamné pour repérer le récidiviste. Seulement une fois repérer qu'en fait on ? On les envoit au bagne, loin, oui mais seulement, ils meurent de maladie et ça ne peut pas être une solution à long terme. Certains comme l'inspecteur des prisons Charles Lucas proposeront l'idée du « couvent pénitentiaire » afin d'amender par la religion le condamné, ou

travailler quinze heures sous des meules ; Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer. Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur

Vauquer, Rastignac rêve de réussir dans le monde. Pour le guider sur ce chemin de l’ambition, Balzac place à ses côtés Vautrin, individu énigmatique et douteux, et dont on ne tardera pas à découvrir qu’il est en réalité un ancien forçat, échappé du bagne de Toulouse. Rastignac comme Vautrin, qui réapparaîtra sous de multiples identités, deviendront des figures majeures de la Comédie Humaine. Balzac, dans sa correspondance, révélera son attachement particulier au personnage de Vautrin, qualifié de «