Bagnes

commandes d’armement, recherche de l’autarcie (indépendance), l'URSS contrôle l’économie avec l'agriculture collectivisée (kolkhozes) + industrie lourde privilégiée. Répression et terreur : Polices politiques (NKVD, OVRA, GESTAPO) et camps (Goulags, bagnes, camps de concentration). III. Régimes totalitaires face aux démocraties dans les années 1930 1) Remise en cause de l’ordre international établi à la fin de la Première Guerre mondiale URSS : la Russie bolchevique signe le « Traité

République et la liberté d’expression nouvellement instauré. De plus l’éducation pour tous donnera de nouveaux lecteurs en abondance. Il sera l’un des pionniers d’un style nouveau de journaliste : les reporters. L’ouvre étudiée ici est un reportage sur les bagnes de Cayenne intitulé Au bagne, écrit par Albert Londres en 1923. Nous nous demanderons au travers de ce texte quels moyens l’auteur met-il en œuvre pour restituer une description frappante, vivante mais fidèle à la réalité ? En quoi défend-t-il la

Les chômeurs y effectuent des travaux improductifs, qui n’ont donc pas de justification économique et peuvent être supprimés dès que le Gouvernement Provisoire l’ordonne, dans des conditions de travail digne des "workhouses" anglaises : ce sont des bagnes qui poussent les ouvriers à s’embaucher dans les autres usines à n’importe quelles conditions de salaires et de travail, une 2ème armée de réserve. Le prolétariat n’a pas conscience de la réalité de ce que sont les Ateliers Nationaux ; lorsque le

pour enfants. J. Bourquin déplore cependant la subsistance des centres d’enfermement. Il s’appuie sur l’ouvrage d’un autre journaliste, Louis Roubaud, qui condamne aussi les centres professionnels derrière lesquels se cachent en fait de véritables bagnes pour enfants. J. Bourquin considère l’année 1934 comme un tournant grâce aux campagnes de presse qui dénoncent l’existence de ces établissements auprès de l’opinion publique, suite à l’évasion des enfants retenus dans la maison de redressement

dualité qui existe dans la nature humaine. L’homme peut soit être cruel et méchant ou bon et philanthrope. Nous pouvons boir cela dans le personnage des Misérables, par Victor Hugo, Jean Valjean. Jean Valjean est un ancien Forçat qui est allé aux bagnes pour avoir voler du pain, mais ce dernier va prouver son autre nature humaine qui est charitable et respectable en sauvant Mr. Fauchelevent et Cosette. Conclusion En conclusion nous pouvons dire que les personnages peuvent soit etre fictifs et didactique

juif ne serait qu’une pure coïncidence ». • L’état policier nazi : La double croix (signifie trahison en anglais), les SA sont des brutes épaisses pas très malignes et faciles à berner. Les camps de concentration sont évoqués mais comme de simples bagnes. La censure est donc obtenue par la violence policière. • Le racisme et plus particulièrement l’antisémitisme avec le boycott des magasins juifs, la mise en place des ghettos, l’exclusion par les lois de Nuremberg, la théorie de la race aryenne

sont punis et enfermé de la même façon alors que l’amplitude de leurs crimes ne sont pas les mêmes ce qui nous montre qu’il n’y avait pas de petite délinquance. On note aussi au cours du document 1 et 3 que les enfants qui se retrouvent dans ces bagnes se font battre non seulement par les gardiens mais aussi par les enfants les plus forts. Ce qui maintenait la peur dans tout les centres de redressement car les jeunes ne savait pas s’ils aller en sortir vivant. Le résumé du film ainsi que le poème

Jour D’un Condamnéde Vıctor Hugo 19 3.2.Le bagne Le bagne est un lieu où les condamnés aux travaux forcés étaient détenus. Ces bagnes qui se trouvaient à Toulon, Brest et Rochefort étaient de purs enfers pour les condamnés. Il faut rappeler ici la scѐne de bagne dans Les Misérables. On forçait les détenus aux travaux pénibles au- delà de leurs forces. Ces bagnes étaient connus surtout de leurs cérémonies cruelles: le ferrement et la chaine. Le ferrement, qui était une cérémonie bien cruelle

soucieuse d’éducation en général, et de comités de soutien aux enfants dans les tribunaux, on aboutit à la création du premier tribunal pour mineurs. Toutefois, cette mesure progressiste ne change rien aux maisons de redressement, devenues des « bagnes » dénoncés publiquement par un journaliste. Il est rejoint par d’autres en 1934, après la révolte des petits prisonniers de Belle-Île-en-Mer, laquelle émeut l’opinion publique elle-même. Le gouvernement renonce alors à considérer le vagabondage des

soucieuse d’éducation en général, et de comités de soutien aux enfants dans les tribunaux, on aboutit à la création du premier tribunal pour mineurs. Toutefois, cette mesure progressiste ne change rien aux maisons de redressement, devenues des « bagnes » dénoncés publiquement par un journaliste. Il est rejoint par d’autres en 1934, après la révolte des petits prisonniers de Belle-Île-en-Mer, laquelle émeut l’opinion publique elle-même. Le gouvernement renonce alors à considérer le vagabondage