Bailli

gantier et marchand de cuir prospère, propriétaire de la célèbre maison, dénommée the Birthplace[3], en plus d’être un homme d’une certaine position dans la ville de Stratford[évasif] : en 1565, il y avait été élu conseiller municipal, puis grand bailli (ou maire) en 1568. En 1557[4], il avait épousé Mary Arden, une bourgeoise, et tous deux vivaient dans une maison située sur Henley Street. La réussite de John Shakespeare le poussa à solliciter des armoiries, que William lui fit obtenir en 1596,

Légende et biographie William Shakespeare naquit à Stratford-on-Avon, dans le fertile Warwickshire, entre le 20 et le 26 avril 1564. Il était le fils d'un notable, alors prospère, qui, en 1568, fut bailli ou maire de la petite ville. Il fit donc d'abord des études tranquilles dans une de ces bonnes « grammar schools » qui dispensaient alors une éducation démocratique. Mais, à partir de 1577, la fortune familiale déclina. On ne sait ce qu'il advint alors du fils, que nous ne retrouvons qu'à la

fonctions disparaitront avec la disparition de la monarchie le 22 septembre 1792 B/L’administration et la gestion locale du royaume La gestion locale du royaume se développe essentiellement sous le règne de Philippe Auguste. Trois fonctions : Prévaux, baillis et sénéchaux Prévaux : fonctions administratives locales créées par Louis VII à la fin de son règne en 1180, il y a environ une 40aine de prévaux ils sont chargés d’encadrer la pop, rendre justice et collecter les impôts. Ils sont pour l’essentiel

John Shakespeare, fils de paysan, était un gantier et marchand de cuir prospère, propriétaire de la célèbre maison, dénommée the Birthplace[8], c'était un notable de la ville de Stratford : en 1568, il y avait été élu conseiller municipal, puis grand bailli (ou maire) en 1568. En 1557[14], il avait épousé Mary Arden, une bourgeoise, et tous deux vivaient dans une maison située sur Henley Street. La réussite de John Shakespeare le poussa à solliciter des armoiries, que William lui fit obtenir en 1596

rapidement Organise une expédition au Languedoc pour la rattacher au territoire Pratique des apanages de 1226 lui revient Louis IX : St-Louis Règne de 1226 à 1270 Donne à la monarchie une image pieuse Perfectionne administration : fait surveiller les baillis par des enquêteurs royaux (par exemple) Sous son règne : création du Parlement de Paris 1258 : le roi Louis IX interdit les guerres privées dans le royaume : cette mesure était prématurée et ils ont continués à se battre entre eux. Meurt en partant

d’ordonnances). Le roi justicier : Il va organiser le quadrillage administratif et judiciaire du territoire grâce à une hiérarchisation des juridictions. Ainsi Le bailli surveille plusieurs prévôtés et il connait un l’appel concernant leur décisions, de même le parlement de Paris Le parlement connait un appel des décisions des baillis et des sénéchaux. On assiste alors à la professionnalisation de la justice, en effet ce sont des juristes qui tranchent les litiges. De plus la procédure devient écrite

contentieux entre l'administration et les usagers. Cette distinction est à l'origine de la justice administrative en France. Elle est exercée au nom du roi par des magistrats professionnels (prévôts, baillis, sénéchaux). Sous l'ancien régime, cette justice comprenait les prévôts et au-dessus d'eux, les baillis (nord de la France) et les sénéchaux (sud de la France). Les crimes de lèse-majesté et violences routinières étaient leur lot quotidien. Evolution de la peine/ La torture: justice suppliciaire

se prononcer en appel vis à vis des justices seigneuriales de leur ressort, qui rend une justice concédée. À partir du 16ème siècle une évolution va apparaître. Les prévôtés sont de plus en plus délaissés par les justiciables qui leur préfère les baillis. La monarchie va tâcher de contrarier cette tendance, mais en vain. Ainsi, à partir du 18ème siècle, par le truchement d'édit elle va prononcer la suppression des prévôtés dans toutes les villes où se trouvent des tribunaux de bailliages. Il y a 2

chapitre premier Le bruit se répandit bientôt qu’il y avait un Huron au prieuré. La bonne compagnie du canton s’empressa d’y venir souper. L’abbé de Saint-Yves y vint avec mademoiselle sa sœur, jeune basse-brette, fort jolie et très bien élevée. Le bailli, le receveur des tailles, et leurs femmes, furent du souper. On plaça l’étranger entre mademoiselle de Kerkabon et mademoiselle de Saint-Yves. Tout le monde le regardait avec admiration ; tout le monde lui parlait et l’interrogeait à la fois ; le

Winckelmann ; il m'assura qu'il avait lu en entier le premier volume de la théorie de Sulzer, et qu'il possédait un manuscrit de Heyne sur l'étude de l'antique. Je l'ai laissé dire. Encore un bien brave homme dont j'ai fait la connaissance, c'est le bailli du prince, personnage franc et loyal. On dit que c'est un plaisir de le voir au milieu de ses enfants : il en a neuf ; on fait surtout grand bruit de sa fille aînée. Il m'a invité à l'aller voir ; j'irai au premier jour. Il habite à une lieue et demie