Baïonnette

1916 Les tranchées Les tranchées apparaissent en 1915 : ce sont des fosses creusées par les soldats pour se protéger et défendre leurs positions. La guerre des tranchées Les nouvelles armes En 1914, l’arme de base des soldats alliés est la baïonnette ; elle ne sert pas à grand-chose face aux obus et aux mitrailleuses de l’armée allemande, mieux préparée à cette guerre. A partir de 1915, les Allemands emploient les gaz asphyxiants et les grenades, puis les mortiers qui permettent d’atteindre

été muté dans un Régiment de Grenadiers était considéré comme une récompense. Les équipements et la solde des Grenadiers y étaient supérieurs, par exemple ils continuaient à porter des sabres, alors que les fusiliers devaient se contenter de la baïonnette et possédaient des uniformes plus confortables et plus chauds. Contacts Pour nous contacter, c'est très simple! Il suffit de se rendre sur notre forum: http://61e-gf-forum.xooit.fr/index.php]http://61e-gf-forum.xooit.fr/index.php En cas

Glénans. Ce schéma, baptisé « fusée à étage », lui permet de glaner des capitaux sur les marchés financiers à de multiples niveaux et décuple le nombre de ses partenaires. (Source de l’article « VINCENT BOLLORÉ Un play-boy à l'assaut des affaires, la baïonnette au portefeuille » de http://www.marianne2.fr) 3.- Les motivations de Vincent Bolloré actuelles sont tout particulièrement la relève de son fils pour son groupe Bolloré il veut perpétuer la tradition, de génération en génération, comme dit dans

DEVOIR À REMETTRE Extrait 1, chapitre trois. Le fond  6. Les champs lexicaux  Armée : canon, tambours, mousqueterie, patri, héros, guerre, provisions, ruines. Violence et mort : renverser des hommes, ôter du meilleur des mondes, baïonnette, boucherie héroïque, mourants, vieillard criblés, femmes égorgées, sanglantes, filles éventrées, rendre les derniers soupirs, cervelles répandues, jambes coupées. 7. « […] une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer ». Selon moi, je crois qu’elle

Washington, Etats-Unis Cette photographie montre une jeune fille faisant face a un groupe de soldats armes, elle tient une fleur blanche entre ses mains. Les soldats pointent leurs armes sur elle et pourtant son visage ne montre pas la peur. Face aux baïonnettes, elle ne tremble pas. Son nom est Jane Rose Kasmir. 2. Contexte Cette photographie a été prise pendant la manifestation pour la paix au Vietnam. Le Vietnam est alors divisé en deux. D’un cote le Vietnam du Nord soutenu par les Sovietiques

poitrine dénudée, franchit une barricade. Son visage tourné vers les combattant derrière elle et l’avancée de sa jambe lui donne force et dynamisme. Elle semble mener le peuple vers la victoire, brandissant un drapeau tricolore d’une main et un fusil à baïonnette de l’autre. Le drapé de sa robe rappelle les statues grecques antiques. Cette femme incarne l’idée de la liberté : c’est une allégorie. La composition pyramidale de ce tableau culmine avec le drapeau tricolore, coupé en hauteur. Un nuage de

un refus de la soumission. Ce qu’on peut comprendre : Tendre une fleur de cette manière évoque le recueillement, la paix et peut-être même la foi. Juste en face de Jane Kasmir se dresse une rangée de soldats casqués portant des fusils avec baïonnettes, pointés vers l’avant. Ils semblent être tous identiques et représentent davantage une masse dénuée de sentiments que des individus distincts. L’attitude de ces « machines de guerre » contraste bien évidemment avec celle de la jeune fille : ils

L’œuvre se lit de gauche à droite, chaque panneau racontant un moment de la  bataille :  Panneau de gauche​  : Il représente des soldats (Je crois que ce ne sont pas des  allemands car ils n'ont pas leur casque à point) et leur équipements (casques,  baïonnettes, grenade à manche, masque à gaz…) les soldats partent pour la guerre.  On les voit de dos, ils s’avancent vers un horizon brumeux.  Panneau central​  : C’est le plus grand. Il représente des corps déchiquetés, des  cadavres, un squelette , avec au loin

domestiques qui appelèrent l'armée. Pendant que l'armée venait, Walter mangea le repas de tous les domestiques puis fut fait prisonnier à son grand bonheur. Le colonel qui l'avait surpris entrain de manger et qui n'a eu besoin que de le menacer avec une baïonnette fut décoré bien qu'il n'eut rien fait. Le testament Le benjamin de M. de Courcil raconte sa vie. Son père était un gros homme, bourru et violent qui épousa une femme délicate, timide et riche. Il l'épousa pour sa fortune. M. de Courcil eut deux

1°) Le droit de refuser d’exécuter un ordre illégal: Au sein des forces armées, le refus d’un ordre illégal est autorisé, ils ont même le devoir de refuser. Selon la théorie de la baïonnette intelligente, qui est en droit pénal la condamnation de l’obéissance à un ordre illégal, tout soldat doit faire le tri entre les ordres légaux et ceux qui ne le sont pas. Pourtant, dans certaines situations de stress : ( par exemple quand le soldat est au feu ) il n’est pas possible d’arriver à juger les