Baïonnette

[...] Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons formaient une harmonie ». Puis, nous remarquons un contraste entre harmonie et enfer. Et enfin un regard déshumanisant prit place, « Les canons », « La mousqueterie », « La baïonnette » tuèrent plus de 30 000 « âmes ». Candide semble édulcorer la réalité. Dans un second temps, nous parlerons de la vision réaliste de la guerre. Pour commencer, l'auteur parle de « Boucherie héroïque » qui montre que la notion

la terre cultivée, les récoltes rentrées, les champs ensemencés ! Il n'y a pas, dans ces heures graves, de labeur infime. Tout est grand qui sert le pays. Debout ! A l'action ! A l’œuvre ! Il y aura demain de la gloire pour tout le monde ». Baïonnette (la) pour, le journal satirique montrant une femme portant un obus comme elle porterait un enfant. Champ pour, le champ de bataille (hommes) et le champ de travail agricole (femmes). Deuil pour, les proches de décédés et de disparus. Emancipation

éléments attirant le regard, sons, paroles… Je vois une femme et des hommes. La femme a le drapeau tricolore dans la main droite, …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… un bonnet phrygien et un fusil avec une baïonnette au canon dans la main gauche. La femme …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… donne l'impression de guider les hommes, qui font partie de différentes classe sociales. ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

uniforme bleu et un casque d’acier. Le front est constitué de plusieurs lignes de défenses creusées dans la terre, les tranchées, reliées entre elles par des boyaux d’accès. Ils utilisaient pour se battre des fusils sur lesquelles était fixée une baïonnette, des mitrailleuses, des obus, des gaz… Les soldats vivent et meurent dans les tranchées, dans la boue, dans la vermine avec les rats et les cadavres. Ils vivent vraiment l’enfer d’où l’expression « l’enfer de Verdun ». Sur la route départementale

magnifique!" Description: La photographie en noir et blanc nous montre à droite une jeune femme cadrée en plan rapproché. Elle regarde devant elle en tenant ostensilement dans ses mains une fleur. A gauche, lui faisant face, une rangée de soldat, baïonnette au canon, fermement campés sur leur jambes, semblent déterminés et prés à s'opposer aux manifestants. C'est une photo construite sur une opposition Cette photo est très connue , elle est un des symboles de la lutte pacifiste. Elle a cependant

espèce que l’on trouve en Méditerranée . De ce poisson sort un tigre , duquel sort un autre tigre . Ces tigres se ruent en direction de la femme , on pourrait croire qu’ils veulent la tuer . Juste en dessous du second tigre , se trouve un fusil à baïonnette qui pourrait représenter le dard de l’abeille , ce qui voudrait dire que même si l’abeille est toute petite , le danger est important . Au loin , on aperçoit un éléphant avec de très longues pattes d’insectes que le peintre appelle « éléphant-girafe »

comprend la devise « Liberté, égalité, fraternité » sur le côté et au centre de la pièce se trouve le coq, le symbole de la République française. On peut aussi voir un soldat allemand, on le reconnait grâce à son casque à pointe. Il est armé d’une baïonnette. Il est à genoux sous la pièce, déséquilibré. Le textuel : Le premier slogan, « Pour la France versez votre or » est situé au-dessus du graphique et le second slogan, « L’or combat pour la victoire » est situé en-dessous du graphique. Analyse

Notre-Dame-de-Lorette, à Ablain-Saint-Nazaire (Pas-de-Calais), au titre des militaires morts pour la France aux côtés de leurs frères d’armes alliés (1914-1918) ; – l’ensemble constitué par le cimetière national de Fleury-devant-Douaumont et la tranchée des baïonnettes (Meuse), au titre du sacrifice des soldats français de la Grande Guerre à Verdun (1914-1918) ; – l’ancien camp de concentration de Natzweiler-Struthof (Natzwiller, Bas-Rhin), au titre du système concentrationnaire nazi et de la Résistance européenne

« assouvie les besoins naturels » : Voltaire évoque ses crimes comme s il s agissait de quelque chose de normal 2 LA REALITE DE LA GUERRE A UNE VISION DES MASSACRES, LE REALISME vision réaliste de la guerre : champ lexical des massacres  « baïonnette » « mort » « mourrant » « égorges » « éventrés » : voltaire maîtrise l art de la persuasion Voltaire se livre a une critique virulente des combats : métaphore « boucherie » hyperbole « enfer » : critique de l hypocrisie , des gouvernements , des

pour les soldats avec énormément de morts.les soldats vivent dans la boue, l'humidité et le manque d'hygiène, ils côtoient les rats et les poux. C'est une guerre de tranchée, où il y a régulièrement des assauts avec des combats au couteau et à la baïonnette. L'artillerie, avec les canons fait beaucoup de dégâts. De plus, on invente de nouvelles armes : mitrailleuse, gaz, lance-flamme, mines et tanks. Pour les civils, la guerre est aussi très violente. Ils pleurent leurs morts et attendent des