Baïonnette

même des mots incongrus et qui signalent le thème de la guerre. 2) Une description de la bataille détachée et désinvolte L’organisation de la bataille La bataille est évoquée en 3 phases (« d’abord », « ensuite ») « canons » « mousqueterie » « baïonnette » Les phrases sont sur le même modèle : armes qui donnent la mort, puis effet produit (verbe qui donne la description puis nombre de victimes)  Tout ce passe bien dans un ordre bien réglé. L’atténuation de l’idée de la mort Cela est décrit comme

Séance royale : Le roi déclare le maintien des trois ordres et annule les délibérations du 17 juin Apostrophe apocryphe de Mirabeau : « Nous sommes ici par la volonté du peuple et nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes ». L'Assemblée nationale déclare inviolable la personne de ses députés. Création du Club Breton 9 juillet : Proclamation de l'Assemblée constituante 11 juillet : Renvoi de Necker. Mécontentement, agitation dans Paris

zone d’ombre et la zone claire. La lumière provient de l’arrière de la scène, peut-être d’un incendie ? Elle met en évidence une jeune femme seins nus coiffée d’un bonnet phrygien portant le drapeau républicain d’une main et de l’autre un fusil à baïonnette. A sa droite, un jeune garçon, symbole de la jeunesse révoltée par l’injustice brandit une arme dans chaque main l’air déterminé, ne semble pas avoir peur. A sa gauche, Delacroix coiffé d’un haut de forme tient un fusil. On observe derrière lui

registre épique * "La Marseillaise" (l.1) : harmonie musicale puis amplification de l'idée du patriotisme "le délire redoublait son tintamarre" (l.41) * "piétinements" (l.8) : perception auditive massive * Patriotisme avec "des bonnets rouges, des baïonnettes" (l.3-4) : r. épique (Delacroix) * Parodie : "Tous les visages étaient rouges, la sueur en coulait à larges gouttes" (l.12) * Force éclatante (joie frénétique) : "un avenir de bonheur illimité" (l.29) * Prise du pouvoir du peuple (accumulation

juin Louis XVI réagit => Il ordonne aux députés de se séparer mais ils refusent. - Le compte de Mirabeau déclara (que cela fut vrai ou non !!) «  Nous sommes ici par la volonté du peuple et nous quitterons nos places que par la force des baïonnettes » - Bailly «  La nation assemblée n’a pas à recevoir d’ordres » - Sieyès « Vous êtes aujourd’hui ce que vous étiez hier » Louis XVI cède, il va alors demander aux députés de la noblesse de rejoindre l’assemblée nationale. Le

instruments de musique => idée de mort "harmonie" / "enfer" => contraste, antithèse Derrière la brillante façade : chaos et horreurC) Un regard déshumanisé- Attaque au canon- Attaque de la mousqueterie (mousquet = fusil archaïque)- Charge à la baïonnette => Phrase qui donne le bilan d'ensemble. Relation très sèche, purement objective, le narrateur se contente de citer les faits sans indignation, ce qui est plus efficace. Les soldats n'ont pas de réalité individuelle (soldats de plomb) =>

instruments de musique => idée de mort "Harmonie" / "enfer" => contraste, antithèse Derrière la brillante façade : chaos et horreur C) Un regard déshumanisé - Attaque au canon - Attaque de la mousqueterie (mousquet = fusil archaïque) - Charge à la baïonnette => Phrase qui donne le bilan d'ensemble. Relation très sèche, purement objective, le narrateur se contente de citer les faits sans indignation, ce qui est plus efficace. Les soldats n'ont pas de réalité individuelle (soldats de plomb) => emploi

ensemble, on se rapproche de lui « encore souriant » et enfin, on se focalise sur les « deux trous rouges au côté droit » qui suggèrent son décès qui n’est explicitement révélé qu’au dernier vers. Ces deux deux trous rouges, qui sont les marques de la baïonnette ou de l'arme à feu, rappellent le « trou de verdure » du vers 1, au sens ou celui-ci serait un tombeau, on peut donc dire que dès le début du poème, il y a une préparation à cette triste réalité Ouverture : Ce poème, le Dormeur du Val, est un

Duphot, ils atteignirent les boulevards. Des lanternes vénitiennes, suspendues aux maisons, formaient des guirlandes de feux. Un fourmillement confus s'agitait en dessous ; au milieu de cette ombre, par endroits, brillaient des blancheurs de baïonnettes. Un grand brouhaha s'élevait. La foule était trop compacte, le retour direct impossible ; et ils entraient dans la rue Caumartin, quand, tout à coup, éclata derrière eux un bruit, pareil au craquement d'une immense pièce de soie que l'on déchire

présente d'abord la guerre comme un spectacle, on constate l'emploi:Des adjectifs élogieux: beau, brillant, leste..;Du champ lexical de la musique: la trompette, les fifres, les hautbois, les tambours, harmonieDu champ lexical de la guerre: canons, baïonnette, mousqueteries.1. Une guerre absurde et illogique:Les axes de lecture A. La dénonciation de la