Baïonnette

une harmonie telle qu'il n'y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d'abord à peu près six mille hommes de chaque côté ; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface. La baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d'hommes. Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes. Candide, qui tremblait comme un philosophe, se cacha du mieux qu'il put pendant cette boucherie héroïque. Enfin

eut jamais en enfer ». Un oxymore « cette obscure clarté ». Exagération + antithèse -> empêche lecteur de prendre texte au 1er degré. *Euphémisme : la mort. L.3-5 « les canons renversèrent », « la mousqueterie ôta du meilleur des mondes », « la baïonnette fut la raison suffisante » (philosophie de Leinbniz). * Approximations numériques -> les morts : « à peu près 6000 hommes » l.4, « environ 9 à 10000 coquins » l.5, « quelques millions d’hommes » l.6, « une trentaine de 1000 âmes (métonymie)

type 1831, lame 48,5 cm, marquée talabot es paris et R, avec son fourreau (quelques usures au cuir, piqures de rouille) Baionnette et son fourreau en cuir , fabrication allemande (pour Mauser ) plaquettes bois , fourreau cuir avec jappe et bouterolles en laiton, traces de rouille Baionnette anglaise 1907, fabrication WIKILSON mars 1915, avec son fourreau en cuir et métal Baionnette argentine . Modèle 1909 de 2° modèle pou r carabine de cavalerie 1909. Marquée sur une face L 7634 et des armes argentine

d'animaux (chevaux, mulets, baudets, vaches...). Des squelettes continuent d'etre retrouvés lors du labours des champs ou lors de travaux. Armes: Armes légéres: A la base disposait de quatre armes pour la guerre de tranchées : le fusil, la baionnette, le fusil a pompe et la grenade. Les allemands s'équiperent de mitrailleuses des 1904. Les mitrailleurs étaient l'élite de l'infanterie allemande et étaient attachés aux bataillons de Jaeger (infanterie légere). En 1914, les britanniques disposaient

nominal, en apposition 3. Le poète a choisi le terme « glaïeul » car il a une connotation belliciste (guerrière) : il évoque une fleur mais renvoie grâce à son étymologie au glaive ; ce qui pourrait faire penser que le soldat a été tué par une baïonnette, dont la forme rappelle celle de l’épée. 4. Ce poème est engagée car il dénonce les conséquences de la guerre : le soldat est mort or il devrait être en train de faire un somme, comme on le croit jusqu’au dernier vers. Le poème utilise le contraste

Ces sphères de verre aériennes se prêtent à mille et une transformations poétiques... Marche à suivre : Scier la base du pas de vis avec une scie à métaux, en tournant régulièrement l'ampoule. On peut scier également la base des ampoules à baïonnettes, en se calant sur la démarcation. Une fois le pas de vis découpé, introduire un tournevis fin et casser le tube de verre qui dépasse (attention aux yeux ; penser à se protéger). Ensuite, placer un tournevis plus gros dans la cavité de verre,

toujours de façon abstraite (plus le nb de morts est grand, plus le succès est grand) : « les canons renversèrent d'abord à peu près six mille hommes de chaque côté », « la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ 9 à 10 mille coquins », « la baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d'hommes » et par la suite il comptabilise le résultat total de façon abstraite et froide : « le tout pouvaient bien se monter à une trentaine de mille âmes ». L'auteur met en place

similaire que les notre, ils deviennent proche mais nous pouvons perdre notre « nouvelle famille » a tout moment que ce soit après un marmitage, après une attaque avec du gaz ou encore a la suite d'un combat au corps a corps à la baïonnette. Je vous en veux Mr Kantorek et honnêtement je suis sûr que cette haine restera a vie. Je repenserais toujours a vous en cauchemardant suite aux horreurs des heurts contre les adversaires ou lors des sortie en ville, quand je verrais

sans conséquences. Hélène (tremblante) : À l'école de recrue, les Valaisans se battaient au couteau. En passant près d'eux, je tremblais. Quels armes aviez-vous à disposition ? Aviez-vous le droit de vous en servir ? Marcel : Nous avions la baïonnette, le fusil d'assaut, le mousqueton et de petits canons. Je n'ai tiré sur personne,nous devions nous servir de nos armes uniquement sous ordre. Même si mes compagnons se faisaient tuer, je n'avais pas le droit de tirer. Lorsque cette règle était enfreinte

; on peut là aussi y lire l'enthousiasme du militaire de carrière, séduit par le spectacle, même si déjà surgit l'ironie (« harmonie / enfer » ) • Ordre classique du massacre pour tuer les soldats jusqu'au dernier : artillerie, mousqueterie, baïonnette ; le tout dans cet ordre et chacun son tour ! 2) Une comptabilité indifférente • Le décompte des morts est très approximatif, négligent (« à peu près »,« environ », « quelques », « une trentaine ») : les victimes sont un détail sans importance