Baisse Du Taux De Syndicalisation En France

l’industrie : 1921 : 1 900 000 femmes 4 200 000 hommes total : 6 100 000 1936 : 1 600 000 femmes 4 100 000 hommes total : 5 700 000 ← le nombre de travailleurs dans l’industrie baisse de 7% ← le nombre de femmes travaillant dans l’industrie baisse de 16% E 1921, la place de la femme dans l’industrie retourne comme en 1906. 26,5% des femmes qui travaillent sont dans l’industrie, c’est le secteurs qui en emploie le moins. o Explications : - l’industrie

syndicales) et protégées par une législation particulière (liberté syndicale, droit de grève...) résulte d'une longue histoire. En Effet, le principe de la liberté syndicale ne fut reconnu qu'après la révolution de 1848 et véritablement adopté en France par la loi du 21 mars 1884, dite loi Waldeck- Rousseau. Dès lors, les syndicats purent se créer librement et se grouper en unions, fédérations, confédérations et, par leur influence grandissante, faire aboutir leurs premières revendications (repos

car l’accumulation croissante du capital exige que soit extraite une plus-value toujours plus importante. De plus, la bourgeoisie a intérêt à ce qu’existe un certain niveau de chômage ("armée de réserve industrielle") pour exercer une pression à la baisse sur les salaires. D’où une paupérisation de la classe ouvrière. •Une autre loi historique a été formulée dans les années 1950 par Simon Kuznets à partir de travaux empiriques : croissance et développement (en abscisse) et inégalités de revenu mesurées

conscience des intérêts communs des membres de la classe, sentiment d'appartenance, solidarité qui débouchent sur l'action collective. Disparition ou transformation du conflit de classe Plusieurs tendances peuvent se dégager depuis les années 1970 : la baisse du nombre de grèves, de grévistes et du nombre de journées individuelles non travaillées. La durée des grèves est plus courte (15 jours environ) et les conflits sont plus localisés. Néanmoins des conflits localisés peuvent, par solidarité, s’étendre

Dans la même optique on trouve l'externalisation avec la sous-traitance qui consiste à confier certaines tâches à d'autres entreprises spécialisées. L'entreprise peut également faire varier les charges salariales en fonction de ses résultats. En France cette flexibilité salariale n'est pas possible en raison de la réglementation strite en terme de protection de l'emploi avec le SMIC par exemple. Enfin, la flexibilité fonctionnelle développe la polyvalence des salariés à travers des formations professionnelles

l’intervention de l’Etat et l’aide américaine notamment avec le plan Marshall. Des années 1950 jusqu’au début des années 1970, la France connaît une très grande phase de croissance les "Trente glorieuses". Pendant ces "temps faciles", les bouleversements de la société font ressentir des mutations économiques. Au début des années 70, le ralentissement de la croissance fait entrer la France dans les "années piteuses". Les grandes mutations amorcées pendant la période d’expansion se poursuivent mais la crise

l'on observe le faible taux de syndicalisation en France, on a l'impression que le mouvement social décline. Pourtant, régulièrement, de fortes manifestations se déroulent dans notre pays. La notion de classes sociales au sens marxiste serait donc encore pertinente aujourd'hui pour analyser notre structure sociale. I. La notion de classe sociale semble devenue obsolète pour étudier la société française A. Les modifications structurelles de la population active B. La baisse du sentiment d'appartenance

de l’inflation : -Excès de monnaie en circulation, déséquilibre des masses monétaires, lié aux non contrôle par les autorités monétaires, ce que la banque monétaires tente de combattre l’inflation en surveillant de façon interne et externe (via le taux de change). -L’excès de demande est la seconde raison à l’inflation. -Et pour finir l’accroissement des coûts de production et la dernière cause d’inflation. Cette phrase signifie que le rôle des autorités financières est d’empêche les banques d’un

Le monde du travail en France Les politiques d’emploi menées en France En France, la politique d’emploi est en tête des priorités gouvernementales. La stratégie appliquée depuis plus de 30 ans a reposé sur la baisse du temps de travail, afin de créer de nouveaux emplois, et l’allègement des charges sociales payées par les employeurs. Cette politique s’accompagne d’un développement de la formation des travailleurs ainsi que des emplois publics aidés (contrats emploi solidarité, emplois jeunes, contrats

économiques et sociales essentielles, favoriser la stabilité et la paix sociales, et stimuler le progrès économique. Dans ce dossier, nous étudierons les objets et méthodes du dialogue social, et nous intéresserons tout particulièrement aux cas de la France et de l’Allemagne. I/ La structure du dialogue social 1) Les différentes formes du dialogue social Le dialogue social peut revêtir différentes formes selon les pays, les régions…et peut également évoluer dans le temps. Ainsi, d’après l’OIT : « il