Baisse Du Taux De Syndicalisation En France

nombreux liés aux mutations du marché du travail Hausse des emplois qualifiés Féminisation de la population active Tertiarisation (hausse de l’emploi tertiaire et baisses des deux autres secteurs) Montée du chômage et de la précarité a) La baisse du mouvement ouvrier Depuis les années 70’ on constate une forte baisse du nombre de journées de grève. (4.1 à 0.2 million) mais cette tendance ‘est pas linéaire. Ceci est lié à l’institutionnalisation des conflits et l’Etat échange de plus

Il faudra attendre l’après-guerre pour trouver des chiffres en matière de syndicalisation : ainsi en 1920, seule une femme sur sept était syndiquée, pourtant ce chiffre concorde avec la réforme qui supprime l’autorisation nécessaire du mari. Ajoutons que le travail des femmes et leur défense ne sont pas plus une priorité des syndicats. Pour toutes ces raisons, on constate que jusqu’au front populaire le taux de syndicalisation féminine reste faible. La femme ne veut ou ne peut consacrer du temps et

intérêts sociaux, économiques et professionnels de ses adhérents. Un syndicat peut être d'entreprise ou local. En France, les syndicats se distinguent des partis politiques, bien que des liens puissent exister entre eux, car leur but n’est pas de gouverner mais d’améliorer les conditions de travail.                2) Histoire des syndicats    La liberté syndicale a été reconnue en France par la loi dit Waldeck-Rousseau de 1884. Elle rompt avec la loi Le Chapelier, qui pendant la Révolution Française

sociaux. Problématique : Les syndicats et mouvements sociaux ont-ils une utilité ? Laquelle ? Sommaire Introduction ………………………………………………………………… p.3 I- Les syndicats ………………………………………………………….….. p.4 1) Historique du syndicalisme en France…………………………. p.4 a- L’ancêtre des syndicats : les corporations. b- Puissance économique et politique c- Le déclin des corporations d- A l’origine de l’abolition, la bourgeoisie libérale. 2) Développement

tertiaire maintenant du fait de la prolétarisation des employés. L’accroissement des inégalités pourrait favoriser le retour d’une identité de classe et des conflits sociaux. Les conflits sociaux sont concentrés dans le secteur public ou le taux de syndicalisation est important. Dans les entreprises privées, les conflits sont rares, localisés et souvent liés à des licenciements : la médiatisation permet de compenser leur faible visibilité. Des mobilisations collectives nouvelles émergent : des précaires

sociale. Une certaine idée du rôle de l'Etat-providence et de ses "satellites" paritaires (la Sécurité sociale et l'assurance-chômage, gérées par le patronat et les syndicats) ; un certain type de relations sociales, caractérisées par un taux de syndicalisation élevé dans les grandes entreprises publiques, par un quasi désert syndical dans les PME et par une culture protestataire. Les Français y ont longtemps vu une exception, alors même que, comme le rappelle le PDG d'Altedia, Raymond Soubie, dans

politiques ont été remises en cause. Cela se montre par le faible taux de syndicalisation de la population et l’augmentation du taux d’abstention aux élections présidentielles. Le taux d’abstention aux élections présidentielles aux premiers tours a augmenté de 12,6 points de pourcentage entre 1974 et 2002 (Doc. 2) tandis que le taux de syndicalisation, lui, a baissé d’environ 20 points de pourcentage entre 1950 et 2005. La hausse et la baisse de ces indicateurs montre la place moindre qu’occupe ses institutions

travail a-t-elle si fortement augmenté ces dernières années ?  Quels sont les facteurs qui influencent la demande de travail des firmes et, par conséquent, le niveau d’emploi ?  Quel est l’effet de l’immigration sur le niveau des salaires et sur le taux de chômage du pays d’accueil ?  Quel est l’effet de l’instauration d’un salaire minimum sur l’emploi ? Et sur le bien-être ?  Quel est l’impact économique des syndicats sur ses membres et sur le reste de la société ? 8   Les acteurs :  

ECONOMIE Série ES LE TALENT C’EST D’AVOIR ENVIE Problèmes économiques et sociaux Le conflit, cause ou conséquence du changement social Le conflit a d’abord été perçu historiquement comme néfaste à la cohésion d’une société. La grève était interdite en France jusqu’en 1864 et les actions violentes qui sporadiquement éclatent dans les quartiers difficiles apparaissent comme un facteur de désagrégation sociale. Mais, à l’image de l’individu dont la vie comporte obligatoirement des conflits dans le jeu amoureux

Le capitalisme d'héritier, la crise française du travail Thomas Philippon, 2007. Introduction En France la crise du travail serait due, selon des affirmations très répandues, à des facteurs déterminant comme les rigidités du droit et de la fiscalité ou encore une certaine préférence pour le loisir. Thomas Philippon, professeur à la Stern School of Business de New York interroge divers aspects du système français afin de déterminer l'impact de plusieurs facteurs (comme ceux des