Bakufu

y aura une ponction d’impôts systématisée pour la première fois. Redistribution des terres. ¤ HEIAN (780 ⋄ 1185 [1191]) Mais même logique que NARA. Déplacement de la capitale et construction d’une nouvelle à Nagaoka puis à Kyôto. Avènement du BAKUFU. ⎝ Dégradation de l’État des Codes ⋄ série de dysfonctionnements. Glissement indirect de cette vieille structure impériale centralisée vers un éclatement, une féodalité. Seulement 1500 personnes donnent forme à la culture japonaise. ¤ KAMAKURA

cérémonies, l’orchestre n’avait plus de fonction et sa musique aurait dû disparaître. Cependant les nobles de cour continuèrent à jouer des instruments de l’époque de Heian et cette musique de cour remise à l’honneur par Toyotomo Hideyoshi intéressa le bakufu soucieux de se rapprocher de l’étiquette de la cour. Il y a avait à la cour bien d’autres divertissements, d’autant plus que les jours chômés étaient nombreux, on peut prendre pour dernier exemple, les joutes poétiques ou Kyokusei au bord du ruisseau

arts japonais, et la prise de conscience par le japon que son art peu avoir des débouchés commerciaux. En 1867 une nouvelle participation toujours non-officielle à l'exposition universelle de Paris par les fiefs de Saga et de Satsuma dirrigé par le Bakufu en la personne du jeune frère du shôgun qui se rend à Paris, et du reste il prolonge son séjour ou il apprend la peinture occidentale avec un artiste français. 1873, exposition universelle de Vienne qui est la première participation de la nouvelle

aura son propre lieu de pouvoir. Mais ces élites conserveront toujours la technique du quadrillage lors des constructions. Le nom de Kyôto apparaîtra à l’occasion de l’arrivée à Rokuhara d’un gouverneur militaire, le Kyôto shugo 京都守護, nommé par le Bakufu 幕府 à la fin de Kamakura. F. ARCHITECTURE ET ESPACE URBAIN A KYÔTO AU MOYEN AGE. 1. Organisation. a) Calme et conflits, vers plus d’autonomie. Kyôto est en ruines, le déménagement de la capitale à Fukuhara 福原 prend 6 mois. Là-bas, ça ne se passe

bibliographie, p. 163). Modes de gestion et développement industriel L'organisation des manufactures d'État A la fin de la période Tokugawa, il existait déjà quelques manufactures employant des centaines d'ouvriers; elles étaient la propriété du Bakufu (gouvernement shogunal) et de certains hans (clans féodaux) qui les géraient; à la suite de la restauration Meiji, le nouveau gouvernement en assuma lui-même l'administration. Le chantier naval de Yokosuka en est un exemple caractéristique : comme

américain Millard FILLMORE (1800-1874), avec pour mission d'ouvrir les routes commerciales que le Japon gardait jusque-là résolument fermées. PERRY et ses canonnières à vapeur firent une impression telle que le gouvernement militaire japonais (le « Bakufu »), céda et que le Japon s'ouvrit progressivement au commerce avec l'Occident, en signant la convention de Kanagawa (31 mars 1854). 32 La première guerre de l'opium fut un conflit motivé par des raisons commerciales entre le Royaume-Uni et l'empire

américain Millard FILLMORE (1800-1874), avec pour mission d'ouvrir les routes commerciales que le Japon gardait jusque-là résolument fermées. PERRY et ses canonnières à vapeur firent une impression telle que le gouvernement militaire japonais (le « Bakufu »), céda et que le Japon s'ouvrit progressivement au commerce avec l'Occident, en signant la convention de Kanagawa (31 mars 1854). Le fait que l'Occident venait de forcer l'ouverture de la Chine, avec les deux guerres de l'opium (1839-42 et 1856-1860)

américain Millard FILLMORE (1800-1874), avec pour mission d'ouvrir les routes commerciales que le Japon gardait jusque-là résolument fermées. PERRY et ses canonnières à vapeur firent une impression telle que le gouvernement militaire japonais (le « Bakufu »), céda et que le Japon s'ouvrit progressivement au commerce avec l'Occident, en signant la convention de Kanagawa (31 mars 1854). Le fait que l'Occident venait de forcer l'ouverture de la Chine, avec les deux guerres de l'opium (1839-42 et 1856-1860)

américain Millard FILLMORE (1800-1874), avec pour mission d'ouvrir les routes commerciales que le Japon gardait jusque-là résolument fermées. PERRY et ses canonnières à vapeur firent une impression telle que le gouvernement militaire japonais (le « Bakufu »), céda et que le Japon s'ouvrit progressivement au commerce avec l'Occident, en signant la convention de Kanagawa (31 mars 1854). Le fait que l'Occident venait de forcer l'ouverture de la Chine, avec les deux guerres de l'opium (1839-42 et 1856-1860)