Balcon

néoclassique (cfr croquis en tête du travail). Depuis cet endroit, on peut voir l’avant-corps imposant. De part et d’autre du balcon, l’on remarque deux statues de 2 mètres 50 conçues spécialement pour le théâtre en 1861. Celles-ci furent créées par le statutaire anversois Van Arendonck. Elles représentent la musique et la comédie. Pour entrer dans le théâtre, nous devons passer sous le balcon et entre les arcades. L’édifice est divisé en trois grandes parties : la première, face à la place, est composée du

béton sur un mur aveugle ponctué d’occuli en pavés de verre. La façade sud-ouest s’ouvre largement sur le jardin par le jeu de grandes baies vitrées toute hauteur. Un balcon file tout le long, protégé par un garde-corps en verre. Les séparateurs peuvent s’ouvrir et permettent ainsi une mise en commun de l’espace extérieur. Le balcon joue aussi le rôle de brise-soleil. Les murs mitoyens sont peints en jaune et en vert. Tout en apportant une lumière colorée à l’intérieur des chambres, le béton peut

tous mes plaisirs ! O, toi, tous mes devoirs ! Tu te rappelleras la beauté des caresses, La douceur du foyer et le charme des soirs, Mère des souvenirs maîtresse des maîtresses, Les soirs illuminés par l'ardeur du charbon, Et les soirs au balcon, voiles de vapeurs roses. Que ton sein m'était doux ! Que ton coeur m'était bon ! Nous avons dit souvent d'impérissables choses Les soirs illuminés par l'ardeur du charbon, Que les soleils sont beaux dans les chaudes soirées ! Que l'espace

a parlé des différents endroits pour être placé dans la salle : Le par-terre qui était destiné au pauvre ( absence de siège ), le 1er et 2ème balcon et le 3ème balcon qui était surnommé le paradis. Le par-terre réservé au pauvre a été aménagé pour que se qui paye soit à leurs place et ceux qui ne pouvait donc pas payer on été démanger au 3ème balcon où la vision est moins bonne qu'au par-terre.

« langage des balcons. » L’entresol, s’il devient un étage comme les autre, ne possède pas de balcon. Le premier au contraire, bénéficie d’un balcon continu sur toute sa largeur. Il reste l’étage noble de l’immeuble (il faudra attendre la fin du XIXème siècle et l’apparition des ascenseurs pour modifier cette hiérarchie). Au XIXème siècle c’est la notion d’horizontalité et non plus de verticalité qui va s’imposer dans les immeubles Haussmannien. De même que pour les balcons, une hiérarchie

plus qu'avant pour que les immeubles soit en enfilade, ce qui va les orienter vers les rues. Il veut une uniformité architecturale, sur un boulevards, tous les immeubles doivent être identiques. Les grands axes assez larges sont bordés d'arbres. Les balcons sont filants, c'est a dire qu'ils vont d'un bout a l'autre de l'immeubles. La hauteur des immeubles est défini en fonction de la largeur du boulevards 3. Immeubles : Les Immeubles Haussmannien sont tous pareil. Ils ont 5 grandes caractéristiques

colonnes et souvent masqué par un rideau. Une fois le rideau ouvert, il sera le lieu de représentation des scènes situées à l’intérieur. Une galerie supérieure servira, quant à elle, à évoquer tous les lieux surélevés, remparts, collines et balcons (dont le balcon de Juliette bien entendu). Le second étage accueillera parfois les musiciens. L’arrière-scène ainsi que la galerie supérieure sont pourvues de portes afin de permettre les entrées et sorties des personnages. Le toit recouvrant la scène

Paris un endroit agréable à visiter et dans lequel vivre, Haussmann instaure un standard pour ses immeubles, de manière à ce qu’ils soient tous construits sur le même modèle. Il donne ainsi lieu à des rangées d’immeubles parfaitement alignés et des balcons exactement à la même hauteur. Il commence par réglementer la hauteur de l’immeuble : il doit mesurer entre 12 et 20 mètres de haut, en fonction de la largeur de la voie sur laquelle il se trouve, et comprendre 5 à 6 étages. Les hauteurs de plafond

Charles Baudelaire - Les Fleurs du Mal - Le Balcon Poème composé de six quintiles. Rimes originales, globalement croisées AbAbAb Tonalité lyrique Introduction Baudelaire évoque ses soirées/nuits, en compagnie d'une femme (Jeanne Duval) ; celle ci tient le rôle principal et une place centrale. I Le Lyrisme a) L'énonciation - destinataire = femme --> apparait en 1er - femme idéale : "supériorité" (V1) - Joue tous les rôles : "mère", "reine", maîtresse" - "je" (V14) : locuteur : être

L’ECOQUARTIER DE VAUBAN : CARNET DE VOYAGE Un quartier accueillant Les sens sont en éveil. Après l'oui, la vue prend le relais. Cinq mille habitants vivent sur 38 hectares jalonné d'immeubles de 3 étages, tous équipés de garage à vélo et dont les balcons sont piquetés de parasols. La gaieté immédiate qu'on palpe dans l'atmosphère s'étale en à-plat de couleurs vives sur les façades des immeubles : du bleu, du rouge, du jaune. Des femmes à bicyclette tirent derrière elle de petites carrioles avec leur