Bâle

quitte Bâle, haut lieu de l’humanisme et la ville dans laquelle il résidait avec sa famille, pour Londres en 1526. Grâce à l’aide d’Erasme, ami de longue date, il va travailler pour un de ses amis : Thomas More, humaniste et homme d’état. C’est à cette époque qu’il va peindre ses plus belles oeuvres dont notamment “Les Ambassadeurs”. Il va alors devenir le portraitiste official de la cour d’Angleterre. En pleine gloire, il meurt de la peste en 1543. Ses toiles sont pour la plupart exposées à Bâle. Hans

Leonhard Euler est issu d’une famille modeste vivant dans une ville près de Bâle en Suisse. Là, il suit des cours dans une école qui n’offre qu’un enseignement élémentaire et c’est son père qui l’initie aux premiers éléments des mathématiques. A 13 ans, il entre à l’Université de Bâle pour y étudier la philosophie et le droit. Il obtient son diplôme de philosophie à 16 ans mais son père qui souhaite le voir devenir pasteur, le pousse vers des études de théologie. Très tôt, il devient l’élève

autoroutes parallèles qui commencent à Bâle dont l'une passe en Alsace vers Strasbourg, parallèle à l'autre passant en Allemagne vers Karlsruhe. Elles sont reliées entre elles par des autoroutes mineures ce qui facilite les flux à travers les trois frontières. Les réseaux ferroviaires sont aussi basés sur cette proximité comme le montre certaines lignes qui relient directement des villes alsaciennes à des villes allemandes comme de Mulhouse jusqu'à Fribourg. L'aéroport Bâle-Mulhouse est aussi un exemple concret

industriel de la région. C’est alors que Winterthur devient un pôle industriel et joue un rôle prépondérant dans la construction et l’expansion du réseau ferroviaire du pays. La deuxième ville important de la Suisse est Bâle. En effet, grâce à l’apport de plusieurs banques bâloises, Bâle devient le carrefour stratégique de l’Europe centrale. Elle est particulièrement installée dans l’industrie des rubans de soie, un secteur d’exportation majeur. En 1872, la naissance de la banque « Basler Bankverein »

Mulhouse, et la plaine d'Alsace, au nord de cette ville, qui a exploité un site favorable aux échanges. À l'échelle régionale et nationale, il convient d'insister sur la présence du Rhin, frontière historique avec l'Allemagne, et de rappeler celle de Bâle, au sud. La carte ne montre pas seulement l'existence de l'axe rhénan grâce au couloir qui apparaît entre le Sundgau et le piedmont de la Forêt-Noire (990-2314). Par les collines sous-vosgiennes, piedmont des Vosges (964-2330), elle nous rappelle l'existence

chronographes Louis-Joseph Chevrolet 6a 2300 La Chaux-de-Fonds – Suisse www.tagheuer.com Dernières actualités ► TAG Heuer s'invite dans le quartier de l'Opéra ► TAG Heuer forme ses managers via sa Retail Academy ► TAG Heuer à l'heure de Bâle Présentation de la Maison En 2011, TAG Heuer célébrait 150 ans de maitrise de la vitesse. Fondée à Saint-Imier en 1860 par Édouard Heuer, TAG Heuer a marqué l'histoire de la haute horlogerie, notamment dans le domaine des chronographes et de

tordu ». Les œuvres les plus connues de Gehry comportent le Musée Guggenheim (Bilbao) en Espagne, le Walt Disney Concert Hall à Los Angeles, l'Experience Music Project de Seattle, le Weisman Art Museum à Minneapolis, le Vitra Design Museum près de Bâle, la Cinémathèque française à Paris, etc. Tout d'abord, il fait des études d'ingénierie à Toronto. Après un court passage à l'université d'Harvard, Il se lance dans un voyage d'étude en passant notamment à Paris chez André Remondet. Il finit son voyage

Artiste suisse Jean Tinguely naît en 1925, et décède en 1991. A partir de matériaux de récupération Jean Tinguely crée des sculptures qu'il anime par des moteurs. Jean Tinguely commence son apprentissage de la peinture à l’Ecole des Arts Appliqués de Bâle en 1940, puis s’installe en 1953 à Paris.  Il travaille avec Spoerri dans l’atelier de Jean Lurçat. Sa première exposition solo se déroule en 1954 dans une galerie Parisienne. En 1955, il participe à des expositions collectives, puis à l’exposition

devint le médecin personnel du duc Guillaum de Clèves. Jean Wier a écrit deux livres médicaux où il décrit différentes maladies et il a aussi publié un traité sur les maladies « De morbo gallico ». En 1568, il publie son œuvre majeur, en latin à Bâle “De prestigiis doemenum et incantationibus ac venificiis” (Des illusions des démons), où il parle de la folie en tant que médecin, il décrit les hallucinations, des refus d’alimentation et il dresse des tableaux cliniques. Il se pose comme défendeur

exacte du développement des formes,  et s’applique à fixer des lois artistiques distinctes. Elève de Jacob Burckhardt, il est profondément marqué par son ouvrage Architektur der Renaissance in Italien. Il fait parti de la chaire d’Histoire de l’Art à Bâle en 1893. En 1901, il succède à Hermann Grimm, à Berlin, grâce à son ouvrage Die Klassiche Kunst in Italien, de 1899, dans lequel il fait une «  présentation générale et systématique de l’essence du style classique. » Une grande partie de sa carrière