Bâle

..... 19 1. Risques Opérationnels.......................................................................................... 20 2. Les risques opérationnels et la banque............................................................... 20 3. Comité de Bâle ....................................................................................................... 21 4. Processus de gestion des risques opérationnels............................................... 22 Appréciation du risque opérationnel ....

Postale et le crédit mutuel. Maintenant le livret A est disponible dans tous les établissements bancaires, la libéralisation entre dans le cadre de la modernisation de l’économie. - Accords de Bâle : Il faut savoir qu’il y a eu deux dates importantes dans ces accords de Bâle : 1988 = Bâle 1, ces accords visaient à assurer la stabilité du système bancaire international en fixant une limite minimale a la quantité de fonds propres des banques. 2004 = Proposition de nouveaux accords qui

2012 était de 508 millions d’euros dont 54% en intermédiation, 32%. Le PNB généré par la collecte :   B) Le besoin de fonds propre pour la CEAPC 1)  Le contexte de crise 2)  L’intermédiation bancaire 3)  La règlementation prudentielle de Bâle III 1) Le contexte de crise Ces dernières années, la France a connu deux importantes crises économiques et financière. Les banques américaines ont massivement accordées des crédits hypothécaires à des ménages américains aux revenus modestes.

le risque juridique. Par rapport aux deux types de risque qui viennent d’être cités, le risque opérationnel est un domaine relativement nouveau mais il fait l’objet d’une exigence de fonds propres dans le nouveau ratio de solvabilité du comité de Bâle (qui sera abordé dans la partie suivante) et engendre directement ou indirectement l’insuffisance de fonds propres des établissements de crédit. A côté de ces trois types principaux de risques qui peuvent conduire un établissement de crédit à

d'information a apporté un souffle nouveau à la gestion du risque en général, et à celle du risque opérationnel en particulier. En effet si la gestion de celui-ci a été négligée par le passé (par exemple omit des premières recommandations prudentielles de Bâle), elle a fait l'objet dans la dernière décennie d'avancées significatives s'appropriant ses propres outils de mesure et ses propres procédures de contrôle, à l'instar du risque de crédit et du risque de marché. Nous tenterons dans cet exposé d'aborder

abréviations………………………………………………………………… Introduction générale I/ Première partie : Mesure et maîtrise du risque opérationnel Chapitre1 : Maîtrise des concepts et du contexte réglementaire Section 1 : La réforme Mc DONOUGH/BALE II………………………………...11 Section 2 : Rappel du calendrier de Bâle………………………………………..26 Section 3 : Les différentes catégories du risque opérationnel………………..27 Section 4 : Les pratiques de saine gestion des risques opérationnels……....30 Section 5 : Les différentes approches du calcul des

redéfinis dans le cadre de la transformation du ratio Cooke en ratio Mac Donough. Risques opérationnels Contrairement aux précédents, ces risques ne sont pas spécifiques à l’activité bancaire mais communs à toutes les entreprises. Le comité de Bâle définit le risque opérationnel comme le "risque de pertes provenant de processus internes inadéquats ou défaillants, de personnes et systèmes ou d'événements externes". Cette définition recouvre les erreurs humaines, les fraudes et malveillances, les

avec les nouvelles contraintes que connaît le système bancaire classique. En effet, le conseil de stabilité financière (FSB) souligne que le shadow banking risque de se développer davantage encore en réaction aux nouvelles règles bancaires dites de Bâle III, qui prévoient d'obliger les banques à renforcer considérablement leurs fonds propres. C'est un des arguments régulièrement invoqué par les banquiers qui s'insurgent contre la nouvelle réglementation. Selon eux, non seulement elle les handicape

Mohamed Mouad Année Universitaire 2014-2015 Plan Introduction  Chapitre 1 : Historique du comité de Bâle I – Création du comité de Bâle II – Missions du comité de Bâle Chapitre 2 : Contenu de l’accord de Bâle I I- L’accord de Bâle I : Ratio Cooke : II- Méthode de calcul de Ratio Cooke : III- Cas pratique  Chapitre 3- limites de l’accord de Bâle I : I – Agences de Notation II- Insuffisantes de Bâle I Conclusion Introduction : A l’ère de la globalisation, l’expansion des activités de

disponible en ligne à l’adresse : http://www.cairn.info/article.php?ID_REVUE=ECOP&ID_NUMPUBLIE=ECOP_178&ID_ARTICLE=ECOP_178_0141 Impact de Bâle II sur l'offre de crédit aux PME par Maud AUBIER | La Documentation française | Économie et Prévision 2007/2 - n° 178 ISSN 0249 – 4744 | pages 141 à 148 Pour citer cet article : — Aubier M., Impact de Bâle II sur l'offre de crédit aux PME, Économie et Prévision 2007/2, n° 178, p. 141-148. Distribution électronique Cairn pour La Documentation