Balkans 19ème

pratiquement jamais convoquée. Ou encore l’Empire Ottoman qui est alors considéré comme « le vieil homme malade » de l’Europe. C’est un empire extrêmement fort mais qui se fissure à cause de la contestation du peuple. Sans compter les protestations dans les Balkans, où des nations comme la Roumanie ou la Bulgarie veulent prendre leur indépendance. A partir de 1848, a lieu le « printemps des peuples », c’est l’éveil des sentiments nationaux. L’Europe est alors animée par l’émergence des nationalismes. Et chaque

humayun sont annoncés dans des périodes délicates pour l’Empire, lorsque Ibrahim menace la capitale et lorsque les puissances négocient le traité de Paris, et c’est aussi le cas pour la constitution de 1876, qui est promulguée après la crise des Balkans. En 1875, malgré les apparences, l’Empire ottoman n’est pas moribond, dans les faits ce n’est pas « l’Homme malade » dont parle le tsar Nicolas I. Son délabrement n’est pas fonction de ses pertes territoriales. Les efforts effectués par l’Empire

et technique pour faire la guerre au plus vite avant qu’il ne soit trop tard. L’Allemagne encerclée, par la Triple-Entente, se rapproche de l’empire austro-hongrois et le soutient sans hésitation dans sa politique belliciste qu’il mène dans les Balkans. D’autres responsabilités peuvent être dégagées . L’Autriche-Hongrie a voulu la guerre. L’assassinat de l’héritier du trône le 28 juin 1914 par un nationaliste serbe a joué un rôle majeur dans la mesure où les Autrichiens cherchaient un prétexte

moment de l’exercice. 1798, marque l’intrusion de la « Grande Nation » en Méditerranée, elle constitue le moment où les Républicains rêvent de voir se multiplier les « Républiques soeurs » comme ils en créent en Italie, ou rêvent d’en créer dans les Balkans, quand Bonaparte renonce à la politique traditionnelle de soutien à l’Empire ottoman (cf le cours). L’année 1798 est également marquée par la mort de Rhigas, dont l’action et les écrits lance le mouvement de la création de l’Etat-Nation grec. 1939

rechercher les traces laissées par cet empire dans les Etats qui lui ont succédé sur son territoire ; Etats qui sont principalement arabes, mais le cas turc sera évoqué dans une perspective comparative, et, de manière beaucoup plus anecdotique, celui des Balkans. * On pourrait formuler la question en ces termes : en quoi l’Empire ottoman survit-il à sa destruction ? * Approche diachronique, à travers l’évolution de l’Empire ottoman, depuis ses fondements jusqu’à son démembrement, avec une attention

catholique. C’est le Schisme. Ils fondent alors une église chrétienne particulière : l’église orthodoxe. Au XIIe siècle, l'empire Byzantin rencontre des difficultés et subit des pressions extérieures considérables : Installations des Normands dans les Balkans mais principalement la conquête de l'Asie mineure par les Turcs. Constantinople sera pillé par les occidentaux (Francs, Vénusiens…) B°) Le Monde Musulman. Au début du 7e siècle, une nouvelle religion est prêchée par le prophète Mohammed: l'Islam

mentionne que Narbonne est une ville celte alors que Massalia est une ville de Ligurie près de la Celtique. À la fin du IVe siècle av. J.-C., les Grecs se heurtent aux Galates. En -310, des Celtes menés, entre autres, par Molistomos, traversent les Balkans et gagnent l'Asie mineure près de Byzance. Ils sont défaits et intégrés à l’Empire romain en -187[3]. Jules César mentionne ainsi les Celtes : « La Gaule se divise en trois parts, l’une habitée par les Belges, une autre par les Aquitains et la troisième

étude de cas met en évidence, à travers l’ensemble documentaire retenu, le morcellement politique au sein de l’Europe médiane et en recherche les causes. De l’Europe des empires en 1914 à l’Europe médiane actuelle Dix ans de confl its dans les Balkans (1991-2001) Juin 1991 Éclatement de la Yougoslavie, suite aux déclarations d’indépendance de la Slovénie et de la Croatie. 1991 Guerre entre la Slovénie et la Serbie. 1991-1995 Guerre entre la Croatie et la Serbie. 1992-1995 Guerre entre la

Macédoine et à leurs revendications autonomistes. L’éviction d’Albanais macédo­niens qui a suivi n’a pas soulevé de protestations. Cette mansué­tude à l’égard de la Macédoine s’explique par le volant économi­que de la grande stratégie américaine dans les Balkans depuis 1998 : créer un couloir pour écouler le pétrole de la Caspienne à travers un oléoduc turco-balkanique débouchant en Autriche et en Italie. Cinq milliards de dollars ont été débloqués par le Sénat pour financer le projet. La stabilité de la

plus les mêmes : l'Allemagne a capitulé, pas le Japon ; il faut organiser la paix, alors que Staline se montre peu empressé à respecter ses engagements de Yalta (février 45), que les dirigeants occidentaux ont changé, que les Russes occupent les Balkans et l'Europe orientale tandis que les EUA annoncent qu'ils détiennent l'arme atomique. L'Allemagne doit rester un état unique soumis à quatre zones d'occupation. Les trois se mettent d'accord sur les transferts de populations depuis la Pologne