Bals de Paris

cherchait bientôt tous les maîtres capables de donner à ses grâces les grâces françaises. Marie-Thérèse entourait sa fille de tout ce qui pouvait lui parler de la France et lui apporter l'air de Versailles, des livres de Paris à ses modes, d'un coiffeur français à un instituteur français, l'abbé de Vermond. Sa préoccupation constante était de montrer aux Français sa beauté et son esprit naissants, d'en envoyer le bruit à l'Œil-de-Bœuf, d'en occuper la curiosité désœuvrée

deuil au désir ardent de parvenir. - Regard ambitieux et dévorant «  qui semblait par avance en pomper le miel ». - Paris réduit aux beaux quartiers : «  là où vivait ce beau monde » « Vendôme » « Invalides » > Paris apparait comme la ville des diners, des bals… avec « où commençait à briller les lumières » + diner projeté cz Nucingen. C. Le deuxième naissance de Rastignac. - Paris : objet de désir, une proie. > défi lancé par la célèbre apostrophe « A nous deux maintenant! » > provocation en duel

ètre banni du lieux! ... D'autant plus que ces courtisans n'existe que par la volonté du Roi et qu'il leur verse des pensions importantes pour qu'ils soient à son service. Les courtisans n'ont pas d'autre objectif que de bavarder, de danser aux bals, de se divertir, de dépenser de l'argent, de se promener, de chasser, d'aller aux receptions et aux spectacles et, surtout, de se faire remarquer du Roi. Le "monde" de Versailles est un monde où les relations humaines sont basées sur les calculs

famille part à Paris où Renoir suit sa scolarité. À l’âge de 13 ans, il entre comme apprenti à l’atelier de porcelaine Lévy Frères & Compagnie pour y faire la décoration des pièces. Dans le même temps, il fréquente les cours du soir de l’École de dessin et d’arts décoratifs jusqu’en 1862 1858 : à l’âge de 17 ans, pour gagner sa vie, il peint des éventails et colorie des armoiries pour son frère Henri. En 1862, Renoir réussit le concours d'entrée à l’École des Beaux-Arts de Paris et entre dans

vraisemblance de son récit, tout en nous livrant cependant sa propre vision du monde quelque peu fantastique. Ainsi, à travers une description réaliste de Paris, Maupassant nous amène à percevoir le portrait de Georges Duroy et à nous livrer sa propre vision de la société de l’époque. Cet extrait de Bel-Ami nous présente la ville de Paris par une description classique et réaliste, tout ceci dans un registre trivial. En effet, la présence de présentatifs tels que « c’était » au début du texte

que dans une pareille situation sociale il est impossible de manquer de quoique ce soit. En effet elle organise des réceptions, des bals où de nombreux invités de la haute société se pressent de venir. Cependant il se trouve que cette vicomtesse possède un amant qui va la quitter. Suite à cela, au terme d’un bal où elle invitera Delphine de Nucingen, elle quittera Paris. De ces événements nous pouvons déduire plusieurs choses. Elle avait un amant et donc son mari ne la satisfaisait pas complètement :

que l''amour est une source d''énergie et non une faiblesse. Le genre Le genre du Père Goriot est unique mais on l''associe à un roman réaliste. Il s''oppose au romantisme et au classicisme. Le cadre L''action se déroule à paris, près du Panthéon, dans les quartiers riches de Paris. En 1819. Contexte historique : Restauration. Les personnages principaux 4 des personnages qui reviennent le plus souvent chez Balzac sont présents (Nucingen, Bianchon, Marsay, et Rastignac) Chacun des personnages renvoit

François Ier a voulu faire de la sienne un centre d’arts, d’élégance, et de vie mondaine. La cour royale s’organise peu à peu et devient plus importante, mieux ordonnée, et ne se réduit plus à un cercle mondain. A la cour on organise des théâtres, des bals, des promenades et des chasses. D’où le rôle prépondérant de la conversation. Il s’agit d’un réveil progressif des arts. Il faut attendre l’avènement de François Ier pour voir s’animer le milieu artistique. Grace aux ambitions de gloire et de prestige

Eugène de Rastignac, jeune "ambitieux", rêve de s'introduire dans la haute société parisienne. Grâce à la recommandation de sa tante, il est invité à l'un des bals que donne Mme de Beauséant, l'une des femmes influentes de Paris. Il est ébloui par cette soirée et s'éprend de la Comtesse Anastasie de Restaud. Tant que le Père Goriot mettait sa fortune à la disposition de ses filles, ses gendres le ménageaient. Il a marié Anastasie au Comte de Restaud et Delphine au banquier Nucingen. De retour

Versailles : Charles Le Brun, le grand peintre-décorateur, Le Vau l’architecte, Le Nôtre le paysagiste. Il faut y ajouter les frères Coustou, Pierre Mignard et Hyacinthe Rigaud. Le château de Versailles a été conçu à la fois pour éloigner la cour d'un Paris qui avait fait trembler le roi pendant la Fronde, pour détourner la noblesse de nouvelles velléités de révolte contre l'autorité royale en l'étourdissant et en l'asservissant de divertissements, de fêtes et de chasses, mais aussi et surtout pour servir