Bals de Paris

pour autant les aspects de la vie urbaine. Gustave Caillebotte, Pissarro, Renoir, Monet captent depuis des balcons d'immeubles la vue vertigineuse des boulevards et l'enfilade des façades, l'animation des piétons et des voitures caractéristiques du Paris du Second Empire, rénové par le préfet Georges Eugène Haussmann. LES SPECTACLES ET LES PLAISIRS Auguste Renoir, Bal du Moulin de la Galette Degas préfère l'atmosphère enfiévrée et secrète des coulisses de l'Opéra, les répétitions, le spectacle

qu’elles ne marcheront pas sur les Parisiens qui s’emparent alors des Invalides, y trouvent trente mille fusils et douze canons. Il ne manque plus que la poudre et les balles. Une première puis une deuxième délégation des électeurs de la ville de Paris sont reçues par le gouverneur Launay à la Bastille mais n’obtiennent ni poudre, ni balles, alors qu’en fin de matinée la foule commence à se masser devant la forteresse. Vers 13 h 30, les défenseurs de la Bastille, des invalides, répondant aux ordres

Londres, Napoléon III exprime le vœu d’une exposition à Paris. Et dès le 22 juin 1863, soit quelques mois seulement après la clôture de l’exposition universelle de1861, tenue à Londres, que Napoléon III signe le décret convoquant une nouvelle « exposition universelle des produits agricoles et industriels » à Paris, en 1867.

Travail écrit en interdisciplinarité (Histoire-Français) Henri de TOULOUSE-LAUTREC | | Dans le cadre du cours de français et d’histoire et de notre voyage à Paris, je vais présenter de manière synthétique la vie du peintre Henri de Toulouse-Lautrec ainsi que l’analyse d’une de ses œuvres, La danse mauresque, exposée au Musée d’Orsay. Cette synthèse aura la structure suivante : je vais d’abord aborder la vie du peintre dans la relation avec son art, ensuite je ferai l’analyse de La danse

Versailles à Versailles fut la résidence des rois de France Louis XIV, Louis XV et Louis XVI. Le roi et la cour y résidèrent de façon permanente du 6 mai 1682 au 6 octobre 1789, à l'exception des quelques années de la Régence. Situés au sud-ouest de Paris, dans la ville de Versailles en France, ce château et son domaine visaient à glorifier la monarchie française. Le château est constitué d'une succession d'éléments ayant une harmonie architecturale. Il s'étale sur 63 154 m² répartis en 2 300 pièces

Paris apparaît alors comme objet de désir. L’espérance retrouvée, c’est la fascination du Paris élégant, perçu comme ne proie désirable. Il faut faire l’analyse précise de l’avant-dernier paragraphe où chaque terme montre les séductions de ce monde sous le regard d’un homme jeune. La sensualité de paris est dans « tortueusement couché », comme dans une pose de courtisane. L’éclat des fêtes est celui d’une ville où « commençaient à briller les lumières », qui annoncent les dîners, les bals de la

esclaves noirs de leur champs. Durant la révolte des esclaves, Joséphine emmène sa fille fuir pour Paris, où elle et son mari seront emprisonnés à la Bastille. Les deux enfants erront dans les rues, aidés par leur gouvernante, la comtesse de Lannoy. Apres la «Terreur», leur mère sera libérée, mais ils seront pauvres et dans les rues. Joséphine s’est rapidement collée sur les riches influants de Paris, envoyant sa fille dans un pensionnat de Madame Campan. Elle reçut une excellent éducation, apprenant

Le fait que cette doctrine condamne les divertissements futiles tel que les bals, les tournois et même l’amour permet de voir toutes les conséquences de leurs superficialités, nous pouvons prendre l’exemple du bal donné au Louvre pour les fiançailles. Cela provoque le meilleur divertissement à la cour, c’est-à-dire le divertissement

voyous et des voleurs de l’époque. En 1825, Michel Casseux dit Pisseux ouvre la première salle officielle de savate et est le premier à l’enseigner. Ses disciplines étaient peu fréquentables et démontraient leurs techniques fraîchement acquises dans les bals populaires et cabarets parisiens. On cite comme ayant été de ses élèves : le dessinateur Gavarni, le Duc d’Orléans, Lord Seymour (dit Milord l’Arsouille) fondateur du « Jockey Club », Charles Lecour et Théophile Gautier. « La Boxe française est une

dont la publication commence dans la Revue de Paris et qui paraît en 1835 en librairie. Il fait partie des Scènes de la vie privée de La Comédie Humaine. Le Père Goriot établit les bases de ce qui deviendra un véritable édifice : La Comédie Humaine, construction littéraire unique en son genre, avec des liens entre les volumes, des passerelles, des renvois. Personnages principaux: Eugène de Rastignac Venu de Charente pour étudier le droit à Paris. À la maison Vauquer, il rencontre Vautrin qui