Bals de Paris

différents symboles de la république tels que le 14 juillet ( cérémonie républicaine ), la Bastille ou encore La Marseillaise. Ces différents symboles sont exposés et enseignés afin de présenter la république de manière positive, donnant lieux à des bals, des banquets mais aussi en évoquant des dates et des faits historiques glorieux permettant ainsi la construction d’une identité française qui serait avant tout une identité républicaine. 3) la biographie de l’auteur met en évidence un autre

toute prudence et ne se méfie même pas du guet-apens dans lequel il est entraîné.       II. Orgon   Orgon est le père de famille de la maison. Il est à la fois le dupe et le disciple et le disciple de Tartuffe. C'est un homme qui habite Paris et qui est suffisamment riche pour permettre à sa femme d'être vêtue " ainsi qu'une princesse "(v30). Orgon est extrêmement influençable et fragile qui s'est réfugié dans la religion parce-que, vieillissant, il n'a pas réussi à s'adapter à un monde

affaires avec des amants pour établir, encore une fois, plus de connections avec des gens de fortune. L’époux de Mme de Beauséant, par exemple, l’a quittée pour Mlle de Rochefide. Aussi, les personnes nobles se doivent d’assister aux grands événements, bals, théâtre, etc. pour se faire voir, se vanter et valider en quelque sorte leur position dans la haute société. Donc, le désir de l’ascension social est présent dans la société tant du côté des «nobles en devenir» que les nobles eux-mêmes. En second

l’espérance, une deuxième naissance. Plongé dans ses méditations, concentré sur sa pensée, Eugène est devenu un autre homme ; ce court début de phrase, « Il se croisa les bras, regarda les nuages… », marque la détermination et la foi dans l’avenir. 3. Paris : un objet de désir Nous sommes entrain d’assister à la compromission d’un cœur pur qui choisit la vengeance pour se disculper. En effet la première chose qu’il décide de faire ensuite c’est d’aller dîner chez sa maîtresse, la fille absente à l’enterrement

premiers daguerréotypes d'Égypte, qui donnèrent lieu à un livre, les Excursions daguerriennes. « Il était un homme d’esprit, caractère aimable, une nature droite, honnête, loyale, vive et sensée », écrit Sainte-Beuve2. À l’Exposition universelle de Paris de 1855, il occupa comme Ingres une salle entière et reçut la médaille d’honneur, ce qui le plaça en tête des peintres de son époque. Le peintre anglais Edwin Henry Landseer dit de lui : « Les tableaux de Vernet l’emportent sur ceux de tous ses rivaux

simples. Les principaux représentants sont Claude Monet, Paul Cézanne, Pierre-Auguste Renoir et Alfred Sisley. Vers 1862, des jeunes peintres disent que l’art est sclérosé par des règles trop rigoureuses enseignées aux beaux arts. Ils s’associent à Paris avec Claude Monet. Ils suivent la voie tracée par Eugène Boudin et Johan Barthold Jongkind dans les années 1850-1860, ces derniers exécutent leurs tableaux en plein air, sur le motif, ils tentent de saisir les manifestations de l’atmosphère. Ils évitent

d’œillets… Marie-Antoi­nette règne sur les tendances comme elle règne sur le cœur de son mari, avec panache Sa paru­rière et marchande de modes, la demoi­selle Rose Bertin, qui tient par ailleurs boutique dans la rue du Faubourg-Saint-Honoré, à Paris, orchestre la révo­lu­tion de satin de la jeune souve­raine, elle lui donne un nouveau pouvoir en veillant à ce que chacune de ses appa­ri­tions publiques crée toujours plus de surprise et d’en­vie que la précé­dente. Les deux femmes ont été présen­tées

    Paris apparaît alors comme objet de désir. L’espérance retrouvée, c’est la fascination du Paris élégant, perçu comme ne proie désirable. Il faut faire l’analyse précise de l’avant-dernier paragraphe où chaque terme montre les séductions de ce monde sous le regard d’un homme jeune. La sensualité de paris est dans « tortueusement couché », comme dans une pose de courtisane. L’éclat des fêtes est celui d’une ville où « commençaient à briller les lumières », qui annoncent les dîners, les bals de la

aussi que dans l’œuvre, nous avons un refus du pittoresque et une allusion linéaire à Paris. Nous devons rappeler que Musset a puisé l'idée de son drame dans les œuvres de George Sand, Varchi, et Marguerite de Navarre. Une légende dit que Musset aurait écrit son œuvre sur place, c'est à dire Florence, au moment même du drame florentin. Cependant Jean Pommier a confirmé que l’œuvre avait été composée à Paris, et que Musset n'avait passé que deux ou trois jours à Florence. On peut donc dire que

marché de consommation culturelle. La mode atteint les milieux modestes: développement des bazars (Angleterre, 1820), grands magasins (France, second empire), et de la publicité. Nouveaux loisirs: bals populaires (caboulots et guinguettes), Fêtes foraines et cirques, trains de plaisance, courses et paris, football (Angleterre 1880), cinéma ( Méliès)... extension de l'instruction dans la plupart des pays, recul de l'analphabétisme + apparition d'une presse et de romans bon marchés = développement