Bals de Paris

donc plutôt un thème vaste qui parcourt les différents mouvements picturaux de cette période. Cet attrait pour l'ailleurs, la recherche de l'exotisme, influença donc la société. Les salons de la bourgeoisie et de la noblesse donnèrent réceptions et bals costumés sur le modèle fantastique et coloré des cours d'Orient. Certains personnages fortunés prirent la pose pour faire leur portrait revêtus des habits soyeux seyant à un émir. L'« orientalisme moderne », en peinture, est le prolongement de l'orientalisme

fut certainement pas joyeuse « …enfermée dans un sombre château médiéval, entre une belle-mère très pieuse, et un mari illettré, d'esprit militaire. »1 Entre 1515 et 1518, la situation matérielle de Marguerite s'améliore nettement : cadeaux du roi, bals, fêtes… car son frère cadet, François de Valois-Angoulême, est monté sur le trône de France en 1515 (sous le nom de François Ier) à la mort de Louis XII. Marguerite remplace même dans les cérémonies officielles sa belle-sœur, la reine Claude, première

Le Moulin de la Galette II)  Présentation de l’artiste :  Pierre Auguste Renoir est le fils d'un modeste tailleur : né à Limoges le 25 février 1841, il débute à Paris à quatorze ans comme peintre sur porcelaine, puis travaille comme graveur sur médailles, tout en peignant des éventails et des stores.  En 1862, il étudie avec Gleyre, rencontre Monet, Sisley et Pissarro. Avec eux, mais aussi d'autres peintres comme Degas et Cézanne, ou avec le photographe Nadar, ils se rencontrent au café Guerbois

pension bourgeoise,l'entrée dans le monde,trompe la mort et la mort du père. Dans la première partie il y a une très minutieuse et longue description de la pension bourgeoisie où vit la plus grande partie des personnages. L'histoire se déroule à Paris dans un quartier plutôt horrible et inconnu entre le faubourg Saint-Marceau et le quartier latin,où se trouve la maison Vauquer,une pension bourgeoise dirigée par Madame Vauquer. Ce drame commence en 1819 et à ce moment là il y a sept pensionnaires

Résumé du roman Court: Rastignac est un jeune homme de petite noblesse. Il vient à Paris esperant y rencontrer la fortune. Mais il n'a ni l'argent, ni la connaissance de la société parisienne necessaires. Une de ses cousines lointaines, Madame de Beauséant, une des dernières grandes dames, le prend sous son aile pour l' aider à appréhender ce monde qu'il ne connait pas. Grâce aux femmes, il va apprendre les moeurs de cette société pervertie et en s'adaptant parviendra à en gravir les échelons

profonde. Séquence 1- travaux en autonomie n°1 * Faire une fiche sur l’auteur * Cibler les moments importants de sa vie. Paul Verlaine naquit à Metz le 30 mars 1844. Issu d’une famille de la petite bourgeoisie, il fit des études à Paris. A cette époque il se rend souvent dans des cafés et des salons littéraires parisiens. C’est en 1866, à tous justes 20 ans qu’il collabore au premier Parnasse contemporain et publie les célèbres « Poèmes Saturniens ». Puis en 1869, « les Fêtes galantes »

augmente : Milan, Prague, Anvers, Marseille, Lyon. ➢ Les capitales qui deviennent de gigantesques métropoles : En 1900 Londres : 4.5 millions d’habitants En 1910 Londres : 7 millions d’habitants. La plus peuplé, la plus grande : 1790 km2 En 1910 Paris : 2.9 millions d’habitants. En 1910 Berlin : 2 millions d’habitants. ➢ Ville américaine : expansion urbaine spectaculaire : New York 1800 : petit port modeste New York 1900 : 2e agglomération du monde New York après la 2e Guerre Mondiale :

l’extravagance. La contrainte, ayant fait naître un besoins de jouissance et de liberté, bouleversa en quelques années les arts, la mode, les sciences, par de nombreuses découvertes, d’où le succès phénoménal de l’exposition des arts décoratifs de 1925 à Paris. Elle avait initialement été prévue pour 1916 ; contrairement à ce que l’on imagine parfois, le style Art Déco, auquel elle a donné son nom, a pris naissance bien avant les « années folles ». Ses origines doivent être recherchées dès le début du

Le Père Goriot de Balzac Roman d'Honoré de Balzac (1835) Résumé du roman Paris, automne 1819. Dans une pension miteuse de la rue Neuve-Sainte Geneviève, la maison Vauquer (du nom de sa tenancière), se côtoient des pensionnaires et des habitués du quartier qui ne viennent y prendre que le dîner . Ils ont pour nom Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac et le père Goriot. Quelques personnages émergent de ce groupe de pensionnaires

l´hexagone, c´est pas la gloire, en vérité, et le roi des cons, sur son trône, me dites pas qu´il est portugais. Ils font la fête au mois d´juillet, en souvenir d´une révolution, qui n´a jamais éliminé la misère et l´exploitation, ils s´abreuvent de bals populaires, d´feux d´artifice et de flonflons, ils pensent oublier dans la bière qu’ils sont gouvernés comme des pions. Au mois d´août c´est la liberté, après une longue année d´usine, ils crient : "Vive les congés payés", ils oublient un peu