Banania

CIC, AXA, ELF, GAN), de marque (Peugeot, Citroen), de produit (XM, Xanthia), en utilisant des slogans (Gervais, j'en veux), des logos (Bibendum de Michelin, le lion de Peugeot, Yoplait, la petite fleur)... Par là ils entrent dans une RS ("Ya bon Banania" et le colonialisme, "Un constructeur sort ses griffes" contre le péril jaune). 2. Les opinions. L'opinion est l'expression de la représentation sociale par les jugements proférés à son sujet. Elle s'étudie par les questionnaires d'opinion, les sondages

puissance évocatrice du nom : Une des possibilités et des avantages procurés par l’utilisation du produit. Exemple : Mr Propre / Taillefine / Conforama. On peut suggérer certain attribut du produit : couleur, aspect, composition. Exemple : Coca-Cola / Banania / Pom’Potes / Calor. Le risque est d’enfermer ma segmentation. Nom aisément déclinable pour jouer sur la notoriété : Exemple : Nestlé  Nespresso  Nesti  Nesquik / Danone  Danette  Danao  Danup. Précaution : Le nom doit être facile à distinguer

construction de ces images de l'Autre. La propagande coloniale autour de l'Empire et de l'Union Française est très active jusqu'aux années 1950, dans les journaux (France Outre-mer, AOF Magazine), les brochures, les manuels scolaires, la publicité (Banania), la bande dessinée (Tintin et Milou au Congo) au cinéma (Le bled de Jean Renoir en 1929) et bien sûr dans les romans. Cette ¨culture ¨de masse se répand largement aux Etats-Unis bien avant l´arrivée de la radio, télévision dans les foyers. En 1892

et la plus stéréotypée, c’est la présence de l’autre dans l’univers publicitaire. Cela fait près de 150 ans que des personnages noirs, orientaux, asiatiques ou juifs servent de symboles et sont sensés vanter les mérites d’un produit authentique (Banania, Uncle Ben’s, Vahiné…). - L’icône héroïque : elle est représentée par des personnages réels qui concentrent en eux les pouvoirs d’une intégration réussie : Zidane, Ronaldo, Desailly… Ils ne sont pas seulement des éléments du décor, mais bien des

littérature, il trouve son origine dans le « français tirailleur », utilisé comme stéréotype dans le roman colonial pour mettre en scène la parole des Noirs, puis érigé comme repoussoir par la Négritude : Senghor, en 1948, promet de déchirer « les rires banania sur tous les murs de France39 ». Après les Indépendances, cette représentation dévalorisante n’est pas l’objet d’une réappropriation identitaire dans la littérature et caractérise davantage des personnages secondaires. Mais quelques ouvrages, notamment

servent de symboles et sont censés vanter les mérites d’un produit authentique. Sans généraliser, et pour faire simple, ce personnage ethnique est un objet du discours publicitaire, généralement lié à quatre fonctions : souligner l’origine du produit (Banania, même si l’origine est antillaise et non africaine), la couleur du produit (Uncle Ben’s : l’antinomie de la blancheur du riz), la praticité ou la qualité du produit, mettre en exergue une situation humoristique (Vahiné : un Noir au fort accent pour

embellir la situation en cas de pb, en cas de besoin d’aide ils changent pour avoir des aides plus facilement. Part de l’agriculture très élevée mais pas tellement quantifiée. Données sujettes à caution. Biaisé car bcp de points de vue racistes : Banania, Folklore, Media vendent mieux quand elle accable l’Afrique. Hommes : 1er critère de différenciation. Au nord on termine la transition démographique (Tunisie : 2,1 enfant par femme), Afrique Noire : Niger : 1 enfant sur 4 meurt avt 5 ans, 52.6

de viande en ajoutant des épices, qui apportent un goût fort mais simple à cuisiner Comment vont évoluer les goûts ? D'un côté, les enfants mangent certains produits qui leur sont destinés, qui sont connotés : certains yaourts ou gâteaux, le Banania, etc. De l'autre côté, il y a des aliments que les parents ne donnent plus quand ils voient qu'ils ne sont pas appréciés. L'enfant a donc une alimentation différente de celle des adultes. Puis, à un moment donné, les adolescents vont réessayer des

moulés corps et âmes, et n’ont été plus considérés hors de ces moules. Dans la littérature occidentale, des stéréotypes ont été ainsi créés : le nègre est devenu l’éternel idiot, l’éternel incapable, l’éternel bouffon avec son éternel rire « banania », l’être voisin du singe qui ne peut être autre qu’un domestique.»2 ͳ Š‡˜”‹‡”ȋ ƒ…“—‡•Ȍ ǣ ‹––±”ƒ–—”‡ °‰”‡ǡ ƒ”‹•ǡ ”ƒ† ‘Ž‹ǡ ͳͻͺͶǡ ’ͻͺǤ ʹ „‘—‘— ȋ Ǥ ƒ‘—–ƒȌ ǣ –”‘†—…–‹‘  Žǯ±–—†‡ †— ”‘ƒ ±‰”‘Ǧƒˆ”‹…ƒ‹ †‡ Žƒ‰—‡ ˆ”ƒ­ƒ‹•‡ǡ

aux autres élèves et dites en quoi la réalité a, oui ou non, évolué depuis 1975, date de la publication de La vie devant soi. Dans le roman, Romain Gary s’amuse avec les prénoms des enfants, qu’il n’a pas choisis au hasard : Moïse, Mohammed, Banania. 2. Après avoir rappelé ce que ces prénoms sont censés représenter et symboliser, présentez rapidement les tenants et aboutissants des religions juive et arabe. Dites en quoi elles sont différentes et en quoi le roman de Romain Gary est une leçon