Bank of Scotland

l’industrialisation auraient été freinés. C’est grâce à l’accroissement de la monnaie de banque et à l’usage du chèque qu’on a pu tourner la difficulté. » 24 Document 29 / L’évolution de la structure de la masse monétaire in R. Triffin, The Evolution of the International Monetary System, Yale, 1964, cité in Y. Crozet, M. Niveau, Histoire des faits économiques contemporains, op. cit Evolution de la structure de la masse monétaire des Etats-Unis, de la France et du Royaume-Uni (1815-1913) en %

répondre aux chocs successifs de 1998 à 2003, les banques centrales mondiales avaient baissé longuement et fortement les taux d'intérêt. b-Les causes internes et propres à l’U.S.A : Les causes de cette crise sont imputées à la FED(Federal Reserve Bank)qui a pratiqué entre 2003 et 2004 des taux d’intérêts jugés trop faibles, incitant à la distribution « agressive » de crédits aussi bien qu'à la recherche par les investisseurs et les épargnants de « suppléments » de rémunération, obtenus par le développement

recomposition de la distribution de services financiers : Internet Ainsi, l'e-hystérie Internet semble vouloir tout balayer sur son passage. A ce titre, Rolf Breuer, président du directoire de la Deutsche Bank, déclarait récemment à l'occasion de la tentative de fusion avec la Dresdner Bank vouloir mettre en vente les deux réseaux. A l'écouter, Internet rendrait caducs les modèles et l'orthodoxie stratégique des banques de détail. Etant donné la réputation de leur auteur, ces déclarations sont

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Deutsche Bank détient en 2006 presque 20% du marché global. Loin devant l'UBS (11.86%) et Citigroup qui détiendrait 10.39% du marché. Top 10 Currency Traders :  % of overall volume, May 2006Source: Euromoney FX survey | Rank | Name |  % of volume | 1 | Deutsche Bank | 19.26 | 2 | UBS AG | 11.86 | 3 | Citigroup | 10.39 | 4 | Barclays Capital | 6.61 | 5 | Royal Bank of Scotland | 6.43 | 6 | Goldman Sachs | 5.25 | 7 | HSBC | 5.04 | 8 | Bank of America |

contribuable. Il a payé une première fois les interventions de sauvetage, d’une ampleur sans précédent, des pouvoirs publics. La facture a revêtu plusieurs formes. Au Royaume-Uni, Gordon Brown aura nationalisé deux grandes banques, Northern Bank et Royal Bank of Scotland. Canada excepté, les autorités politiques ont partout garanti les fonds propres du système bancaire en levant des capitaux pour un coût non négligeable, même si les établissements financiers ont commencé à rembourser. “Le sauvetage de

links to wholesale derivatives markets David Rule and Adrian Garratt, Sterling Markets Division, and Ole Rummel, Foreign Exchange Division, Bank of England Hedging and taking risk are the essence of financial markets. A relatively little known mechanism through which this occurs is the market in structured notes, which have embedded derivatives, some of them very complex. Understanding these instruments can be integral to understanding the underlying derivative markets. In some cases, dealers

opérations de rapprochement bancaire se sont presque toujours réalisées au niveau domestique. Souvent, ces opérations se sont réalisées entre acteurs régionaux ayant des liens culturels étroits. Pendant cette période, au Royaume-Uni, les banques Lloyds Bank et TSB fusionnent pour former Lloyds TSB. En France, il y a le rapprochement de BNP et Paribas pendant l’année 2000 qui forme le groupe BNP-Paribas un des leaders mondiaux du secteur bancaire. Deux ans plus tard, le Crédit Lyonnais est racheté par

dont dispose l’administration, c’est encore une fois ce que l’arrêt Janfin en valeur ici. * L’arrêt Janfin ouvre alors un courant jurisprudentiel nouveau, comme on peut le voir cette même année 2006 avec l’arrêt Bank of Scotland du Conseil d’Etat en date du 29 décembre 2006 où le juge sanctionne une opération entre deux sociétés. En reprenant le raisonnement que la Cour suprême avais émis lors de l’arrêt Janfin, elle va ici de nouveau s’attarder sur l’existence d’un

allemand a réalisé un bénéfice après impôts de 23,5 milliards € (après 4,8 milliards € en 2004), ce dernier dépasse pourtant à peine celui de la seule Citibank (19 milliards € nets). La conséquence est que la plus grande banque allemande, la Deutsche Bank, dont le bénéfice s’élève à 3,5 milliards €, est loin du peloton de tête européen (12,6 milliards € pour HSBC, 7,5 pour ING ou 4,5 pour la Société Générale). Forte dispersion du marché La faible rentabilité est étroitement liée à l’autre caractéristique