Banque cantonale

république OK. De + divorce population/ CDL qui en outre donne une place importante au PCF Malgré une tentative de reprise (15 – 17/12/44 : assemblée nale des CDL but de conquérir le pvr), le mvt s’essoufle face au pvr central. 23 et 30/09/45 : élections cantonales fin CDL 2) La question des communistes a) Les communistes veulent-ils prendre le pvr ? Historiographie communiste : NON, prise de pvr impossible : ils voulaient au mieux un nvx Front Populaire. Jean Poperen : les cocos voulaient prendre le pvr ms

plusieurs années le domaine de la banque est en pleine mutation nous voulons continuer dans ce sens avec notre service de drive-in bancaire pour que les clients n’aillent voir leurs conseillers que dans l’absolue nécessité. Ce service étant déjà existant dans d’autres pays à travers le monde nous nous sommes interrogés sur le fait d’appliquer ce service en France. Pour cela nous avons étudié les marchés pionniers en termes de drive-in bancaire puis le marché de la banque en France ainsi que celui du

comprendre les conséquences de la mise en place de Bâle II. Certaines de ces conséquences pourraient être très importantes, il est donc essentiel de s'y préparer. Le Maroc a choisi de s'inscrire dans cette approche internationale bâloise à l'instar des banques internationales. Nous sommes désormais amenés à réfléchir de plus en plus avec cette nouvelle donne imposée par l'ouverture internationale et notre choix national. La CGEM a donc élaboré ce guide au profit des PME pour vulgariser les normes bâloises

en cause à partir de 1977 La crise des « fonds de déshérence » Les accords de 2009 et le secret bancaire actuel PARTIE II : PRATIQUES DU SECTEUR BANCAIRE SECTION I : Les acteurs La banque privée Le secteur bancaire Les « parabancaires » SECTION II : La culture de la discrétion Au sein des banques Les transferts d’argent Mécanisme de compensation Les sociétés écrans Les services de facturation Le prix de la discrétion SECTION III : La surveillance des marchés et les mesures anti

Samy Jost La théorie des coûts de transaction de W illiamson et la surveillance des banques dans l’UE euryopa Institut européen de l’Université de Genève Le catalogue général des publications est disponible sur le site de l’Institut européen: www.unige.ch/ieug Publications euryopa Institut européen de l’Université de Genève 2, rue Jean-Daniel Colladon • CH-1204 Genève Télécopie/fax +41 22 –379 78 52 euryopa vol. 27-2004 ISBN 2-940174-28-8 ISSN 1421-6817 © Institut européen de l’Université

Approche Econométrique des Déterminants de la Rentabilité des Banques Européennes. Koffi Jean-Marie, YAO Université du Luxembourg 162a Avenue de la Faïencerie L-1511 Luxembourg Grand Duché du Luxembourg Tel: 00352 466 644 624 Fax: 00352 466 644 633 Email: koffi.yao@ensae.org Résumé Ce papier analyse la rentabilité des banques dans six pays européens entre 1994 et 1997. Nous nous proposons de réexaminer le lien entre la rentabilité et certains déterminants externes et internes au système

• Page 5 : Le bassin Lémanique, Canton de Genève, Quelques chiffres, • Page 6 à page 9 : Exemples de multinationales implantées à Genève, • Page 10 : Les plus grandes entreprises du canton de Genève, • Page 11 à page 13 : Liste des banques et établissements financiers du canton qui emploient le plus de personnes, • Page 14 : Sélection d'entreprises de l'industrie horlogère et du luxe a Genève qui ont les plus gros effectifs et qui font donc partie de ce classement, • Page

d’une entreprise à un moment donné VALEURS CIRCULANTES (Working Capital, fond de roulement) | FONDS ETRANGERS | Disponible | Dettes à court terme | * Caisse, poste, banque | * Fournisseurs | Réalisable à court terme | * Créanciers | * Titres / Provisions | * Banques | * Débiteurs / Ducroire | * Acomptes clients | * Autres créances à court terme | * Dividendes, tantièmes | Réalisable à moyen terme | Passifs transitoires

secret bancaire ne joue plus un rôle fondamental. En effet, la majorité des clients des grandes banques suisses sont des institutions de prévoyance, pour lesquelles le secret bancaire ne joue qu'un rôle minime (ex : Banque Pictet, avant 1980, les 9/10ème des avoirs gérés provenait de fonds privés, contre 4/10ème aujourd'hui). Les plus intéressés au secret bancaire en Suisse sont les filiales des banques étrangères, qui ont d'ailleurs souvent une perception fausse du secret bancaire.  2- Base

A. Les différentes stratégies Comme on a pu le voir précédemment, depuis 1985 la concurrence s’est accrue. Face à une clientèle devenue de plus en plus exigeante, mieux informée ainsi qu’à des coûts d’exploitation trop importants, les banques ont donc opté pour une stratégie de diversification de leurs sources de revenus en déployant d'autres activités génératrices de commissions. Elles se sont donc intéressées au domaine de l’assurance qui est un marché porteur de fort Produit Net Bancaire*