Banque centrale

Définition • Définition de monnaie – Tout bien qui est accepté de façon généralisée comme unité de compte, instrument d’échange et réserve de valeur 80 Offre - demande • Offre de monnaie – Elle est déterminée par le gouvernement et la banque centrale – Instruments permettant de faire varier la masse monétaire: le taux d’escompte, le taux des réserves obligatoires, les opérations d’open market • Comment la Fed agit sur l’offre de monnaie (lecture Stiglitz/Walsh 592-594) • Multiplicateur (lecture

éloignés de ceux en vigueur dans la zone franche, qui regroupe huit des quinze pays membres. L’inflation devait être réduite à 10% en 2000 puis 5% en 2003, le déficit budgétaire à 5% en 2000 et 4% en 2002, la limite maximale des avances par la Banque centrale à 10% des recettes fiscales de l’année précédente, des réserves de change de trois mois en 2000 et six mois en 2003, une pression fiscale d’au moins 20%, des investissements publics d’au moins 20% des recettes fiscales, une masse salariale de

inflation provient du latin "inflationem, de inflare, enfler. soit enflure -, l'inflation a d'abord été considérée comme l'enflure de la masse monétaire en circulation, principalement des billets en circulation : il y avait inflation quand la banque centrale émettait trop de billets. Il n'y avait donc pas de construction de richesse d'où la hausse des prix. La conséquence directe de l'inflation était alors l'augmentation des prix. Aujourd'hui, c'est cette conséquence de l'inflation (au sens initial)

pouvait être retenue qui conduisait à analyser les politiques conjoncturelles et structurelles, voire les stratégies de développement (la Corée du Sud qui a appris de l’expérience du Japon de Meiji…). Le terme « gouvernements » intégrait les banques centrales et la conduite de la politique monétaire, il a été compris comme tel par la quasi-totalité des candidats. Une bonne copie questionnait l’existence de politiques économiques avant 1914, faisait ressortir les graves erreurs de politiques économiques

est devenue une crise bancaire d’ampleur internationale. La vulnérabilité des banques apparaît désormais au grand jour, sans que personne ne connaisse encore l’étendue de leur pertes sur les titres liés au subprimes, ni le montant des actifs dépréciés qui remontera finalement à leur bilan. Par conséquent, certaines banques se sont retrouvées en faillites, en manque de liquidités. Il y a donc une méfiance entre des banques qui n’osent plus se prêter des crédits entre eux malgré l’intervention des autorités

qu'elle était la veille.[pic] Une obligation peut avoir un taux de rendement négatif si elle est vendue avant l’échéance a un prix inferieur à la valeur d’émission. Contreparties de la masse monétaire : La création monétaire opérée par les banques ne se fait pas sans contreparties. Elle n’est possible que parce que les émetteurs de monnaie ont acquis un certain nombre d’actifs soit auprès d’agents économiques nationaux, soit auprès d’agents économiques étrangers. Il s’agit essentiellement :

dollars. Ce fut l'Allemagne qui en 1971 mettra fin aux accords de Bretton Woods : agacée d'avoir à acheter des dollars au taux fixe supérieur au taux naturel du marché, ce qui revenait à payer l'inflation des États-Unis à leur place, la BUBA, la banque centrale allemande, sensibilisée à l'inflation par l'hyperinflation du début des années 1920, cessa de les accepter. Le Président Nixon prit alors la décision de supprimer la convertibilité or du dollar. Après quelques années où on tergiversa, de premiers

entré en vigueur définitivement le 1er Juillet 1987, jalonne la route du SME (Système Monétaire Européen) vers l'UEM (Union Economique et Monétaire). Les deux caractéristiques principales de l'UEM sont: - une politique monétaire unique - une banque centrale, commune aux pays membres, chargée de contrôler l'émission d'une seule monnaie: l'euro. La mise en place de l'euro entraîne l'abandon du SME - destiné à établir une zone de stabilité pour les taux de change de la plupart des pays européens –

compétitivité sur le marché des changes ce qui amortira l’effet récessif du choc économique. II. Les limites de la liberté des changes A. La globalisation financière -L'autonomie de la parité n'est malheureusement pas parfaite et les banques centrales sont forcées de ramener ces parités de monnaies vers des niveaux corrects -On voit également apparaître des instabilités de prix avec les bulles spéculatives qui gonflent énormément les prix et peuvent éclater et donc faire chuter brutalement

ce mémoire est tout d’abord d’étudier l’évolution de taux de change sur le plan conjoncturel et structurel et d’en discuter ses effets sur l’économie marocaine ainsi que sa perspective. Mais avant d’entrer dans le vif du sujet posons la question centrale qui nous permettra d’appréhender le concept du taux de change : Comment est-elle la tendance conjoncturelle et structurelle de taux de change Marocain ? En quoi le taux de change peut-il avoir un impact sur l’économie marocaine ? Et comment peut-on