Banque centrale

Elle fait également face à des entrées et des sorties de capitaux, dont le solde net est mesuré par la balance des capitaux K. La somme des deux est la balance des paiements BP . • A cela s’ajoutent les variations des réserves de change de la banque centrale, qui jouent un rôle dans le système de changes fixes. • La caractéristique d’une PEO est qu’elle n’influence pas ce qui se passe dans le reste du monde. • Le modèle de base reste IS-LM. • Le passage éco fermée → éco ouverte se fait en intégrant

peut exister de manière stable tant qu’il n’est pas adossé à un État européen collectant des impôts et garantissant le transfert des dettes privées en dettes publiques. On le mesure aujourd’hui dans les pratiques de financement directes par la Banque Centrale aux Etats-Unis (la Réserve Fédérale) qui ont abouti à faire de cette dernière le principal acquéreur des titres de dette de Washington (et non plus la Chine…)[4]. Pour autant, ceci n’a provoqué nul mouvement de panique parmi les autres détenteurs

d’une devise par rapport à une autre, c’est le prix d’une monnaie exprimé en une autre monnaie, c’est-à-dire le nombre d’unités monétaires que l’on peut obtenir en échange d’une unité d’une autre monnaie … Ils sont en général contrôlés par une Banque centrale … En 1944, les accords de Bretton Woods (22 juillet 1944) qui décidèrent du nouveau système financiers de l’après-guerre afin d’en éviter une nouvelle décidèrent d’instaurer un taux de change fixe où chaque pays donnerait la valeur de sa devise

forte intervention de l’état dans l’économie, il contribue à un plus « juste développement économique ». Le contexte actuelle de crise économique nous montre bien le rôle de l’état dans l’économie, on peut citer par exemple le sauvetage de certaine banque française par l’état. Les états peuvent choisir d’avoir un rôle interventionniste dans l’économie (France, Espagne…) et d’autre pense que l’économie de marché doit se réguler par elle-même (Etats-Unis). L’économie de marché est un système économique

l’après-guerre est la suivante : la transmission internationale de la dépression résulte de l’importance des flux de capitaux spéculatifs à court terme (_hot money_), de la fragilité des systèmes bancaires, de l’absence de coordination entre banques centrales, des dévaluations compétitives et de la rigidité excessive du système de changes fixes. ajustables : fixes, parce que l’on pensait encore que cela favorisait les échanges internationaux ; ajustables, parce qu’en cas de déséquilibre

marginal à consommer)dY. Comportement de I(y) : I=I dI=o. Multiplicateur budgétaire : dy=dc+0+dg  dy/dg=1/(1-c). l’épargne de keynes est un résidu S=Y-C  dS=s dY d’où dY/dG=1/s. Financement de la politique budgétaire : financement direct par une banque centrale qui accorde un découvert au trésor public. Dette indolore qui n’implique pas de paiement d’intérêt. C’est une pratique courante dans le passé mais qui a été de plus en plus condamné et l’impossibilité de cette pratique a été mis en place par le

notamment par des investissements dans les infrastructures et les transports – a provoqué l’accroissement très rapide de l’endettement des Chinois, une surchauffe de l’économie et l’augmentation des prix immobiliers. Devant cet emballement, la Banque centrale chinoise avait relevé ses taux en 2011. Elle les avait baissés en 2012 pour pallier la morosité du contexte économique mondial. En 2013, elle les laisse inchangés, à 3 p. 100, mais elle prend des mesures de libéralisation du secteur financier

font jouer les instruments monétaires ou budgétaires. De relance De rigueur Objif : relancer-stimuler la croissance et l’emploi Objif : ralentir le taux d’inflation pour restaurer la Moyen : Banque Centrale baisse son taux directeur compétitivité-prix Effets pervers : tensions inflationnistes Moyen : Banque Centrale accroît son taux directeur Effets pervers : ralentissement de la croissance, ↑chômage Objif : relancer-stimuler la croissance et l’emploi Moyens : ↑dépenses publiques (création d’emplois

[pic] [pic] [pic][pic] DEVOIR D’ECONOMIE L’AVENIR DE L’ÉCONOMIE MONDIALE DÉPEND-IL DU COURS DU YUAN ? [pic] INTRODUCTION Trois ans après la chute de la banque d’affaire américaine « lehman Brothers », la crise financière qui secoue l’occident depuis septembre 2008 n’est pas enrayée. Bien au contraire. Les causes de la crise : les déséquilibres commerciaux et les déficits publics qui en découlent son toujours là. Les conséquences de la crise s’alourdissent et le bilan est de plus

d’intérêt directeurs de la banque centrale => coût du crédit => la demande de crédit => de la consommation et de l’investissement => de la demande … Existence d’effets pervers La politique de rigueur pour lutter contre l’inflation Mesures de politique budgétaire : des dépenses et/ou des recettes => ralentissement de la demande => ralentissement de la hausse des prix (ou stabilisation) Mesures de politique monétaire : des taux d’intérêt directeurs de la banque centrale => coût du crédit => de la