Banque commerciale du Congo

en place les fédérations d'Afrique Occidentale Française et d'Afrique Equatoriale Française; les Britanniques, l'Union Sud-africaine, la Communauté Economique d'Afrique de l'Est et la fédération Rhodésies-Nyassaland ; les Belges, l'Union économique Congo-Ruanda-Urundi, C'est à dire, dans chaque cas, des schémas d'intégration sous-régionale, Une démarche tout à fait logique: après avoir balkanisé, c'est à dire morcelé le territoire africain, les puissances coloniales ne pouvaient concevoir qu'une intégration

(filiales situées dans les pays où la main d’œuvre est habile et peu exigeante [pays asiatiques] et où il existe un marché potentiel pour leurs produits ). Ce sont des investissements directs (IDE) à l’étranger  Les investisseurs institutionnels (banques , compagnies d’assurances) jouent également un rôle important dans le processus de mondialisation financière . Ces flux sont contrôlés par cinq grandes bourses : New York (Wall Street) ,Londres (La City), Tokyo (le Kabuto-Cho), Paris et Francfort

négociations afin de précipiter un processus considéré désormais comme inévitable : les accords d’Evian consacrent la reconnaissance de l’Algérie indépendante par la France. - Le cas du Congo Belge : la reconnaissance par la Belgique suite aux émeutes parcourant le pays de l’indépendance du Congo (le 30 juin 1960) engendre un retrait brutal des forces belges. Le pays mal préparé à ce nouveau statut sombre dans l’anarchie et une guerre civile éclate en juillet 1960, menée par 2 personnalités

leader national incontesté des crédits à l’économie et des crédits à la consommation, des activités de corporate banking et de banque d’investissement, de la gestion d’actifs et des métiers de la bourse, du leasing et de la bancassurance. Attijariwafa bank est basé au Maroc et opère dans 21 pays : en Afrique (Tunisie, Mauritanie, Sénégal, Mali, Côte d’Ivoire, Gabon, Congo, Cameroun, Guinée Bissau, Burkina-Faso) et en Europe (France, Belgique, Allemagne, Pays bas, Italie et Espagne) à travers des

programmes d’ajustement structurel incohérents et drastiques, plans sociaux déguisés, exploitation éhontée de la main-d’œuvre, prix dérisoires des matières premières et fraudes, mesures commerciales désavantageuses, etc. (2) ; les interventions sauvages des multinationales occidentales et de puissantes banques orientales ; l’explosion de la dette ; les visées de certains Etats africains (interventions au Tchad et activisme « panafricaniste » de la Libye, par exemple) (3) ; la déconcertante absence

rénovation de l’aéroport de Douala, qui nécessite 15,3 milliards FCFA, la Ring-Road dans la région du Nord-Ouest, à la recherche de 143 milliards FCFA, le pont sur la Sanaga à Natchigal, qui aura besoin de 24 milliards FCFA, la route Mintom-frontière du Congo, qui recherche 79,6 milliards FCFA, le projet Sawa Beach pour donner un nouveau visage à la capitale économique, à 550 milliards FCFA, le Plan ferroviaire national, qui a besoin de 15 000 milliards FCFA, ou encore de nombreux projets routiers qui

douanières qui ont été divisées par 7 » (C. Manzagol, la Mondialisation, A. Colin 2005). Cette mondialisation du commerce a entrainé le développement d’organisation internationales afin d’aider à gérer ces marchés gigantesques, comme le FMI ou la Banque Mondiale et l’Organisation Mondiale du Commerce visant à favoriser toujours plus d’échanges, souvent au final, en faveur des pays de la Triade et des nouveaux pays émergeants G8, G20…. Cette ouverture des frontières a entraîné un nouveau marché

modifie, et l'empire colonial peut intervenir comme champ prioritaire des intérêts économiques français. On ne saurait, par exemple, décrire le développement de la colonisation française dans la presqu'île indochinoise sans mentionner l'action de la Banque d'Indochine dont les bénéfices ont sextuplé de 1885 à 1895 et triplé de 1905 à 1914. Expansion coloniale, orientation vers une mise en valeur de plus en plus systématique en fonction des intérêts métropolitains, primauté des rivalités coloniales

primordial pour ces pays d’accorder des aides et subventions nombreuses pour les secteurs agricoles et d’exploitation des matières premières. C’est pourquoi il faut que les pays d’Afrique développent leurs services financiers ruraux selon la B.A.D (Banque Africaine de Développement). Malheureusement ce n’est pas vraiment le cas actuellement, et les aides et subventions nécessaires ne sont pas délivrées. De surcroît, la croissance de l’économie africaine se voit faible. Les raisons de cette faiblesse

à deux chiffres sans toutefois promouvoir surtout aux capacités du marché. Le Maroc a injecté 41 milliards de DH sur 10 ans E N 2013, l’Afrique subsaharienne a capté près de 98% des investissements marocains destinés au continent. Les banques, les télécommunications, les mines ou encore l’immobilier et le transport concentrent l’essentiel des flux vers cette région. Des flux qui s’effectuent, pour la majorité, sous forme de prise de participation. Mais certains groupes s’orientent vers