Banque mondiale

............. 2 2.1-La stratégie de développement du Gouvernement priorités de reformes à moyen terme .... 2 2.2-Développements économiques et perspectives à moyen terme ........................................... 2 2.3-Etat du portefeuille de la Banque ......................................................................................... 5 III–ELEMENTS CLES DE LA CONCEPTION DU PROGRAMME ...................................... 6 3.1-Liens avec le DSP et travaux analytique qui ont servi dans la

L’aide multilatérale est financée par des contributions des pays riches et administrés par des institutions comme le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et la Banque mondiale. Environ 1/3 de l’aide publique au développement est multilatérale. Des institutions internationales comme la Banque mondiale (BM), le Fonds monétaire international (FMI), le Programme des nations unies pour le développement (PNUD) devaient compléter dans ce sens l’aide traditionnelle bilatérale

développement n'est pas seulement une affaire de domination, mais qu'elle doit aussi respecter la diversité culturelle. Cette nouvelle façon de percevoir l’aide au développement conduit à des résultats concluents, puisque le nombre de pauvre selon la banque mondiale en 2008 a baissé de 500 millions passant ainsi de 1,9 Milliards de personnes vivant avec moins de 1,25 dollars à 1,4 Milliards. Cependant ces chiffres peuvent être trompeurs, depuis une dizaine d’année ces aides sont sous les feux des critiques

historique : Débat sur la faillite des politiques de développement des pays Latino-Américains après les années ’50, et des SAP - PRSP. Ainsi que le débat entre le pouvoir du marché et le rôle de l’état. 3 II. Promoteurs du consensus : FMI, Banque Mondiale et Département du Trésor Américain. 4 III. Objectifs : Les dix politiques du consensus visées. 7 IV. Moyens : Économie de marché, ouverture à l’internationale et discipline macro-économique. 9 STABILISATION : L’IDÉE D’UNE DISCIPLINE MACRO-ÉCONOMIQUE

PREFACE La création de l’UMCE répond au besoin des confédérations d’entreprises des pays MEDA et de leurs adhérents, de relever tous les défis auxquels ils avaient à faire face, dont notamment, la convergence des économies des pays MEDA vers l’économie mondiale, pour asseoir une dynamique de croissance et de création d’emplois stables et durables. La stratégie de convergence lui doit d’avoir été perçue comme une démarche hautement crédible, menant à une politique éprouvée, dans un cadre maintenant la stabilité

diminuait les probabilités d'échec. D'où la formation, d'équipes de rapid results initiatives. Ce concept est décrit au travers d'un vaste projet initié par la banque mondiale en 2002 qui avait pour objectif d'augmenter la productivité de 120 000 fermes au Nicaragua de 30%. Au début du projet, une équipe d'expert de la banque mondiale travaillait pendant plusieurs mois avec le ministère de l'agriculture sur des études de marché, de l'analyse de données, et dessinèrent un plan de management à suivre

Quelle place pour l’Afrique dans l’économie Mondiale Plan à suivre  Introduction  Historique  Relation économique entre l’Afrique et les autres pays du monde  L’impact de l’économie mondiale sur l’Afrique et les autres pays du monde  L’ Afrique après la crise  Repositionnement de l’Afrique dans l’économie mondiale  Conclusion En dépit des progrès réalisés pendant la deuxième moitié des années90, l’Afrique aborde le XXIe siècle dans la catégorie des nombreux pays moins avancés

Cameroun SITUATION DE LA SANTÉ http:// www.who.int/countries/en/ Afrique Région de l’OMS Groupe de revenu de la Banque mondiale Faible revenu INDICATEURS DE SANTÉ EN COURS Population totale (2012) % de moins de 15 ans (2012) % de plus de 60 ans (2012) Espérance de vie à la naissance (2012) Population générale, hommes, femmes Taux de mortalité néonatale pour 1000 naissances vivantes (2012) Taux de mortalité pour 1000 enfants de moins de 5 ans (2012) Ratio de mortalité maternelle

corruption est aussi occasionnée pour les besoins d’une vie décente et heureuse. Elle est le résultat de l’absence de concurrence, de surveillance, de responsabilisation, d »éducation et du mépris des valeurs universelles, de la famine et des injustices mondiales. En effet, la volonté de certains pays puissants de dominer et de s’ériger en maitres du monde fait que ceux-ci arrachent et quelque soit les moyens utilisés les richesses des pays faibles. Selon eux la fin justifie les moyens. Au nombre des causes

quelques années, le problème de la corruption est en ligne de mire: il a été exposé par le Président de la Banque mondiale, M. James Wolfensohn, et le Directeur général du FMI, M. Michel Camdessus, dans leurs allocutions à l'Assemblée annuelle; le Rapport sur le développement dans te monde y consacrait De longs passages en 1996 et en 1997; des groupes d'étude y travaillent à la Banque mondiale et au FMI (ils ont soumis des rapports à leurs conseils d'administration respectifs ainsi qu'au Comité du