Banque mondiale

estimations de la Banque mondiale, le produit national brut (PNB) s'élevait, en 1994, à environ 1,95milliard de dollars, soit un revenu annuel moyen par habitant de 360dollars. L'économie, informelle ou non, dépend essentiellement de l'agriculture et du commerce transfrontalier avec le Nigeria. La privatisation de certaines entreprises, nationalisées au cours des années 1970, est prévue dans le cadre d'un programme de réformes économiques financé par la Banque mondiale (voir Banque Internationale pour

pollution des eaux rejetées dans les rivières, et donc dans la mer d'Aral. Les déchets urbains et industriels ont aggravé la taux de pollution. Tentative de Sauvetage : Il y a comme même eu des tentatives de sauvetages comme par exemple : La Banque mondiale qui a décidé de financer la construction du barrage béton de Kok-Aral ainsi qu’une série de digues en vue d’éliminer l’excès de sel par des déversoirs et de faire remonter le niveau de l’eau. Ce projet controversé dont les travaux ont débuté en

développes notamment au Sénégal où la pauvreté touche chaque jour davantage de personnes .La lutte contre ce fléau est une préoccupation majeure .C’est ce qui explique ce programme de lutte mis en place par les autorités avec le soutien de la banque mondiale. I) OBJECTIFS ET STRUCTURES DE LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE AU SENEGAL Le Sénégal est classé parmi les pays plus pauvres du monde. La majorité de sa population vit dans la pauvreté ; c’est pourquoi la lutte pour son éradication constitue

Subsaharienne à la traine. Crée des richesses mais les partage mal Favorise les grandes villes : réseau mégalopolitain : boosté, échanges G8 : grands acteurs de la mondialisation ! +G20 + Multinationales + Organisations économiques et politiques mondiales. Triade : principaux échanges commerciaux -> territoires : Centres économiques (bassins industriels, grandes villes,…)/ Périphéries intégrées/ Périphéries délaissées. 2. Facteurs ayant accéléré la mondialisation 1980 : Explosion de la mondialisation

Rapport Goldman Sachs Les pays émergent sont, depuis quelques années, des nouveaux venus sur le paysage des médias du monde entier. Ils jouent un rôle qui va en s’accroissant dans l’économie mondiale. Aujourd’hui il est encore difficile de mesurer la portée de leur économie par rapport à l‘économie mondiale, de plus ces pays émergent ne sont que rarement identifier. Ces pays émergents ont pour principales caractéristiques de faire peur aux économies dîtes développé. En effet ceux-ci sont vus comme

d’émigration, de crises humanitaires, d’épidémies, de cas de VIH/SIDA et de réseaux criminels et terroristes. Aide apportée par la Banque en Afrique Deux politiques opérationnelles servent de cadre à l’intervention de la Banque mondiale : Coopération aux fins du développement des pays en conflit (a) et Aide au redressement d’urgence (a). L’aide apportée par la Banque aux pays africains touchés par un conflit est d’ordre financier et technique et prend la forme d’un appui immédiat pour l’évaluation

renflouer des Etats touchés par une crise financière. L'élargissement de son champ d'action le conduit à interférer avec les compétences de la Banque mondiale et pose la question de la concurrence (et/ou complémentarité) entre les deux organisations. Haut de page Répartition des pouvoirs Le mode de décision du FMI, comme celui de la Banque mondiale, est basé sur une répartition des droits de vote en fonction du montant de la cotisation des Etats membres, selon le principe "1 dollar, 1 voix"

» dans le monde, selon les auteurs ou les institutions. Ceci entraîne des discordes entre les économistes et surtout entre les Etats à savoir quels sont les pays appartenant aux « pays émergents ». C’est en 2001 qu’est publié le rapport de la banque mondiale Goldman Sachs où apparaît pour la première fois la notion de « BRIC », entendez Brésil, Russie, Inde et Chine. Toujours selon le rapport Goldman Sachs, en 2050 les BRIC’s dépasseraient économiquement les pays du G7 actuel, il précise même que

riches vont se développer au détriment des pays pauvres. La mondialisation c’est l’uniformisation des modes de pensée et de consommation, conduisant à la disparition progressive des frontières (ouverture des économies) et à l’apparition d’un marché mondial globalisé. 2 – Caractérisation de l’ouverture des économies. La disparition progressive des frontières entraine : Flux de biens et services : Ex : part de la production délocalisée : 1960 : 7% / 2010 : 31% Flux migratoires : Ex : part des

commerce international, les enjeux de la libéralisation des marchés des capitaux ou encore le problème du déficit démocratique au sein des institutions économiques internationales. La mondialisation se caractérise par l’émergence d’un vaste marché mondial de biens, de services, de capitaux et de la force de travail, s’affranchissant de plus en plus des frontières politiques des États et accentuant les interdépendances entre les pays. Celle-ci est favorisée par deux facteurs : la levée progressive des