Banque Universelle Et Bilan

Privatisation/ Capitalisation/ Fusion des banques publiques en Tunisie 3ème HEC Prépa Cours de Banques et assurances Chargé du cours: M. AbdKader Boudriga Elaboré par: Ben Salem Asma EL Bjaoui Mohamed Mourad Kchouk Selima 2014/2015 Introduction: • Problème générale du pays Révolution Manque de confiance Risque Manque d’instabilité, d’investissement, de placement … • Problèmes liés au secteur bancaire •  le secteur bancaire est considéré, d'une façon générale, comme étant l'un des secteurs pilotes

connaissance de la nature et du corps humain sont considérables. -1543 : Copernic : héliocentrisme : L’homme n’est plus au centre de la galaxie. -1666 : création de l’Académie des sciences sous Louis XIV. -1687 : Newton : théorie de la gravitation universelle. Pour Newton les mêmes lois physiques s’appliquent sur terre et dans les airs. -1751-1772 : L’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert. L’objectif est de compiler tout le savoir humain et les dernières avancées scientifiques. La manière dont l’homme

anti-gaulliste et défenseur de la IVe République, il terminera sa longue carrière politique comme président de la Ve République, fonction qu'il a pendant longtemps critiqué. Cet exposé s'intérressa donc au personnage politique qu'a été Mitterrand, puis au bilan à la tête du pouvoir, avec comme ligne directrice les mécanismes de la conquête du pouvoir. I – Le personnage : une quête ininterrompue du pouvoir a) Les valeurs mitterrandiennes Ce sont les valeurs qu'il prône qui construisent son parcours politique

d’investissements des EP et grands projets 4 DEPP : Diversité des missions…  Emet des avis sur le financement extérieur des EP  Décide le lancement des audits externes des EP  Evalue les performances de gestion des EP  Dispose d’une banque de données économiques, financières et sociales sur le portefeuille public  Edicte les normes comptables des entreprises  Conduit les opérations de privatisation et de PPP 5 Orientations stratégiques du secteur des EP  Libéralisation de

de placer le client au cœur de l’action des banques, celui ci n’étant pas en mesure d’exprimer fidèlement ses besoins, faute de connaissance suffisante sur le détail des offres. La technologie permet cependant de replacer les attentes du client au cœur de la stratégie, via les logiciels de relation client permettant : • La collecte des données clients, leur analyse et valorisation sous forme de segments • La disponibilité accrue de la banque vis à vis du client : compte en lignes, DAB

La Caisse d’Epargne [pic] Introduction « Former des champions européens n'est pas chose aisée dans la banque. Mieux vaut une stratégie par métiers, en développant les effets de taille dans la production. » La Tribune Les banques françaises l'ont encore montré récemment : à chaque trimestre, elles réalisent des bénéfices record, grâce à leurs solides positions en banque de détail sur leur marché domestique. Et accumulent d'importants surplus de cash. Selon Smith Barney, elles disposaient

l’égalité universelle. Après la Deuxième Guerre mondiale et la création de l’Organisation des Nations Unies, la communauté internationale jura de ne plus jamais laisser se produire des atrocités comme celles commises pendant ce conflit. Les dirigeants du monde entier décidèrent de renforcer la Charte des Nations Unies par une feuille de route garantissant les droits de chaque personne, en tout lieu et en tout temps. Ce document qu’ils examinèrent allait devenir la Déclaration universelle des droits

d’importance systémique. D’une part, les risques des institutions financières ne se mesurent pas à l’aune de leur taille de bilan compte tenu du poids de leurs expositions hors bilan et des différences de référentiels comptables. D’autre part, une taille plus grande peut s’accompagner d’une plus grande diversification des risques (comme c’est le cas pour les banques universelles par exemple) et donc d’une plus grande résilience aux chocs. A contrario, les hedge funds ou les monoliners qui restent

créditeur (s’appliquant à la rémunération de l’épargne) A-Les IF bancaires 1. Les banques de détail Clients : ménages et PME. Collectent leur dépôts en surplus et octroient des prêts aux abf. Pas de risque de défaut des emprunteurs et garantie de pouvoir retirer leurs dépôts. Pas de risque d’annulation de prêt pour les emprunteurs ==>coût et intérêt stable ; continuité du financement 2. Les banques d’investissement Clients : grandes entreprises, investisseurs institutionnels, gouvernement

concurrence nationale et internationale de plus en plus vive. Dans ce contexte de crises et de mutations, la réticence de nos banques marocaines vis-à-vis de la clientèle commerciale était justifiée, car comme tout établissement à but lucratif, les banques doivent maintenir un minimum de rentabilité tout en maîtrisant leurs risques. Tous ces éléments ont poussé les banques à s’orienter vers la clientèle privée plus prometteuse, moins exigeante, à moindre risque ou du moins divisé et non encore