Bantous

besoins de plus de 200 muscles pour faire un pas ! Notre corps comprend plus de 600 muscles don les plus connus le biceps, le sourciller (muscle du sourcil) et le triceps Nous avons des peaux de toute couleur grâce à la mélanine. Les laotienne, bantou, norvégienne, sioux non pas la même couleur de peau, la peau et l’organe le plus important de notre corps elle et formée de trois couche très distinctes : l’épiderme, le derme et l’hypoderme. Elle sert à ne pas laisser rentrer les microbes. A forte

Cesbron | | "Il faut toujours remercier l'arbre à karité sous lequel on a ramassé de bons fruits pendant la bonne saison." Ahmadou Kourouma | | "Assieds-toi au pied d’un arbre et avec le temps tu verras l’Univers défiler devant toi." Proverbe bantou | | "Quand le dernier arbre sera abattu, La dernière rivière empoisonnée, Le dernier poisson pêché, Alors vous découvrirez Que l’argent ne se mange pas." Proverbes crees (Indiens du Canada) | | "Si l'on m'apprenait que la fin du monde

vont de 1000mm par an dans le Sud à 2000 mm dans le centre de l’île. Document 2: Photo du Sultan de Mayotte Sultan : ADRIAN TSOULY Les plus anciennes traces de l’île remontent au 8e siècle.. Les 1ers arrivants auraient été des Bantous venus d'Afrique de l'Est, suivis par les Swahilis. A partir du 9ème siècle, les marchands Arabes et Perses jettent l'encre sur l'ile, apportant avec eux l'Islam. Des poteries du IX ème siècle, découvertes dans le sud de l'Ile, témoignent aussi des

de 16 ans devaient posséder un « laisser-passer » pour accéder à certains quartiers de blancs. La loi sur les commodités publiques (séparation des lieux publics selon les « races » : toilettes, robinets, bancs, fontaines …). La loi d’éducation Bantoue qui fait que les écoles « noires » auront leur programme à eux différents de l’école blanche. Cela le permettra d’étudier leur Histoire, et de même pour les écoles « blanche ». La population noire n’a plus le droit de faire la grève. Loi visant

Les peuples africains sont tous monothéiste dans leurs religions traditionnelles, et chaque religion a son nom pour désigner Dieu: Amma pour les Dogons, Engaï pour les Masaïs, Maa Ngala pour les Mandingues, Gueno pour les Peuls, Nzambé pour les Bantous, Olodumare pour les Yorubas, Nyamé pour les Fangs, etc. L’Être suprême est la figure la plus importante de toute une série d’êtres spirituels qui agissent en tant que médiateurs entre l’Être suprême et les humains. Dans les religions africaines

population hollandaise en Afrique du sud augmente, plus les populations sont chassées. Phénomène de métissage au moment de la colonisation. XVIIIème : nouvelle chose : les bantous viennent massivement en Afrique du sud et participent au refoulement des Khoisans et affronte en même temps les boers. Parmi les peuples bantous : les zoulous (guerriers aguerris) guerres violentes pour s’accaparer les terres. Les hollandais prennent le nom d’afrikaners et ce sont eux qui vont rentrer en conflit lorsque

orthographié Shaka, né en 1787 et mort en 1828, est un roi zoulou. C'est le fondateur du Royaume zoulou. Chaka serait issu d’une union illégitime entre Nandi, princesse Langeni, et Senza Ngakona, chef du clan des Zoulous (une fraction du peuple Nguni, issus des Bantous qui peuplèrent l'Afrique du Sud du XIIIe au XVIIIe siècle). D'après la légende, il aurait été considéré comme un bâtard, rejeté et humilié par son père, régulièrement maltraité par ses camarades1. Ces expériences l’endurciront et marqueront sa personnalité

plus élevée que le reste de la région. (9,1 Hbts/Km) Les groupes ethniques de l’Adamaoua peuvent être catégorisés par langues d’où la notion de groupe ethnico-linguistique. Le premier groupe ethnico-linguistique est le groupe des ethnies à langue Bantou du Sud. Ce sont principalement : Les Ndoros, les Sugas, les Vutes, les Mambila, les Konjas, les Tikars. Les ethnies locutrices de langue de l’Adamaoua constituent le second groupe ethnico-linguistiques. Les quatre principales sont : les Kutins, les

empruntée », Le français en Afrique, 13, pp. 71-82, 1999. A. GADACHA, « Planification et conflit linguistique, le cas de la Tunisie multilingue », in Le français en Afrique. Nice : Université Nice-Sophia Antipolis, 1999. H. LOPES (2003), Ma grand-mère bantoue et mes ancêtres les Gaulois, Paris : Continents noirs, Gallimard. A. MABROUR, «L’alternance codique arabe/français : emplois et fonctions », Constellations francophones, 2, 2007-12-20, http://www.publifarum.farum.it/ R. SEBAA, « La langue et la

ethniques et raciaux. Est donc votée en 1950 la loi de classification de la population « Population Registration Act », distinguant les individus selon leur race, soit 4 groupes raciaux, les Blancs composés des Afrikaners, Les Noirs notamment les Bantous, les Métis ou Coloured people, et les Indiens. Etaient considérés comme métis les Blancs vivant ou étant marié avec une personne noire ou métisse. Par ailleurs, quatre critères de classification entraient en jeu. Tout d’abord, l’ascendance, « chaque