Bantous

pour la réalisation de leurs projets, pour la défense de leurs intérêts, et pour leur propre protection. C’est ce qui justifie ces propos que l’on a coutume de dire ou d’entendre dire : « L’union fait la force » ; et dans la sagesse traditionnelle bantoue : « Un seul bras ne peut pas attacher un fagot de bois. » Fort de cet épiphénomène naturel et socioculturel, Domenach déclare : « C’est donc sur la base d’une solidarité concrète que prirent naissance, au XIXe siècle, ces “ tontines ” et mutuelles

inscrivent sur la carte d'idt des gens s'ils sont hutu ou tutsi). 1)Le refus des colons de constater la mm origine des peuples et la dominat° Tutsi/hutu selon les rég° du pays *Maintenant ts les spécialistes pensent que ts les Rwandais sont d'origine bantou. Ils viennent de RDC. Un gpe social a choisi de rester cultivateur et l'autre se spécialise ds l'élevage en arrivant au Rwanda. Les gènes des deux gpes sont similaires. Sur une moyenne générale, la même couleur de peau en moyenne se retrouve partt

l’expiation La transgression, quoique son sens est par définition hostile aux objets de protection, est autant nécéssaire pour la maintenance de l’identité de la croyance que l’interdit même. Par exemple, l’analyse du système rituel chez les peuples de Bantou a suggéré à M. Gluckman une idée qu’il existent des transgressions « autorisés » et même « ritualisés » qui servent à maintenir l’ordre social dans la communauté[27]. Cette section sera consacrée généralement à ce type des transgressions. Dans

démarche et privilégier « ce qui est fait pour le peuple avec le peuple » selon Thomas Sankara, premier président de la République du Burkina . Le français est la langue officielle à Mayotte, mais d'autres dialectes coexistent. Le shimaoré (langue bantoue) est le principal : il est parlé à Mayotte par 72% de la population et aux Comores. Le kibushi, originaire de Madagascar, est encore utilisé pour les échanges avec les malgaches. Le reste de la population pratique d’autres variétés linguistiques telles

(mai à août). La province est couverte principalement par deux formations végétales : la forêt au nord, couvrant près de la moitié de la superficie de la province, et la savane au sud. La population du Kasaï Oriental est composée majoritairement de bantous et minoritairement de pygmées. Administrativement, la province du Kasaï Oriental compte deux villes (formées de 8 communes) et trois districts subdivisés en 16 territoires, subdivisés à leur tour en 93 secteurs. II.3.2. SITUATION DEMOGRAPHIQUE

Il faut savoir que la majeure partie de la population malgache descend de ces premiers arrivants. Quant à l’histoire des vestiges africains dans la culture malgache, elle reste également nimbée de mystère. Il est cependant évident que des peuples bantous, parfois islamisés, traversèrent le canal de Mozambique à destination de la Grande Île, pour s’installer sur les côtes ouest. La culture malgache contemporaine traduit parfaitement cette double influence. En effet, l’est de l’île est parsemé de cultures

same ethnic groups, it is difficult to localise geographically the ethnic groups because they interpenetrate. a) Lendu The Lendu have their origin in the Sudan, as Lobho Lwa Djugudjugu points out: "Quoi qu'il en soit les Walendu ne sont pas bantous, mais ils sont soudanais ..." b) Hema The Hema are another ethnic group in the Diocese of Bunia. Their classification is quite complicated. Lobho Lwa Djungudjugu has developed a hypothesis which would have the origin of the Hema in Bunyoro in

Ranavalona III, l’indocile souveraine de Madagascar, sans oublier l’ashantehene Prempeh I, ni « la femme au fusil », la Thomas Sankara Queen Mother Nana Yaa Asantewa, tous deux de Photo : AFP l’actuel Ghana, ni Gugunhana, souverain du dernier grand royaume bantou dans le Sud du Mozambique. Les combats, les défaites, l’exil, et souvent la mise à mort de ces personnages, qui se sont installés en majesté dans la mémoire de leurs compatriotes d’aujourd’hui et demeurent si méconnus dans celle des Occidentaux, seront

rupture des traditions nous est fourni par un rapport relatif à l’Afrique du Sud où nous lisons : - * * - _-__ Lspnflit des culturei‘,est un facteur important du u comportement délictueux».hous’ie voyons dans le cas des centaines de milliers de Bantous qui abandonnent la brousse, les réserves indigènes et mêmes d’autres régions de l’Afrique pour les villes, où l’individu se trouve pris dans un nouveau système de relations matérielles et personnelles. I1 se produit une rupture des contrôles primitifs

avaient pris leur essor au XVIIe et au XVIIIe siècle, avant la constitution du comparatisme comme méthode scientifique. Après celle de l’indo-européen, qui eut valeur de test, on a vu se développer celle des langues malayo-polynésiennes, celle du bantou, celle de l’algonquin, etc. Entre 1816 et 1870, de Bopp à Schleicher, c’est dans le milieu de la grammaire comparée qu’est né le concept de linguistique : selon les termes de Bopp lui-même, la science où « les langues sont étudiées pour elles-mêmes