Barbarisme

: c'est évidemment de la Sociologie qu'il s'agit ; mais Durkheim ne pouvait guère employer couramment en latin ce terme qu'il risque cependant deux fois dans son texte, mais qu'on avait (il y fait lui-même allusion dans son Introduction) taxé de barbarisme à cause de son origine hybride. Nous ne nous défendons même pas de quelque arbitraire : nous avons rendu civitas tantôt par « cité », tantôt par « État » ou par « régime politique », tantôt même par « société », selon que le contexte nous paraissait

Commenting on “the liberal, scientific utopianism found in Les Misérables,” Mario Vargas Llosa remarks: Since the publication of Les Misérables, real reality has given the lie, on innumerable occasions, to the belief that culture is the enemy of barbarism—a cultured Germany adopted Nazism and carried out the genocide of six million Jews—and it is now difficult to argue that advances in science are accompanied by a simultaneous advance in moral truth. Quite the reverse, scientific development in the

grammairien dans un corpus de textes de remarqueurs. Cette enquête nous permettra peut-être de comprendre pourquoi Vaugelas a écrit dans ses notes préliminaires aux Remarques sur la langue françoise (1647) : « Grammaire. Elle ne parle point des barbarismes des paroles ni de ceux de l’oraison, ni des meilleurs mots ni des meilleures façons de parler. Ces remarques ont cela de plus que la grammaire ne fait pas » (manuscrit de l'Arsenal, fol. 42, cité par W. Ayres-Bennett, 1987, p. 9). Nous nous demanderons

fin de ses chimères adolescentes. Plus tard, lors de sa réédition dans ses œuvres complètes (1826), il le jugea très sévèrement, comme un « chaos », écrit « en style sauvage et boursouflé, plein de fautes de langage, d'idiotismes étrangers et de barbarismes ». Mais il trouva assez bien venue l’évocation poétique finale puisqu'il l'enleva plus tard de son ‘’Essai’’ pour la replacer dans les ‘’Mémoires d'outre-tombe’’. _________________________________________________________________________________

d'orthographe est toujours préjudiciable au candidat. Pour éviter pareil écueil, il est bon de revoir les notions essentielles imposées par la règle et par l'usage, et d'avoir fréquemment recours au dictionnaire. Il convient aussi d'éviter les métaphores, barbarismes, pléonasmes et néologismes, aussi hardis qu'incongrus, ainsi que les fautes de ponctuation. En ce qui concerne ce dernier point, une ponctuation correcte alliée à la concision des phrases contribue à rendre la composition plus claire et plus lisible

existence of the entire bourgeois society…In these crises there breaks out an epidemic that, in all earlier epochs, would have seemed an absurdity: the epidemic of over-production. Society suddenly finds itself put back into a state of momentary barbarism; it appears as if a famine, a universal war of devastation had cut off the supply of every means of subsistence; industry and commerce seem to be destroyed; and why? Because there is too much civilization, too much means of subsistence, too much

: utilisation à plusieurs reprises d’un même mot ou d’une même expression 2. Pléonasme : un terme ou une expression qui ajoute la même idée à ce qui vient d’être dit 3. Solécisme : mauvaise construction d’une phrase par emploi fautif d’un mot 4. Barbarisme : utilisation d’un mot dans un sens qu’il n’a pas Il regroupe les expressions habituelles des personnes affectées à l’accueil ou à la réception : Ne dites pas Dites plutôt  C’est de la part ?  Qui dois-je annoncer ?  Pouvez-vous me rappeler

accélérer la production d'une unité ou d'un bâtiment dans une ville. Le suffrage universel permet à tous les citoyens de voter sans distinction de race, de sexe ou de religion. Doctrines de justice BARBARISME Conditions requises : aucune Coût d'entretien : faible Effet : aucun effet. Le barbarisme est le système de lois le plus primitif, dans lequel les plus forts prennent ce qu'ils veulent aux plus faibles. VASSALITE Conditions requises : féodalisme Coût d'entretien : élevé Effet : les nouvelles

vieillerie obsolète. Elle abuse des circonlocutions, boursoufle la syntaxe, se revêt de toute une quincaillerie de termes techniques et administratifs, et malmène les mots. Car elle sait dévoyer le français avec maestria : l'entreprise aime les barbarismes. Par exemple, «décliner» n'est pas employé dans son sens usuel ; quand on décline un logo, un message, une valeur, cela ne signifie pas qu'on les abaisse, mais qu'ils sont adoptés par d'autres instances, situées en dessous. De même, le très usité

étrangères chantées pendant le «Ballet des Nations» font écho aux langages techniques des métiers entendus à l’acte II: Molière s’offre avec délectation, malgré le dogme classique de la cohérence linguistique, «des incongruités de bonne chère et des barbarismes de bon goût» (IV, 1). Mais l’imbrication est plus profonde en ce que les divertissements apparaissent appelés par la comédie. L’auteur a prêté à son protagoniste une passion contraire à celle d’Harpagon — la folle prodigalité d’un mécène — pour