Barbarisme

que nous avons dans notre langue de mieux écrit. 38 (IV) Il n’a manqué à Térence que d’être moins froid : quelle pureté, quelle exactitude, quelle politesse, quelle élégance, quels caractères ! Il n’a manqué à Molière que d’éviter le jargon et le barbarisme, et d’écrire purement : quel feu, quelle naïveté, quelle source de la bonne plaisanterie, quelle imitation des mœurs, quelles images, et quel fléau du ridicule ! Mais quel homme on aurait pu faire de ces deux comiques ! 39 (V) J’ai lu Malherbe et

nous avons dans notre langue de mieux écrit. 38 (IV) Il n’a manqué à Térence que d’être moins froid : quelle pureté, quelle exactitude, quelle politesse, quelle élégance, quels caractères ! Il n’a manqué à Molière que d’éviter le jargon et le barbarisme, et d’écrire purement : quel feu, quelle naïveté, quelle source de la bonne plaisanterie, quelle imitation des mœurs, quelles images, et quel fléau du ridicule ! Mais quel homme on aurait pu faire de ces deux comiques ! 39 (V) J’ai lu Malherbe

que nous avons dans notre langue de mieux écrit. 38 (IV) Il n'a manqué à Térence que d'être moins froid: quelle pureté, quelle exactitude, quelle politesse, quelle élégance, quels caractères! Il n'a manqué à Molière que d'éviter le jargon et le barbarisme, et d'écrire purement: quel feu, quelle naïveté, quelle source de la bonne plaisanterie, quelle imitation des moeurs, quelles images, et quel fléau du ridicule! Mais quel homme on aurait pu faire de ces deux comiques! 39 (V) J'ai lu Malherbe et

technique, vous vérifiez si ces deux arguments se correspondent. L’opération générale de recherche de correspondance est appelée le pattern matching. Et le français dans tout ça ? Comme vous pouvez le constater, il est fait un usage intensif de barbarismes franglais dans cet ouvrage. Le but est avant tout de vous présenter les termes le plus souvent utilisés dans la littérature informatique. Un pattern est une simple chaîne de caractères entourée par le caractère / qui va vous permettre de préciser

« Vieux peut prendre la forme masculine vieil ». C’est une donnée : a. morphologique c. logique e. grammaticale b. sémantique d. phonétique 44 Employer un mot dans un sens qu’il n’a pas, c’est : a. un solécisme c. un lapsus e. une apocope b. un barbarisme d. un anachronisme 45 La sémantique c’est : a. l’art de conjuguer les verbes d. l’étude des signes b. l’étude du sens e. un art divinatoire c. l’étude de l’origine des mots 46 « Faire une impro ». Impro est : a. une écope c. une apocope e. un périscope

spontanément en dehors de la classe, se sont brusquement révélées caduques en 1906-1907, lorsque l’expérience des premiers élèves eut montré que la « langue usuelle » n’était ni complètement ni définitivement acquise au sortir du premier cycle : « Barbarismes et solécismes, note WAHART, repoussent vite si l’on n’y veille. Et le vocabulaire s’enfuit à tire-d’aile. » (1907, p. 285) D’où les solutions proposées par cet auteur, et qui sont celles qui finiront par s’imposer jusqu’à nos jours parce qu’elles

publiée par l'Églantine à Bruxelles, s'étant trouvée rapidement épuisée - a fourni l'occasion de quelques améliorations. Mon ami André Philip, professeur à l'Université de Lyon, a bien voulu revoir la première traduction pour en élaguer certains barbarismes qui provenaient du souci peut-être excessif de serrer de très près le sens de l'original allemand. J'ai en outre, pour abréger quelque peu le livre, biffé certains passages moins essentiels - 45 pages au total. Par contre, j'ai ajouté en annexe

—1654) Les entretiens, Le Prince, Socrate chrétien.] 38 (IV) Il n'a manqué à Térence que d'être moins froid: quelle pureté, quelle exactitude, quelle politesse, quelle élégance, quels caractères! Il n'a manqué à Molière que d'éviter le jargon et le barbarisme, et d'écrire purement: quel feu, quelle naïveté, quelle source de la bonne plaisanterie, quelle imitation des moeurs, quelles images, et quel fléau du ridicule! Mais quel homme on aurait pu faire de ces deux comiques! 39 (V) J'ai lu Malherbe et

come slowly to the recognition of spiritual facts, and so continue to call upon matter to remove the error which the human mind alone has created. 30 The idols of civilization are far more fatal to health and longevity than are the idols of barbarism. The idols of civilization call into action less faith than Buddhism PAGE 174 1 in a supreme governing intelligence. The Esquimaux restore health by incantations as consciously as do civi- 3 lized practitioners by their more studied

from this perspective, the meaning of common terms like ‘the West’ or ‘Africa’ can only emerge from recognition of their relationship to the other. During colonialism, for example, the claims of ‘civilization’ came to rest on the deficiencies of ‘barbarism’, with the description of ‘savages’ reinforcing the ‘civilized’ character of Europeans and legitimizing the authoritarian nature of colonial rule. This constitutive relationship continues today, with Achille Mbembe observing that ‘Africa still constitutes