Barbier De Séville Personnages

Avril 2001 Le barbier de Séville BEAUMARCHAIS Pour un meilleur confort de lecture, je vous conseille de lire ce livre en plein écran [CTRL]+L Le webmaster de Pitbook.com Lettre modérée sur la chute de la critique du Barbier de Séville L'auteur, vêtu modestement et courbé, présentant sa pièce au lecteur. MONSIEUR, J'ai l'honneur de vous offrir un nouvel opuscule de ma façon. Je souhaite vous rencontrer dans un de ces moments heureux où, dégagé de soins, content de votre santé, de vos

Le corpus est composé de trois textes, ainsi que d'un document iconographique. Le premier document est extrait de la pièce de Marivaux, Les Fausses Confidences, datant de 1737. Vient ensuite un second extrait du théâtre du XVIII siècle, Le Barbier de Séville, conçut par Beaumarchais. Enfin le dernier texte est tiré de Ruy Blas écrit par Victor Hugo en 1838. Ce à quoi vient s'ajouter une photographie illustrant la pièce de Marivaux, en effet elle représente l'extrait de la pièce, mise en scène par

Femmes savantes, L’Avare, Les Précieuses ridicules,Georges Dandin, Le Médecin malgré lui, L’Ecole des femmes, Le Malade imaginaire… - Perrault : Histoires ou contes du temps passé - Racine : Andromaque II- XVIIIe S. : - Beaumarchais : Le Barbier de Séville - Marivaux : L’Ile des esclaves, Le jeu de l'amour et du hasard - Voltaire : Zadig, Micromégas, Candide III- XIXe S. : - Balzac : Le Colonel Chabert, Ferragus, Eugénie Grandet , Le Chef-d’oeuvre inconnu - Barbey d’Aurevilly : Le Bonheur

l'a trahi                l'estime inférieur ("mon cadet"), le tutoie, voc bas et familier ("clocher devant les boiteux") => Figaro le méprise. - Le Comte : * Il se rend compte de la duperie : étonnement, car il avait aidé le comte dans le Barbier de Séville. Antithèse : "Me crottant" / "Pour la gloire". Antiphrase : "Quelle douce réciprocité". * Colère contre le Comte qui redistribue les rôles : Comte = compagnon ministre ; Fig = casse-cou politique (=victime) : Suz = dame de lieu, ambassadrice

menace, les intrigues amoureuses s’entremêlent, deuxième personnage s’ajoute, le jeune page Chérubin amoureux en secret de la Comtesse. Cette situation initiale évolue dans l’acte 1, donne lieu à des scènes de comédie 8 et 9 où Chérubin se cache. L’intrigue évolue plus sérieusement à la scène 10 où le Comte se trouve confronté à sa parole. Le Comte se place en opposant au projet de Suzanne L’acte 2 s’ouvre sur une scène entre deux personnages féminins, la Comtesse et Suzanne. Comment Beaumarchais

toutes ces indications, le spectateur va aussi pouvoir déterminer si le personnage est noble, élégant, pauvre, radin,… Il est donc important que chaque costume soit évalué et travaillé pour que la pièce ne soit pas hors sujet avec les habits et les décors, sinon le spectateur serait comme désorienté. De plus, le théâtre installe le réel, car ceux ne sont pas des personnes fictives qui jouent sur scène, et ils incarnent leur personnage, changent d’identité, et de fonction sociale. Pierre Carlet de Chamblain

De nombreux auteurs ont d'ailleurs ecrit des textes destinés d'abord à la lecture et qui n'ont pu être joués que bien plus tard ( Musset, certaines pièces de Victor Hugo, et le "Soulier de Santin" de Claudel). De plus, les caractères des personnages, leurs relations, le développement de l'intrigue, etc.. sont parfaitement compréhensibles à travers des répliques. Bien plus, au théâtre, ce sont souvent les mots prononcés qui constituent des actes et qui font progresser l'intrigue : prenons pour

pouvaient se permettre de rire et de se moquer, sans penser aux problèmes et ennuis de la pièce qui semblaient cependant confus. De plus, la comédie interprète des sujets inextricables, souvent exagérés, avec des personnages et des situations ordinaires. A l’exemple, dans le Barbier de Séville de Beaumarchais, le comte Almaviva, amoureux, essaie d’empêcher le mariage arrangé de tuteur de Rosine. A la fin, le comte et elle-même se marient, a l’aide d’un valet. Or, le thème du mariage est un thème souvent

Le conte proclame son désir à Suzon : L9 -11 : motif de sa visite : Il veut emmener Figaro et Susanne qui sera la jeune mariée. L23-24 : ses véritables attentions : Il entend exercer le « droit de cuissage » qui avait lui-même abolît dans le barbier de Séville. L9-13 : didascalies, gestes séducteurs envers Suzanne : représente l’arrogance du libertin. Et cela est renforcé avec l’emploi des surnoms : « Suzon » « Suzette » « ma chère » => Mépris, attrait pour les amours ancillaires, liaisons avec les

Anciens. 5 LA FARCE Molière commence à écrire des farces, en employant les dispositifs littéraires utilisés par la commedia, comme le lazzi (acrobatie verbale et gestuelle), le quiproquo et l'humour bouffon. Il utilise aussi des noms de personnages très similaires à ceux des pièces de la commedia, comme Sganarelle et Lucinde. En écrivant ses farces, Molière a non seulement rétabli la farce en France, mais il lui a aussi donné la respectabilité. La nouvelle farce française est plus drôle et