Barbusse Narration

la boue et des rats. Parfois les tranchées s’écroulaient. Les poux pullulent dans les tranchées des deux armées. Les poilus comptent les poux qu’ils débusquent dans les plis de leur chemise, repérant les plus agressifs, à tête rouge.(3) Henri Barbusse les compare à une « mie de pain mécanique » qui court dans la paille. (2) Le soldat Tjaden les fait griller dans le couvercle d’une boîte de cirage, placée au-dessus d’une bougie allumée.(4) Les cas graves sont hospitalisés pour épouillage : « leurs

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Sujet II : commentaire littéraire Henri Barbusse, Le Feu (1916) I- Questions d'observation 1) Le pronom « on » ici désigne l'ensemble des hommes présents sur le champ de bataille : indistinctement les alliés et les ennemis du camp du narrateur. Le « on ne tire pas » signifie « personne ne tire ». Dans l'expression « on ira voir » le on désigne les hommes du groupe auquel appartient le narrateur. 2) Les négations sont nombreuses dans le texte : « pas un bruit, on ne tire

1) indications de lieu relevées au début du texte : - « Sur toute le largeur de le descente…. » - « En ligne,de gauche à droite …des explosifs sortent de terre » A partir de la ligne 4, il n’y a plus d’indication de lieu car Henri Barbusse, journaliste utilise des images pour décrire la scène de guerre à laquelle il assiste. Il décrit ensuite ce qui vit ou ressent le soldat au moment du combat dans les tranchées. 2) Verbes d’action qui ont pour sujet : Les soldats

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Le Feu De Henri Barbusse Le Feu (1916) Barbusse Henri Barbusse : (1873-1935) Ecrivain français fin XIXème – début XXème siècle. A obtenu le prix Goncourt en 1916. Mouvement : Littératureprolétarienne : Courant littéraire qu'Henry Poulaille fut le premier à définir et organiser dans les années 1930. Est défini comme a Premium812 Mots4 Pages Lecture Analytique Le Feu D'Henri Barbusse LECTUREANALYTIQUE LE FEU HENRI BARBUSSE L'Introduction > Auteur contemporain du 20e siècle. Il vit réellement la

deuxième bataille d’Artois. Il devient élève pilote et nommé caporal puis décoré de la croix de guerre. En 1919, il publie le roman qui le rend célèbre, Les Croix de Bois, inspiré de son expérience de guerre. Le roman obtient le prix Fémina. Henri BARBUSSE (1873-1935) Ecrivain français. En 1914, âgé de 41 ans et malgré des problèmes pulmonaires, il s’engage volontairement dans l’infanterie et réussi à rejoindre les troupes combattantes. La postérité se souviendra surtout du roman qu’il écrivit

souffles de la mort nous poussent, nous soulèvent, nous balancent. On bondit ; on ne sait pas où on marche. Les yeux clignent, s'aveuglent et pleurent. Devant nous, la vue est obstruée par une avalanche fulgurante, qui tient toute la place. Henri BARBUSSE, Le Feu, Journal d'une escouade, 1916, © Flammarion, 1917.

injonctions plus ou moins déguisées des différentes instances soviétiques et, d'autre part, avec des positions plus souples revendiquées par Henri Barbusse qui bénéficiait d'un important crédit littéraire en France (son livreLe Feu, prix Goncourt de 1916, avait été un énorme succès) et en URSS puisque Staline lui-même ne cachait rien de sa sympathie pour l'auteur. Barbusse se proposait d'être le chef de file d'une littérature engagée indépendante et ouverte aux auteurs bourgeois (les « compagnons de route »)