Bardamu Arthur

Bardamu, un candide des temps modernes ? Les deux sont d’origine française. Les deux ont créé des chefs d’œuvres de la littérature. Les deux ont fasciné des milliers de lecteurs et en ont rendu plus d’un perplexe. Les deux ont créé des personnages intriguants. Néanmoins, l’un est né au 17ème siècle, l’autre au 19ème. Le premier a imaginé Candide ou l’Optimisme, le second Voyage au bout de la nuit. Les deux racontent la vie d’une personnalité prodigieuse. L’un l’existence de Candide, l’autre celle

caractéristiques de Ferdinand *Bardamu* ! A travers ce roman, nous pouvons voir que le personnage principal a plusieurs caractéristiques. Ainsi, Ferdinand Bardamu semble être un personnage héroïque: il s'engage dans l'armée malgré les avertissements de son ami Arthur : “ T'es rien c... Ferdinand!” “J’y suis, j'y reste !” Ferdinand est un jeune homme inconscient : il se précipite dans l'armée sans connaître les risques auxquels il s'expose, sans avoir la moindre idée de ce qui peut l'attendre

plusieurs résumés de choisir l’œuvre de Céline, Voyage au bout de la nuit. Après avoir bien lu et compris les différents résumés trouvés, il m’a tout de suite été clair que les personnages qui seraient le sujet des portraits étaient Bardamu et Léon Robinson. * Bardamu : Bardamu est un jeune homme, un étudiant, quand il part à la guerre. Son physique ainsi que son âge ne sont pas détaillés tout au long du roman, sachant que les « sélections » pour être enrôlé dans l’armée n’était pas très difficile (nous

Proposition de séquence sur Voyage au bout de la nuit de Louis Ferdinand Céline. Dans ce roman paru en 1932, Céline relate les expériences de Ferdinand Bardamu, jeune homme naïf et désœuvré qui, parcourt le monde afin d’y trouver sa place. Conçue à la manière des romans picaresques, cette œuvre permet d’apprécier le regard que porte l’auteur sur cette société qui humilie et abrutit l’être humain. En plongeant au cœur de l’individu, elle dénonce également la noirceur des relations que les hommes

Proposition de séquence sur Voyage au bout de la nuit de Louis Ferdinand Céline. Dans ce roman paru en 1932, Céline relate les expériences de Ferdinand Bardamu, jeune homme naïf et désœuvré qui, parcourt le monde afin d’y trouver sa place. Conçue à la manière des romans picaresques, cette œuvre permet d’apprécier le regard que porte l’auteur sur cette société qui humilie et abrutit l’être humain. En plongeant au cœur de l’individu, elle dénonce également la noirceur des relations que les hommes

plus particulièrement aux personnages positifs de ce livre. Arthur Ganate : Arthur Ganate est un étudiant, un carabin lui aussi, un camarade. C’est le premier personnage dont parle Bardamu. Il sert d’introducteur dans le texte. Grâce à lui, on commence à apprendre des choses sur Bardamu. Contrairement à lui, un rebelle, Arthur Ganate est un conformiste. Il est très influençable, et à la fin, se laisse même persuader par Bardamu. « On était du même avis sur presque tout » ; « …, décidément devenu

VOYAGE AU BOUT DE LA NUIT – CELINE C’est Bardamu qui s’exprime à la première personne et aux temps du discours pour commencer sa narration : « Ça a débuté comme ça ». Les deux « ça » qui encadrent la phrase donnent d’emblée un niveau de langue familier, bien inhabituel pour la première phrase d’un roman. Très vite, le narrateur rapporte une conversation familière de café entre lui et son camarade Ganate. Tous deux, désoeuvrés et attablés à l’intérieur d’un café parisien, font « sonner [des]

l'antihéros : Ferdinand Bardamu A l'image de Don Quichotte, de Lazarillo de Tormes ou encore de Frédéric Moreau dans « L'éducation sentimentale » de Flaubert, Ferdinand Bardamu est l'antihéros du « Voyage au bout de la nuit ». Bardamu ne correspond pas aux caractéristiques du héros tel que nous l'avons hérité de l'Antiquité. Selon les cultures, un héros est un demi-dieu, un personnage légendaire, un idéal, un surhomme ou simplement une personne courageuse. Bardamu, lui, ne possède pas de qualités

Godard (Poétique de Céline) y voit non pas une invention liée à la fiction, mais une transposition. On remarque dans l’œuvre de Céline la superposition de l’espace fictif et de l’espace autobiographique. Voyage au bout de la nuit voit l’épopée de Bardamu-Ferdinand suivre presque exactement les voyages successifs de Céline lui-même dans sa vie (Première Guerre mondiale, Afrique, Amérique…) Mais l’ordre de publication de ses romans ne reflète pas l’ordre chronologique de sa vie : le Voyage est le premier

chose qui exprime du bonheur. En bref il a tué tout ce qui se rapporte plaisir de la vie. A première vue il a raison, rien que le nom du livre exprime cela. Le déroulement de l’histoire sera en effet un long voyage de quinze ans fait par Ferdinand Bardamu dans les profondeurs de la nuit. C’est une métaphore qui exprime le fait que ce personnage n’est presque jamais heureux et vit dans le noir perpétuel de sa ‘’non joie de vivre’’. Au début il fait la guerre, puis il embarque en direction de l’Afrique