Baryton

triomphe Escamillo, Don José poignarde Carmen qui avait définitivement repoussé son amour. Les personnage Don José, un brigadier ténor lyrique Escamillo, un torero baryton Le Dancaïre, un contrebandier baryton, basse bouffe ou ténor bouffe Le Remendado, un contrebandier ténor Zuniga, un lieutenant basse Moralès, un brigadier baryton Lillas Pastias, un aubergiste rôle parlé Un guide rôle parlé Carmen, une bohémienne et une cigarière mezzo-soprano ou soprano dramatique Mickaëla, jeune Navarraise,

mécène   de   jeunes   compositeurs   de   son   époque).   Pour   cette  œuvre, Schönberg s’est inspiré à la fois du  récit  d’un rescapé de la  Shoah, et  d’autres témoignages de survivants.   Formation     vocale et instrumentale   Voix soliste : baryton, voix dont la    : tessiture se place entre  ténor et basse. Chœur d’hommes à l’unisson; Orchestre.   Langues utilisées   anglais, allemand, hébreu   :    Style de la déclamation   sprechgesang : parlé­chanté. Style théâtrale où le    : soliste chante

dont Bardamu devient l'amant. La chute mortelle de la vieille Henrouille dans un escalier, vraisemblablement poussée par Robinson, incite Bardamu à regagner Paris. Engagé dans l'établissement psychiatrique du docteur Baryton, il se lie d'amitié avec celui-ci. Rapidement, Baryton sombre dans la folie et s'enfuit visiter le monde en laissant la responsabilité de sa clinique à Bardamu. Robinson reparaît. Il a recouvré la vue et son amour pour Madelon s'est éteint. Bardamu le cache dans sa clinique

campagne, la péniche ; page 408 : le dialogue amoureux. Chapitre 38, page 412 : l'accident de la vieille Henrouiille. VIGNY-SUR-SEINE Chapitre 39, page 414 : l'asile de Baryton, Baryton et Parapine. Chapitre 40, page 422 : Baryton sur la psychiatrie moderne ; page 427 : la vie à l'asile ; la crise du 4 mai ; page 433 : Baryton apprend l'anglais ; page 437 : il part. Chapitre 41, page 442 : visite de Protiste qui annonce que Robinson veut quitter Madelon ; page 445 : arrivée de Robinson ; page

inconnus. Vive la France une et indivisible! Vivent les glorieux Alliés ! Du balcon du Théâtre, M. Verdier, maire, fait part de la signature de l’Armistice à la foule massée sur le parvis du Théâtre et les Allées. Le directeur du Théâtre, M. Gaidan, baryton de l’Opéra, entonne la Marseillaise sous les acclamations de la foule qui envahit le théâtre en chantant les mâles accents de l’hymne national. Vers deux heures, la Nouba des Tirailleurs Algériens donne sur la place du Théâtre un concert vivement

CATALOGUE 2.1 MELODIES, UNE VOIX ET PIANO Berceuse, opus 17, (voix moyenne) Manuscrit, env. 1893; éd. ARMIANE, 2003 Texte de EDOUARD GUINAND A Madame Eugène Domange Cantique à Marie , opus posthume 122, ( mezzo soprano ou baryton avec orgue et harpe ou piano), manuscrit 1927, éd. ARMIANE, 2005 Chanson d'amour, opus 94, posthume (voix moyennes) Manuscrit, 1912; éd ARMIANE, 2002  Chanson Catalane, opus 137 posthume (voix moyenne) Manuscrit, 1931; en cours d'édition chez Fortin-

directement aux déportés. Musique Triste = révolte, désespoir Tempo lent = gravité Chanson à texte 1 chanteur, des timbales, des vents (des flutes), des cordes (des guitares) et des cuivres sont utilisé en fonction des paroles. Chanteur : baryton Tension progressive = ajout progressif d'instrument puis decrescendo sur le dernier couplet = guitare seul Les timbales introduisent la chanson, formule rythmique sous forme d'ostinato = évoqué ambiance exécution, le glas funèbre. = couplet 1

dame tombe dans l'escalier, vraisemblablement poussée par Bardamu, et se tue. Robinson incite son compère à regagner Paris. Il est engagé comme médecin dans un établissement psychiatrique dont le patron est le docteur Baryton. Les deux hommes sympathisent. Rapidement, Baryton sombre dans la folie et annonce à Bardamu sa décision de partir : " je vais renaître, Ferdinand." Il confie à Bardamu la direction de la clinique. Robinson reparaît au grand regret de son ami. Il a recouvré la vue et a quitté

|Modestina, femme de chambre (mezzo-soprano) | |Don Luigino, cousin de la comtesse (baryton) | |Maddalena, gouvernante (mezzo-soprano) | |Antonio, maître d'hôtel (baryton) | |Zefirino, garçon de course (ténor)

s’en va, du jour au lendemain, sans rien, car il n’a jamais rien eu. Grace à de vieilles connaissances, il est engagé dans un établissement psychiatrique dirigé par le docteur Baryton. Les deux hommes sympathisent malgré leur désaccord : Ferdinand sait s’adapter, de toute façon, personne ne vaut rien à ses yeux. Baryton sombre dans la folie et lui confie la direction de la clinique. Après les dernières péripéties, très intenses, Bardamu est victime d’un énième accident et se retrouve à nouveau