Basile de Césarée

qui lui ont accordé leur suffrage, et traiter avec insolence les auteurs de son élévation. L'insensé, il ne sait pas que sa gloire est plus fragile qu'un rêve et que l'éclat qui l'entoure est plus vain que les fantômes de la nuit. Saint Basile de Césarée. 1 L'archer grimpa en silence le long du tronc noueux du caïlcédrat. A quatre heures du matin le boulevard de la République est totalement désert. Il ne craignait donc pas d'être vu. Ne pas faire de bruit. Un chien zélé aboya, mais sans

La caricature dans l'Adversus Hermogenem de Tertullien INTRODUCTION 1) Éléments biographiques. Le peu de choses que l'on sait de lui nous est parvenu par ses œuvres, mais aussi par celles de Eusèbe de Césarée et Jérôme. Né vers 150/160 à Carthage (Tunisie) Famille romanisée et païenne. Il suit l'enseignement romain classique et devient un excellent rhéteur. Éducation complète : il étudia notamment la philosophie auprès de plusieurs écoles. Vers 130 il se convertit

profonde. § 3. L'enseignement des Pères de l'Eglise. Les Pères de l'Eglise, aussi bien des grecs (Basile, Jean Chrysostome) que des latins (Ambroise, Augustin) n'ont pas seulement stigmatisé les accaparements des riches, ils ont contesté le principe même de l'appropriation privative des biens, particulièrement celle de la terre. • Saint Basile (Basile de Césaré(329-379) évêque de Césarée ( aujourd'hui Kayseri en Turquie), théologien et moraliste, il fut un des fondateurs de la vie monastique

siècle plus tard, Basile de Césarée (330-379), s’interrogera également sur cette dynamique de l’image-ressemblance : «N’as-tu pas remarqué que cette proposition est incomplète ? ‘Créons l’Homme à notre image et ressemblance’. La délibération comprenait deux éléments: ‘à l’image’ et ‘à la ressemblance’. L’exécution n’en contient qu’un. Dieu a-t-il délibéré d’une façon et puis changé d’avis ? Quelque repentir au cours de la création n’est-il pas intervenu? »67. Par ces mots, Basile précise la manière

né de Dieu, lumière née de la lumière, engendrée et non pas créée, consubstantiel au Père » (ce terme consubstantiel vient d'un mot grec qui veut dire essence ou substance)83. Néanmoins la querelle continue ce qui amène les pères cappadociens Basile de Césarée, Grégoire de Nysse et Grégoire de Naziance à élaborer la théologie de la Trinité qui veut qu'il y ait un Dieu en trois personnes : le Père, le Fils et le Saint-Esprit pour reprendre la traduction qu'Augustin d'Hippone a fait du grec84. Cette

foi a remportées chez toutes les nations, sur le judaïsme et le culte des faux dieux. Saint Cyprien la compare à un arbre dont les rameaux couvrent toute la terre. Tertullien 3 et Arnobe tiennent un langage analogue. IVe Siècle. - Saint Basile et Eusèbe de Césarée comparent la diffusion de l'Evangile à la rapidité d'un éclair ou d'un rayon de soleil. Lactance, saint Hilaire de Poitiers, saint Ambroise nous montrent toutes les provinces de l'Empire romain Essai sur les Origines du Christianisme, etc

au Moyen-âge, la montée du christianisme freine considérablement son essor. 47 47 Les chrétiens doivent pratiquer la charité Avec l’expansion de l’Eglise, débute l’histoire des hôpitaux. Patronné par Saint Lazare, Saint Basile le Grand fonde le premier hôpital en 360 à Césarée de Cappadoce (Turquie). A Byzance, à l’instigation des Empereurs, se multiplient asiles, léproseries, fondations charitables à l’intention des malades déshérités. En Gaule,la première Domus Dei voit le jour à Lyon en 542.

nombreuses actions individuelles, jusqu'au 19ème siècle. Par ailleurs, cette obligation de secours a été à l'origine de la fondation des premiers établissements d'assistance. Lorsque l'on fait une histoire de l'hôpital, on évoque souvent l'oeuvre de Basile de Cesarée (4ème S après JC). On en parle souvent comme un précurseur du Christianisme social parce-qu’il a développé au sein de son diocèse, une véritable assistance publique. Il est célèbre pour un concept architectural appelé la Basiliade. C'est un

133 Faust . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 165 Fourier, Charles . . . . . . . . . . . . . . . . 139 Freud . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68 Balzac . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34, 222 Basile de Césarée . . . . . . . . . . . . . . . 146 Baudelaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 192 Jakobson, Roman . . . . . . . . . . . . . . 217 Julie ou La Nouvelle Héloïse . 70, 108 Calypso . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73 Chamfort

comme chez Aristote, la proposition opposée à connaissance de Dieu selon sa grandeur (impossible) et connaissance selon son amour (possible) ; s. ATHANASE D’ALEXANDRIE, les cappadociens (s. GREGOIRE DE NAZIANZE, s. GREGOIRE DE NYSSE et s. BASILE DE CESAREE), s. HILAIRE DE POITIERS, et bien évidemment DENYS L’AREOPAGITE. 8 S. BONAVENTURE, De Triplici Via. Sauf indication contraire, l’ouvrage sera cité dans la traduction du frère André MÉNARD, datée de 2011 disponible sur le site http://www.freres-capucins