Basilique San Giorgio Maggiore de Venise

italiennes sont organisées en citésEtats aux aires d'influence étendues. Placées sous le pouvoir despotique de grandes familles (les Médicis à Florence, les Este à Ferrare, les Sforza à Milan, les Gonzague à Mantoue, les ducs d'Urbino, les doges de Venise et les papes à Rome), elles connurent une stabilité et une prospérité économiques favorables au développement des arts. 15ème siècle(Quattrocento) l’Humanisme o Redécouverte de la pensée et de l’art antiques o Mise en avant de l’individu (

Grazioli et Rubini. Le palais ainsi reconstruit fut nommé « Basilique » par Palladio lui-même, se réclamant du modèle des basiliques romaines d'usage civil. Le nom lui resta donc de Basilique palladienne, du nom de son architecte : elle conserve, après de multiples restaurations (la dernière achevée en 2002), l'aspect de l'œuvre de style Renaissance conforme au projet de Palladio. Sous le gouvernement de la république de Venise, la Basilique devint, en plus de ses fonctions administratives de conseil

VENISE 9e SiècleIl faut se souvenir que c'est à la suite des invasions barbares du 5e et 6e siècles que la lagune vénitienne sert de refuge à des pêcheurs et à des sauniers de la côte.   Ils sont suivis peu à peu, durant trois siècles, par le repli des habitants de différentes cités (Trévise, Aquilée, Uderzo) alors soumises à la domination byzantine de Constantinople.A la suite de luttes de différentes factions, c'est finalement à Rivoalto (futur Rialto) que s'opèrera le transfert du gouvernement

plein cintre et les chapiteaux sur le mur de fond, les arcs étant le rapport dessiné d’un cube parfait sur une surface plane.  Tout volume peut être légitimement représenté par une projection graphique. Eglise San Lorenzo. Florence, 1421-(1429). Il s’agit d’une ancienne basilique gothique, reconstruite en église par la famille Médicis. Elle est construite sur un plan longitudinal médiéval. Brunelleschi intègre le système perspectif par la pluridimensionnalité des espaces : la taille des espaces

également considérer que la chute de Constantinople (par les Ottomans) en 1453 marque la fin du Moyen-Age. (Michel Ange - David - début XVIe 1501/1504 - Florence - nu monumental - 1er de la renaissance - illustre un thème chrétien) (église de Venise - San Giorgio Maggiore - 1560/1580 - construite à la manière d'un temple antique - stylobate) (Diadumène de Polyclète - Ve siècle avant JC - Athènes) (Arès - Borghèse - Ve avant JC - Louvre) (Fin Ier siècle avant JC - représente Marcellus - par Cléoménes)

les échanges entre les trois arts augmentent. Florence se différencie donc par son style antiquisant dans une Europe gothique. L'exemple serait Le palais des Médicis. -Le concours de 1401 : En 1401 à lieu à Florence pour la rénovation du Baptistère San Giovani le premier concours artistique public des temps modernes. C'est le sacrifice d'Isaac de Ghiberti qui fut choisit. Mélange entre Antique grâce à la présence d'Hercule et Moderne avec le manteau d'Abraham. -La porte du paradis : commandé encore

forme en Italie, s’installe à Londres et y fait triompher opéra italien. À la fin du siècle grands opéras de Mozart sont en italien. ▪ Farinelli. Jacopo Amigoni. Originaire de Naples, carrière internationale (Venise, Allemagne, Angleterre, peintre de cour en Espagne et directeur de l’Académie San Fernando). Chanteur au sommet de sa carrière dans présentation qui anticipe portrait anglais en plein air. Conservé à Stuttgart Développement des théâtres : ▪ Vue de la salle du théâtre Argentina à Rome

aucune issue, aucune échappatoire ; tout est noir, car les Apennins occultent encore le jour qui vient. Je passe derrière le palazzo, avec son campanile crénelé et son horloge à une seule aiguille… me faufile entre les premiers vendeurs de la piazza San Firenze, avec leur voix éraillée empestant déjà le lampredotto et les olives grillées. Je dépasse le Bargello, oblique vers le campanile de la Badia Fiorentina et pousse la porte de fer au bas de l’escalier. L’heure n’est plus à l’hésitation. Je tourne

aucune issue, aucune échappatoire ; tout est noir, car les Apennins occultent encore le jour qui vient. Je passe derrière le palazzo, avec son campanile crénelé et son horloge à une seule aiguille… me faufile entre les premiers vendeurs de la piazza San Firenze, avec leur voix éraillée empestant déjà le lampredotto et les olives grillées. Je dépasse le Bargello, oblique vers le campanile de la Badia Fiorentina et pousse la porte de fer au bas de l’escalier. L’heure n’est plus à l’hésitation. Je tourne

lendemain. Quand, à l’automne de 1463, l’horizon parut moins sombre en Italie, Pie II, pour réveiller la torpeur du monde chrétien, voulut prendre lui-même le commandement de la croisade. Louis XI en repoussa le projet ; Philippe de Bourgogne et Venise finirent par y adhérer. Une nouvelle assemblée, en septembre, réunit les délégués des villes et des États italiens. Le pape sollicita de nouvelles promesses ; Skander-beg et Mathias Corvin appelaient les armées d’Occident. Mais le duc de Bourgogne