Bataille de Pharsale

collègue de Cicéron au consulat, s’empressa de faire lever une armée dont il confia le commandement à son second Marcus Pétreius. Malgré le courage et la détermination de Catilina et de ses hommes, l’armée les écrasa et Catilina mourut sur le champ de bataille, percé de coups. A partir du premier extrait de texte « Considérations sur les causes de la conjuration de Catilina » nous pouvons observer comment cette conjuration a été perçue par les romains à travers l’écriture de Salluste. Il est dit que

Guerre civile * 1.5 Dictature de César * 1.6 Au lendemain des Ides * 2 Rivalité avec Octave * 2.1 Séparation des pouvoirs, le second triumvirat * 2.2 Rencontre avec Cléopâtre * 2.3 La guerre contre les Parthes * 2.4 Bataille d'Actium * 2.5 La fin * 3 Une ascendance mythique * 4 Descendance de Marc Antoine * 5 Postérité dans les arts * 6 Notes et références * 7 Voir aussi * 7.1 Bibliographie * 7.2 Liens externes | Ses débuts[modifier] Jeunesse[modifier]

César voulait en finir avec la République, mais le Sénat s’y oppose. Le peuple, lui, accepte bien cela, et César et Pompée, vainqueur en Orient, s’affrontent alors à Pharsale. Pompée dut s’enfuir en Egypte où il fut assassiné. César fut l’imperator par excellence. Sa tentation de la royauté fut un bon prétexte pour les survivants de Pharsale de l’assassiner. Gouverner le monde Il poursuit sa conquête vers l’ouest, et crée une seconde province africaine (Est algérien). Tous ces territoires ne formaient

Alexandre, César, Alcibiade, compatible avec ce quel'histoire nous apprend de ses actions. Ainsi tout ce qui choque l'histoire sort de cette vraisemblance, parce qu'il est manifestement faux; et il n'est pas vraisemblable que César, après la bataille de Pharsale, se soit remis en bonne intelligence avec Pompée… » (...) « Cette fausseté manifeste, qui détruit la vraisemblance, se peut rencontrer même dans les pièces qui sont toutes d'invention. On n'y peut falsifier l'histoire, puisqu'elle n'y a

Italie, il inflige aux Romains une série de défaites et ravage la majeure partie de l'Italie méridionale durant plusieurs années. Rappelé en Afrique en 202 av. J.-C. pour faire face à Scipion l'Africain, qui a assiégé Carthage, il est vaincu à la bataille de Zama. Carthage doit rendre sa flotte, céder l'Espagne ainsi que ses îles de Méditerranée, et payer une très lourde indemnité. Les cités grecques du sud de l'Italie qui ont épaulé Hannibal deviennent des colonies romaines. Rome continue également

mines et des ports, éléments stratégique. Philippe soumet également ses voisins non grecs : les Péoniens, les Illyriens puis les Thraces. En 353, Philippe entre en Thessalie ou il s’attaque à l’alliance Phères/Phocide. Le roi de Macédoine gagne cette bataille et prend le port de Pagases. La dénonciation du danger macédonien constitue la clef de l'œuvre politique de Démosthène. Selon lui, la puissance de Philippe est fondée sur deux facteurs, ses richesses tout d'abord (sous forme de réserves d'or), puis

remporte la bataille navale d’Actium en Grèce. Octave devient ainsi le seul maître de la République romaine et des territoires qu’elle contrôle autour de la Méditerranée, ainsi que de l’Egypte après les suicides de Cléopâtre et de Marc-Antoine en 30 av. JC.Son alliance avec Antoine avait toujours été chancelante et incertaine. Après de fausses réconciliations, il la rompit enfin; […] Cependant, après l’avoir fait déclarer ennemi de la république, […] Peu de temps après, il le vainquit à la bataille navale

seulement dissiper quelques malentendus : le nouveau roman n'est pas une théorie, mais une recherche ; il est l'aboutissement d'une évolution qui, rompant avec l'ordre balzacien ici encore mis à contribution, s'aperçoit à partir de la description de la bataille de Waterloo par Stendhal ; loin de se désintéresser de l'homme, il ne s'intéresse qu'à lui et à sa situation dans le monde ; alors qu'on le croit épris d'objectivité, il vise à une subjectivité totale, ne propose pas de signification toute faite

d’intertextualité s’appuie sur les œuvres suivantes : Les chants de Maldoror et Poésies de Lautréamont, Mémoires d’outre-tombe de Chateaubriand, Les Amours jaunes de Tristan Corbière, La Vie mode d’emploi de Georges Pérec Intervalle de Michel Butor, La Bataille de Pharsale de Claude Simon, Eloges et Anabase de Saint-John Perse Cinq grandes Odes et Connaissance de l’Est de Paul Claudel. UE 6 SEMINAIRES ECUE 6.1 W24LFCJ Séminaire séculaire Marie Christine Rochmann La francophonie littéraire Il s'agira

contraire « Je » est, ce qui, tout au long de notre vie, confère à notre être selon la formule de Montaigne  sa « maîtresse forme ».   « Tout mouvement nous découvre écrit Montaigne. Cette même âme de César, qui se fait voir à ordonner et à dresser la bataille de Pharsale, elle se fait aussi voir à dresser des parties oisives et amoureuses. On juge un cheval non seulement à le voir manier sur une carrière, mais encore à lui voir aller le pas, voire à le voir en repos à l’étable »