Bataille de Philippes

qu'il n'en restât plus un seul de ceux qui avaient pris la moindre part à l'exécution, ou qui avaient seulement approuvé le complot. Entre les événements humains, il n'en est pas de plus étonnant que celui qu'éprouva Cassius : vaincu à la bataille de Philippes, il se tua de la même épée dont il avait frappé César; et parmi les phénomènes célestes, on vit un premier signe remarquable dans cette grande comète qui, après le meurtre de César, brilla avec tant d'éclat pendant sept nuits et disparut ensuite

poésie grecques à l'Académie. Peu après l'assassinat de Jules César en 44 av. J.-C., Horace est enrôlé dans l'armée républicaine de Marcus Junius Brutus, l’un des meurtriers de l’Empereur. Nommé tribun militaire, il prend part à la première bataille de Philippes, en 42 av. J.-C., qui se solde par la défaite de l'armée républicaine face à Marc Antoine et à Octave (futur empereur Auguste). Cet échec le marque douloureusement ; après l'amnistie, il revient à Rome, où il devient scribe d’un prêteur et

également membre de plusieurs académies. Situation Historique de l’œuvre : Après la mort de César le 15 mars -44. Antoine, le bras droit de César, annonce qui va le venger en tuant Brutus et Cassius, commandants de cet assassinat. Lors de la bataille de Philippes, Antoine s’allie à Octavien, le fils adoptif et le successeur de César. Antoine demande de l’aide à Cléopâtre qui ne peut lui en fournir. Après avoir gagné, Antoine et Octavien se partage le royaume. Par la suite, la relation entre les 2 hommes

novembre -43. Cette loi donne pour cinq ans des pouvoirs (Imperium) exceptionnels aux triumvirs (le droit de nommer des magistrats, de faire la loi, de commander les légions ...). Les triumvirs sont victorieux des républicains lors de la bataille de Philippes en -42. Marc Antoine se voit accorder le pouvoir sur les provinces d'Orient. En -41 / -40, des tensions entre Octave et le frère de Marc Antoine provoquent la guerre de Pérouse, qui permet à Octave de s'emparer des Gaules. Néanmoins les triumvirs

justement en Grèce lors de l'assassinat de Jules César en 44 av. J.-C.[2]. Il s'enrôle alors dans l'armée des « Libérateurs » et se fait si bien remarquer de Brutus que celui-ci lui confie le commandement d'une légion[3]. Lors de la première bataille de Philippes (première semaine d'octobre 42 avant J.-C.), les troupes de Brutus s'emparent du camp d'Octave, qui échappe de peu à la capture. Mais lors du second combat, le 22 octobre, Octave et Marc Antoine sont vainqueurs. Brutus se suicide. Horace fait

dessous de l'âge minimal requis. Cicéron lance cette phrase célèbre dans sa quatorzième Philippique : « Par son courage il a surmonté son âge5 » ( « Virtute superavit aetatem » ). Ayant levé une armée, Octave bat d'abord Antoine à Modène dans une bataille où périssent les deux consuls en exercice Aulus Hirtius, mort au combat, et Caius Vibius Pansa Caetronianus, décédé des suites de ses blessures. Octave est alors acclamé imperator, « général victorieux », par ses troupes. Mais en dépit de l'avis

y faire son cursus par l’étude du grec et de la philosophie. Après l'assassinat de Jules César en 44 av. J.-C., Horace entre dans l'armée des Libérateurs, et devient le commandement d’une légion (il a vingt et un ans). Lors de la première bataille de Philippes, les troupes s’emparent du camp d’Octave (le futur empereur Auguste), lequel échappe de peu à la capture. Mais lors du second combat, Octave est vainqueur. Quand une amnistie est déclarée pour les vaincus, Horace retourne en Italie où il apprend

l'argent peut faire basculer de camp Cette période de guerres civiles explique pourquoi entre autre , il fallut 40 ans entre la promesse de construction par Auguste et sa réalisation finale . Et c'est ainsi que voué en 42 avant JC lors de la bataille de Philippes opposant le futur Auguste et son allié de circonstance Marc Antoine à Cassius et Brutus ; elle ne fut inauguré par Auguste et ses 2 fils adoptifs et successeurs désignés Caius et Lucius auxquelles la Maison Carré de Nimes avait été dédicacé

Jean le Bon et son fils Philippe à la bataille de Poitiers, Franc à cheval 1361 Introduction : Le Moyen Âge est, dans l’imaginaire populaire, souvent dépeint comme une période d’obscurantisme réduite à la royauté et à la chevalerie par le prisme du divertissement et des médias (littérature, cinéma, jeux vidéo etc). Les sources médiévales riches par leur diversité nous offrent un regard plus concret ; nous renseignant sur les multiples conceptions, valeurs et modèles sociétaux de cette

Commentaire de texte : Le dimanche de Bouvines (1214) Philippe II fut surnommé Philippe « Auguste » par le moine Rigord en référence aux empereurs romains qui ont accru de manière considérable leur territoire. En effet, Philippe est un des monarques les plus étudiés de l’histoire française médiévale non seulement pour la longueur de son règne, mais surtout pour les innombrables victoires militaires qu’il obtient. Ainsi, la bataille de Bovine est un exemple parfait de ses exploits militaires