Bataille de Soissons

baptême. Ce qui se fait quand le Saint Siège se retrouve libéré des envahisseurs Lombardiens. En retour le Pape légitime la prise de pouvoir des Pippinides, et à ce moment là, Pépin le Bref devient le premier Roi des Francs non Mérovingien en 751 à Soisson. A partir de là, le peuple se montre très imprégnée par la Christianisation et cela continue sous le règne de Charlemagne. Car ce dernier marque la première année du IXème siècle. Puisque dès le 25 décembre 800, il reçoit le titre symbolique et glorieux

sa vie dans les combats , il n’hésite pas à se porter à la tête de ses troupes . Chronologie C’est là que Clovis se serait convertit , on dit qu’il aurait négocier sa conversion avec dieux : il aurait dit qu’il se convertirait si il gagner la bataille . La conversion d’une personne est de l’ordre de l’intime , aucune source historique ne pourra prouver que cela a eu lieu à Tolbiac. Peinture Clovis se tourne ensuite vers le sud de la Loire contre les Wisigoths et son royaume va atteindre les

commence avec l’avènement de Clovis qui est le fils de Childéric 1er et le petit-fils de Mérovée. C’est Clovis qui a régné sur tous les francs. * 486 : Bataille de Soisson. Clovis attaque les gallos romains et est vainqueur. Bat le chef Syagrius. Vase de Soisson rapporté par un historien Grégoire de Tours qui a vécu au 6ème siècle. Après la bataille, Clovis et ses soldats doivent partager le butin selon la coutume Franque. Cette coutume est le tirage au sort. Clovis veut qu’un vase lui soit attribué

Prague le 19 décembre 1741 et fut élu empereur à Francfort le 31 janvier 1742. Choiseul participe à la guerre de succession d'Autriche** comme lieutenant second au Roi-Infanterie, il assistera notament à la prise de Prague en 1741, ainsi qu'à la bataille du maréchal de Noailles contres les armées anglaises à Dettingen, il y décrit l'indiscipline et l'ignorance de l'armée française (1800 hommes tués ou blessés), c'est ce qui le poussera en 1763 à proposer au Roi de nombreuses réformes militaires.

traversé Meaux, encore figé dans l'immobilité et le silence, Meaux avec ses bateaux-lavoirs coulés dans la Marne et son pont détruit. Puis nous avons pris la route de Soissons et gravi la côte qui nous élevait sur le plateau du nord... Et alors, subitement, comme si un rideau de théâtre s'était levé devant nous le champ de bataille nous est apparu dans toute son horreur. Des cadavres allemands, ici, sur le bord de la route, là dans les ravins et les champs, des cadavres noirâtres, verdâtres, décomposés

autres et va créer un nouveau royaume : le royaume Francs. Et ce royaume préfigure la France actuelle. Parvenu au pouvoir en 481, Clovis défait à Soisson en 486 l’armée romaine de Syagrius. Et donc Clovis étend son territoire jusqu’aux frontières des royaumes Wisigoth et Burgonde. Puis ca va être au tour des Alamans que Clovis bat à Tolbiac en 496 (bataille de Tolbiac). Le génie de Clovis réside dans le fait que parmi tous les chefs barbares, c’est le seul à avoir compris l’importance du pouvoir

de la religion chrétienne, Clovis comprit vite l’intérêt d’un soutien de la population gallo-romaine. Se convertir pourrait lui assurer une certaine légitimité et le désigner comme l’héritier des traditions romaines en Gaule. En 496, alors que la bataille qui l’oppose aux Alamans se heurte à une défaite imminente, Clovis encore adepte des divinités païennes prie Dieu de lui accorder la victoire en retour il promet de se convertir au christianisme s’il en revient. Ainsi, légende ou réalité, un formidable

Les « Oints de Dieu », telle était la désignation qu’apportaient les écrits du Moyen Age à propos des Rois lors de leur sacre. Le premier sacre d’un Roi de France aurait été celui de Pépin le Bref, en 752 (sacré une première fois à Soisson par un évêque, puis à Reims par le Pape Etienne II). Le but était alors de créer une alliance avec l’église pour assurer sa légitimité. Il s’agit donc, au départ, davantage d’une promesse vis-à-vis du pape et de l’église que vis-à-vis du peuple. C'est Louis

essayant de mieux se protéger de l'armement industriel et plus particulièrement des obus et des balles de mitrailleuses. Les deux armées se font face en effet à partir de novembre 1914 jusqu'en mars 1918 de la Mer du Nord jusqu'en Alsace en passant par Soissons. Les hommes sont alors contraints de creuser des tranchées pour être davantage à l'abri des balles et des obus. Les journées sont alors occupées à monter la garde, observer l'ennemi et tenter d'éviter les obus. Les conditions de la guerre sont rudes

avaient du plaisir à regarder. Il s’était engagé à dix-sept ans, vers 1803 ; il avait fait la campagne d’Austerlitz, la campagne d’Iéna ; puis, enfin, la dernière campagne, cette campagne si brillante qui se termina par les batailles d’Essling et de Wagram. Dans cette dernière bataille, au moment où il chargeait, avec son escadron, sur un régiment d’infanterie, il avait reçu une balle qui lui avait brisé l’index et le médium de la main droite ; on avait dû les lui couper, et, dans l’impossibilité où il