Bataille de Vitoria

celle des Cités (Athènes, Sparte, Thèbes) qui, atteignant leur apogée avec la démocratie athénienne, occupent sans interruption le devant de la scène durant cinq siècles, jusqu’à la conquête par Philippe II de Macédoine, au début du IVe siècle (bataille de Chéronée, 338 avant J. C.).. B) Le monde grec, entre particularisme des Cités et identité commune Ce monde est traversé par une tension. D’un côté, un fort particularisme de chaque Cité. Celui-ci se trouve à l’origine de guerres nombreuses

Montaigne ( 1530-1563 ) ; au XVIIème siècle, Domat, ami de Pascal ( 1625-1696 ) ; au XVIIIème siècle, Montesquieu, auteur de L’Esprit des Lois ( 1689-1755 ), Pothier, ami du chancellier d’Aguesseau ( 1699-1772 ). A l’étranger, les œuvres de l’Espagnol Vitoria ( 1483-1546 ) et du Hollandais Grotius ( 1583-1645 ) posent les bases du droit international public. L’Italien Beccaria ( 1738-1794 ), avec son Traité des délits et des peines, et l’Anglais Jeremy Bentham ( 1748-1832 ), avec son Traité des peines

étatiques remontent au niveau de l’Antiquité (Rome et la Grèce) et il y aura création d’états et ce sera par la suite balayé par la naissance des premiers états modernes et de la doctrine des « pères fondateurs »  doctrine des « pères fondateurs » : Vitoria, Suarez, Las Cassas, Bodin, Grotius…  Victoria et Suarez vont systématiser l’organisation étatique et le droit international et ce qui fait qu’aujourd’hui leur doctrine n’est pas très vivante c’est que Victoria est décédé en 1546 et Suarez 1548

est lui-même source de tensions et de conflits larvés dans la sphère socioéconomique et qu’il ne saurait faire table rase des inégalités de toutes natures, entraîne, comme le soutient Immanuel Wallerstein, que la culture devient « le champ de bataille idéologique du système-monde moderne » 97. Pour cet auteur, la « géoculture » 98, désignée ainsi « par analogie avec la géopolitique, non pas parce qu’elle est supralocale ou supranationale, mais parce qu’elle représente l’arrière-plan culturel

Parall†lement, en Espagne, l'‰cole de Salamanque, „ partir de la th€orie des droits naturels, propose une conception subjective de la valeur et justifie la propri€t€ priv€e et la libert€ des €changes. Ses auteurs principaux sont les j€suites Francisco de Vitoria (1483„1546), Mart’n de Azpilcueta (1493„1586), Domingo de Soto (1494„1560), et Luis de Molina (1535„1600). Cette tradition sera reprise par les classiques franŒais et l'Ecole autrichienne. Les guerres de religion „ la suite de la R€forme ont fait

paysans et raisonnables pour les consommateurs. Pour maîtriser les volumes, un niveau de production souhaitable pourrait être réparti dans chaque territoire européen, en fonction DA N S L E S L I V R E S LA RIPOSTE DES PAYSANS. – Silvia Pérez-Vitoria Actes Sud, Arles, 2010, 292 pages, 20 euros. « Les paysanneries, dans le monde, sont en train de se reconstruire avec de nouvelles visions, mais en s’appuyant sur les fondements qui ont toujours été les leurs... » Telle est la conviction que l’économiste

est que sous la II° république, le président ne peut faire qu’un seul mandat. Napoléon demande alors une révision de la constitution qui lui est refusée. Il fera alors un coup d’état. Il choisi la nuit du 1er au 2 décembre 1848 (en souvenir de la bataille d’Austerlitz). Il réunit à l’assemblée ses fidèles et fait placarder dans tout Paris des affiches annonçant la dissolution de l’Assemblée nationale à cause d’un complot. Il met les libertés en suspend et dit qu’il proposera de nouvelles institutions

échec social qui peut conditionner la qualité future de la démocratie en Euskadi ». Le nouveau président du Pays basque, Patxi Lopez, socialiste au pouvoir Santander Bilbao B I SCAY E A L AVA France San Sebastian GU I PUZCOA paYs Basq u e Vitoria es paG n e 40 km depuis six mois après trente ans de gouvernement nationaliste, partage cette préoccupation : « Nous avons mis en place une politique de tolérance zéro contre la propagande et l’apologie du terrorisme, mais c’estl’affairede tous

pas le seul exemple de réaction, portée par Internet, contre les excès de pouvoir, qu’ils soient politiques ou commerciaux. Il se dessine donc une nouvelle sorte de conflit, mondial, dans le registre de la persuasion, dont Internet est le champ de bataille. On peut déjà anticiper que l’affrontement sera long et peut-être même dévastateur. Aujourd’hui, environ le tiers de la population mondiale est internaute. Dans quinze ans, ce seront plus des deux tiers, donc le grand public de tous les pays. L’affrontement