Bataille de Wagram

mise à la scène du Cantique des Cantiques, mais davantage une démarche d’adaptation, de transposition. Marc Faessler et Francine Carillo, L’Alliance du désir, op. cit., p. 9 Alain Bashung et Chloé Mons, Le Cantique des Cantiques, Dernière Bande/Wagram, 2002. 26 25 Comparatismes -n° 1Février 2010 52 Claire PLACIAL – Les traductions dramatiques du Cantique des Cantiques : représentation moderne d’un poème biblique ? Le débat sur l’appartenance des livres bibliques à des genres littéraires

par la Chambre des députés, les quatre ministres arrêtés furent transférés à Vincennes. La foule parisienne s’y porta aussitôt en masse, pour réclamer leur mise à mort. Le gouverneur du château était le général Daumesnil, qui avait perdu une jambe à Wagram et n’était pas homme à céder à pareille demande. S’avançant vers les émeutiers, il déclara que les caves du château étaient pleines de barils de poudre et qu’il n’hésiterait pas à y mettre le feu plutôt que de livrer les ministres que le gouvernement

son ambition avait décuplé. Il est prêt à tout, même à oublier les valeurs enseignées par sa famille. Il a le désir d’être reconnu par la société de Paris. Madame de Beauséant veut lui expliquer les choses telles qu’elles sont : il faut livrer bataille pour obtenir sa place dans la société. Pour cela il faudra oublier les sentiments (opposition avec les valeurs provinciales). Pour trouver sa place dans cette société il faut livrer un combat. Elle veut montrer que ce monde est entre les mains

JérômeNicolas Séchard, fortement aviné, lui dit un : - Causons d'affaires ? qui passa si singulièrement entre deux hoquets, que David le pria de remettre les affaires au lendemain. Le vieil Ours savait trop bien tirer parti de son ivresse pour abandonner une bataille préparée depuis si long-temps. D'ailleurs, après avoir porté son boulet pendant cinquante ans, il ne voulait pas, dit-il, le garder une heure de plus. Demain son fils serait le Naïf. Ici peut-être est-il nécessaire de dire un mot de l'établissement

să-mi mai deschidă porţile minunate ; în zadar invocară neobosite, potrivit obiceiului lor, pe venerabilul inventator al tiparului şi pe tînărul principe amator de pictură impresionistă şi şofer (care era nepotul căpitanului de Borodino), Gutenberg şi Wagram nu răspunseră, rugăminţilor lor şi am plecat, dîndu-mi seama că Nevăzutul solicitat va rămîne ,surd. Cînd am dat de Robert şi de prietenii săi, nu le-am mărturisit că inima mea nu mai era cu ei, că plecarea mea era irevocabil hotărîtă. Se prefăcea

„În acea frumoasă seară de mai, caldă şi limpede, profesorul Martial Hauffroy, membru al Academiei de ştiinţe şi al Academiei de medicină – în pofida puternicei sale originalităţi – îşi sărbătorea nunta de argint în luxoasa-i locuinţă de pe Avenue Wagram. Se aflau acolo vedetele ştiinţei, literaturii, politicii..."1 Acest început de capitol al lui Léon Daudet (Daudet omul preţuia mai mult decât romanele sale, fiindcă i-a descoperit şi impus pe Proust şi Bernanos) se apropie poate cam prea mult de