Bataille des Dardanelles

comme le rappelle le Coryphe qui affirme leur propos ils ne peuvent tre dits esclaves, ni sujets, de personne. HYPERLINK http//www.philo52.com/articles.phplngfrpg1846 l _ftn5 o 5 La vaillance et lnergie dont ont fait preuve les Grecs pendant la bataille, sexplique donc par la motivation qui est la leur de se battre pour ce quils ont de plus cher, et explique son tour la victoire crasante des Grecs malgr leur nette infriorit numrique (rappelons que Xerxs lui-mme stait vant du nombre de ses vaisseaux

sera la 1ère bataille de la Marne du 6 et 13 septembre 1914. La bataille de la Marne sera un échec pour l’armée allemande, la victoire échappe à l’Allemagne. Pour la 1ère fois les Allemands reculent jusqu’à l’ mais les français ne peuvent libérer entièrement le territoire. Petit à petit le front se stabilise. Du côté allemand, on veut s’assurer du contrôle du littoral pour couper l’Angleterre du continent. Foch livre la « course à la mer » et par la très dur bataille : bataille de Flandre ou

L’échec de la guerre de mouvement  Sur le front occidental, les Français échouent dès le mois d’août en Alsace-Lorraine alors que l’armée allemande parvient à moins de 50 km de Paris. Son avance est stoppée entre le 6 et le 13 septembre lors de la bataille de la Marne engagée par Joffre. Dans les semaines suivantes, les deux armées tentent vainement de se déborder par l’ouest : c’est la « course à la mer ». En novembre, de la mer du Nord à la frontière suisse, le front se stabilise sur 800 kilomètres

incarne la résistance face à Napoléon et aux Français. Après la défection du général Yorck lors de la campagne de Russie (1812), et son exploitation politique par von Hardenberg, l’armée prussienne fond sur les restes de la Grande Armée et, par la bataille décisive de Leipzig, l'oblige à se replier en Rhénanie (1813). L'armée prussienne, menée par le général Blücher, joue un rôle de premier plan dans la Campagne de France (1814). Elle appuie encore de manière décisive l'armée de Wellington pendant

fait le récit de l’expédition des Perses : l’armée du roi a rejoint la terre voisine en franchissant l’Hellespont [détroit des Dardanelles] (Strophe 1, p.95) Puis le chef de l’Asie, égal des Dieux, presse ses hommes sur terre et sur mer en se fiant à ses lieutenants (Antistrophe 1). En conduisant son char syrien, il mène du regard et de son arc ses troupes à la bataille (Strophe 2). Qui pourrait arrêter cette armée perse ? (Antistrophe 2) Mais qui pourra éviter le piège tendu par un dieu ?(Strophe

siège meurtrier, des traîtres ouvrent les portes aux Perses. La ville est pillée, ses temples incendiés, sa population est capturée, enchaînée puis déportée en Basse-Mésopotamie, marquant ainsi la première étape de la vengeance des perses. La bataille de Marathon L'armée perse est conseillée par Hippias, l'ancien tyran d'Athènes qui espère pouvoir reprendre le pouvoir. Le débarquement a lieu en septembre 490 sur une plage d'environ quatre kilomètres de long qui borde la plaine de Marathon, à

d’une boue glaciaire, le corps toujours secoué de râles brulants, et, quand enfila nappe est dépassée – ô fraîche transparence de l’air – les vieilles recettes de la guerre par un bombardement intensif fauchent les rescapés. (p.149) Toute la bataille de la Somme et Marne est là, y compris des stratégies militaires également cyniques : « Dans l’immédiat on envoie un régiment de Marocains récupérer les positions perdues. Le gaz n’est pas encore dissipé, mais ces gens du désert ont l’habitude du

22 août Première bataille des Ardennes Les troupes françaises peinent dans leurs tentatives pour ralentir la progression des troupes allemandes. Chaque camp préconise en effet le mouvement et c’est en fonction de ces théories que les batailles s’organisent. Mais dans ce que l’on appelle la "bataille des frontières", les Français sont dans un premier temps dépassés et doivent refluer. C’est ainsi qu’ils échouent dans les Ardennes à un combat qu’ils réussiront lors de la bataille de la Marne. Voir

les assauts, pour dépasser sa peur. Le combat devient une « boucherie », un massacre de masse. L’absurdité l’emporte : cette guerre devient absurde. Le combat n’a plus de sens, si ce n’est de sauver sa peau. Il n’y a pas de héros. Le champ de bataille est un champ de foire. Il n’y a pas de leaders, pas de préméditation. Les mouvements spontanés se propagent d’une tranchée à l’autre. En 1917, 30 à 90 000 hommes résistent. Quelques officiés sont abattus car ils ont menacé leurs hommes. Certains

mythe font encore penser que sa victoire à Trafalgar contre Napoléon a sauvé l'Angleterre de l'invasion et assuré dix ans à l'avance la défaite de la France. Ce n'est pas juste puisque Napoléon avait renoncé à passer la Manche avant la bataille et que cette bataille est restée sans lendemain. Sea Power (ensemble des moyens permettant d'utiliser les routes maritimes ): rôle important dans la victoire britannique. Une marine marchande et une marine de guerre supposent en amont une administration