Bataille du cap Mycale

l’hégémonie du plein gré des Alliés » Thucydide dans son Histoire de la Guerre du Péloponnèse. En effet, Athènes, dès la fin de la seconde guerre médique devient la cité hégémonique, c’est-à-dire à la tête du monde grec. Après les victoires de Platées et Mycale, le problème grec demeure. Les cités grecques de l’Asie mineure et des Cyclades craignent un retour offensif des Perses et se tournent alors vers Athènes et Sparte. C’est finalement Athènes qui s’impose en 478 à la tête d’une nouvelle alliance.

nous renseigner sur l’origine et le commencement de ces guerres. En Seconde partie nous étudierons la première guerre médique. Nous explorerons la seconde guerre médique dans une troisième partie, puis dans une quatrième partie la bataille des Thermopyles.. Et nous finirions par une cinquième partie mettant en œuvre un auteur antique. L'origine de ces Guerres : En 499 avant Jésus Christ, des villes grecques d'Asie Mineure ont été conquises et sont dominées par les Perses

scientes bellum6. La terre est à peine séchée, et l’arrosement du sang 1 Ecclésiastique XL, 9 Considérations sur la France, ch. III. Disponible aux ESR, 228 p., 19 €. 3 Bossuet, Hist. univ. 4 Ps. LXXVIII, 3. 5 Ezech. VI, 22. 6 Baruch, cap. III. 2 4 LA GUERRE ET L’HOMME DE GUERRE recommence. Nembroth, arrière-petit-fils de Noé, commença, dit l’Écriture, à être puissant sur la terre. Il acquit par la violence une autorité despotique sur les peuples de Babylone et des environs

ceux-ci était supérieur à eux. Ensuite les dieux d’Hésiode. C’est aussi une construction de poète où ils disent que les dieux forment une famille cohérente et que de génération en génération, ils se battent contre des titans et des géants. Durant ces batailles, ils consolidaient leur pouvoir. Dans les premières générations de dieux, on y retrouve deux dieux important soit Gaïa et Ouranos qui étaient respectivement les dieux de la terre et du ciel.Leur légende dit qu’Ouranos craignait ses enfants et il

efficaces, mais l'antique magistrature conservait néanmoins un certains prestige, qui retombait surtout sur le tribunal formé des archontes sortis de charge, c'est-à-dire l'Aréopage. Un exemple de cette inversion de fonction peut être tiré de la bataille de marathon : l'archonte polémarque Callimaque fut positionné sur l'aile droite de l'armée grecque, probablement à titre honorifique, tandis que le stratège Miltiade commandait l'armée. Après les guerres médiques, le stratège contrôle toute la vie

troupes grecques le temps de se former. Athènes, abandonnée, est dévastée. Mais la flotte de la ville commandée par Thémistocle écrase la marine Perse dans la baie de Salamine, (480) et en 479 l'armée du Grand Roi est balayée à Platées (terre) et Mycale (Mer). |[pic] | |Crésilas : buste de Périclès. Copie romaine d’un original de 430 avant JC. Rome, Musée du Vatican.

de Sparte. Ils vivent dans les campagnes et on pu conserver leur structure familiale. Ils n’ont pas de liberté, ils ne peuvent être affranchie et n’on aucun droit politique ou militaire. Mais les hommes participent d’une certaine manière à la bataille non comme combattant mais comme des serviteurs. Tout système social et organisé pour le plus grand profit des homoioi (citoyens) Il est impossible de passer d’une catégorie à une autre. Car les sauts son héréditaire. Mais en revanche il est possible

chefs Les rois ne sont plus les chefs désignés de l’armée spartiate : Cléomène est envoyé en Attique après qu’une première expédition, menée par Anchimolos2, eut échoué (511). Mais l’initiative fait école : il ne semble pas y avoir eu de roi à la bataille de Marathon (du moins le contingent arrivé trop tard n’était pas commandé par un roi). Lors de la deuxième guerre médique, c’est Euainétos qui commande les troupes lacédémoniennes envoyées à Tempé nous dit Hérodote (7-172) ; c’est Eurybiade qui est

une petite armée de 25000 hommes corriger les Athéniens. Un homme : Miltiade stratège d'Athènes engage la bataille alors que les Perses n'ont pas finit de débarquer. Face aux troupes de Darius fortes de 25000 (ce sont des mercenaires), Miltiade place ses 10000 hoplites (tous Athéniens – les Spartiates n'avaient pas voulu s'associer aux athéniens contre le Grand Roi) Au soir de la bataille nous avons : 192 Athéniens tués, contre 6400 perses. Les Perses se retirent, Athènes est sauvé. Miltiade

de plaine donc peu d'élevage de chevaux et par conséquent, peu de cavalerie. En Grèce du nord, notamment en Macédoine, il y a des plaines et par conséquent des élevages de chevaux et des cavaleries. Cette cavalerie à deux missions sur le champs de bataille : Harceler les phalanges adverses Poursuivre les fuyards Conséquences de cette réforme hoplitique : Cette réforme a eu d'importantes conséquences sur la vie des citoyens. L'équilibre entre les différents citoyens de la cité a été modifié.