Bataille du cap Mycale

Athènes pour l'assiéger, mais le stratège athénien, Miltiade, en profite alors pour lancer une offensive et porter un grand coup aux Perses. Au cours de cette bataille les pertes grecques s'élèvent à seulement 192 hommes tandis que les Perses en perdent 6400, la victoire est totale et la flotte perse rentre en Asie. Bien que la bataille de Marathon ait été une grande victoire pour les Athéniens, ce fut une défaite mineure pour le puissant Empire, de plus l'expédition perse fut un succès car l'Empire

de Corinthe, ou l' « alliance héllénique ». Le commandement de l'armée grecque est confié à Sparte, signe de la suprématie des hoplites spartiates. Effectivement, les défaites Perses de la Seconde Guerre Médique, comme Salamine en 480 ou Platée et Mycale en 479, consacre la victoire de la phalange hoplite mais c'est cependant surtout la figure de la cité athénienne qui émerge. Cette dernière victoire marque la fin de l'alliance de 481. Les Grecs découvrent l'énorme butin laissé dans le clan des Perses

leur rencontre sur-le-champ à Marathon10. Ils étaient dix stratèges soumis à l’autorité d’un polémarque, dont Callimachos, qui était traditionnellement le responsable de la guerre. Environ 9000 Athéniens et 1000 Platéens participèrent à cette bataille. 1.1.3.2 Les belligérants perses Chez les Perses, c’est le Grand Roi Darius 1er qui dirigeait les troupes.11 Celui-ci se faisait rappeler tous les jours de « se souvenir des Athéniens », probablement parce qu’il trouvait dangereux, après la

Recit de la bataille de salamine, vu par ESCHYLE, Les pERSES (vers 337-395) Le 16 octobre 480 avant J.-Ch. a lieu la bataille de Salamine, considérée comme un fait majeur de la deuxième guerre médique (-480 à -478). Elle opposa les Perses aux Grecs. Le texte présenté est un dialogue entre la reine-mère Atossa (veuve de Darius et mère de Xerxès, « Grand roi » Perse), et un messager qui annonce à la reine que son fils a perdu la bataille de Salamine. Cet extrait est issu d’une tragédie, Les Perses

(Les plus intéressantes sont celles trouvées à Béhistoun, inscription trilingue en perse, médique et assyrien, gravées en 521 avt JC à la demande de Darius). Plan : Le déclenchement des guerres Médiques L'expédition perse de 490 : la bataille de Marathon et la première guerre médique Le déclenchement des guerres Médiques a. La révolte de l'Ionie 499-494 : révoltes des cités d'Ionie On ne connaît pas vraiment l'origine de ces révoltes. Peut-être trop d'impôts mais Milet

marécageux de la plaine. C’est le moment que choisit Miltiade, stratège athéniens, pour lancer l’attaque. La victoire est complète pour les Athéniens, qui repoussent les Perses à la mer. Les Spartiates arrivent le lendemain de la bataille et visitent le champ de bataille. La victoire de marathon procure un immense prestige à Athènes. On voit donc, que dès 490, Sparte et Athènes sont alliées, même si les Spartiates ne participent pas encore aux combats. Dix ans plus tard, les deux cités sont alliées

fonçèrent "au milieu du tas". Les ailes de l'armée grecque se replièrent pour encercler les assaillants. 6000 Perses moururent...Cette bataille marqua la fin de la Première Guerre Médique. Dix ans plus tard, Xerxès, le nouveau roi perse, fut à l'origine de la Deuxième Guerre Médique, qu'il perdit. Il fut notamment défait à la bataille de Salamine, ainsi qu'au Cap Mycale et à Platées (479). La fondation d’Athènes

foncèrent "au milieu du tas". Les ailes de l'armée grecque se replièrent pour encercler les assaillants. 6000 Perses moururent...Cette bataille marqua la fin de la Première Guerre Médique. Dix ans plus tard, Xerxès, le nouveau roi perse, fut à l'origine de la Deuxième Guerre Médique, qu'il perdit. Il fut notamment défait à la bataille de Salamine, ainsi qu'au Cap Mycale et à Platées (479) . Quelques cités grecques s’associent en une ligue dont le commandement revient à Athènes. Cet accord est passé

carrière d’auteur tragique se déclenche la révolte des cités grecques d’Ionie, qui engendrera les guerres médiques, (les grecs contre l’Empire Perse). Eschyle participe à la bataille de Marathon en 490. Entre cette victoire terrestre des grecs et la fin du conflit (480 : victoire navale à Salamine, 479 : victoire navale du cap Mycale), Athènes, grâce à la découverte d’un gisement argentifère est passée du statut de modeste puissance locale, à celui de puissance maritime internationale, dont le prestige

Marathon ne fut pas une grande bataille. Les pertes athéniennes ne s'élevèrent qu'à 192 hommes (pas sur) et celles des Perses se montèrent, nous dit Hérodote à 6400 ( ce qui est tout de même élevé). Du côté perse, même si l'expédition s'achevait par un fiasco, celui-ci ne remettait pas en cause le succès d'ensemble d'une opération qui avait vu, par le contrôle des îles de la mer Egée, la création d'une zone tampon isolant l'Asie Mineure des tentatives grecques. La bataille de Marathon eut à Athènes un