Bataillon

fournissent des remplaçants pour les hommes tués ou blessés. Les Grecs ne sont pas partisans, en général, des formations trop profondes ; c’est ainsi que Xénophon fait critiquer un chef lydien par Cyrus après la bataille de Thymbrée : « Crois-tu que des bataillons dont l’épaisseur fait que la plupart des soldats ne peuvent atteindre l’ennemi avec leurs armes puissent être d’un grand secours aux leurs et causer bien du mal au parti opposé ? Je voudrai que les piquiers égyptiens, au lieu d’être sur cent, fussent

Monarchie concernait le niveau tactique. Les fusils à silex, adoptés au début du XVIIe sc., n’étaient réellement efficaces qu’au tir par salve. C’est pourquoi il fallait que la première ligne fût la plus étendue possible. Aussi, au XVIIIe sc. un bataillon d’infanterie était-il disposé sur un front de 80 hommes alignés sur trois rangs. Non seulement les dispositifs étaient très long a mettre en place, car il fallait passer de la colonne à la ligne, mais en plus, une fois la ligne formée, elle était

En Afrique Française du Nord (AFN) et surtout au Maroc, des unités de l'armée coloniale, européennes ou africaines (12 bataillons), servaient dans le cadre de la pacification. L'armée coloniale envoya en Métropole, dès le 17 septembre 1914, des unités de marche mixtes (Européens et Africains) à raison, pour chaque régiment mixte, d'un bataillon africain pour deux bataillons européens. Ces unités (régiments mixtes d'infanterie coloniale du Maroc - RMICM) renforcèrent en premier lieu la division

sur le terrain, tué à l'ennemi. Référence n° : bp04-113 8 Récit de la bataille de Champagne à Perthes-les-Hurlus retranscrit cidessous : 9 Extrait du Journal des Marches et Opérations Lundi 1er février : Exercices. Fin pour le 3ème bataillon. De neuf a seize heures Mardi 2 février : Manœuvre du régiment, de midi trente à six sept heures (marche sous le feu de l’artillerie, traversée d’un bois) Mercredi 3 et jeudi 4 février : Exercices Vendredi 5/2 : Manœuvre de brigade. But de la manœuvre

l'attend : enrôlé malgré lui par un recruteur peu scrupuleux, il se trouve à bord d'un paquebot qui part pour la France. Car, en 1915, la France en guerre a besoin de toutes ses forces, y compris celles de son empire colonial. Tierno rejoint le 36e bataillon des Tirailleurs sénégalais qui s'apprête à monter en ligne. Dans la boue de Verdun, il découvre l'horreur...Tierno, jeune Peulh de dix-sept ans, poursuit ses études à Dakar à l'"école des Blancs". Mais c'est un tout autre apprentissage qui l'attend

Medium………………………………………………………….....…10 La Brigade Légère…………………………………………………………..….....12 Autres unités…..………………………………………………………………......15 Poster - Carte de Belgique et Organisation de la Composante Terre Information Operations Group……….………………..…………………….…..19 Le bataillon d’artillerie…………………………………………………………….20 Les unités de génie…………………………………………………………….....22 Les unités logistiques…………………………………………………................24 Systèmes de Communication et d’Information..…………………….…..……...26 Reconnaissance et renseignements………………………………………

Des hommes ordinaires. Le 101e bataillon de réserve de la police allemande et la Solution finale en Pologne. Par Christopher R. Browning L’auteur Christopher Browning est un historien américain spécialiste de l’Allemagne nazie et en particulier de l’Holocauste sur lequel il a écrit près d’une dizaine d’ouvrages. Il fut en effet l’élève de Raul Hilberg, autre historien de la Shoah, reconnu mondialement pour avoir été le premier à réaliser une dans La Destruction des Juifs d’Europe une synthèse

En Afrique Française du Nord (AFN) et surtout au Maroc, des unités de l'armée coloniale, européennes ou africaines (12 bataillons), servaient dans le cadre de la « pacification ». L'armée coloniale envoya en Métropole, dès le 17 septembre 1914, des unités de marche mixtes (Européens et Africains) à raison, pour chaque régiment mixte, d'un bataillon africain pour deux bataillons européens. Ces unités (régiments mixtes d'infanterie coloniale du Maroc - RMICM) renforcèrent en premier lieu la division

 [pic] Belgique La Belgique envoie que des volontaires en Corée, un bataillon à l'organisation légèrement modifiée, qui arrive en Corée en janvier 1951. L’unité belgo-luxembourgeoise fut connue sous le nom «Corps de Volontaires pour la Corée », le commandement américain le baptisera BUNC (Belgian United Nations Command. La Belgique déplore 101 morts, 5 disparus et 478 blessés. [pic] Canada Le Canada envoie des unités plus grandes qu’un bataillon. Tant de l’armée, de la force aérienne que de la marine. La

dominant le Russbach. Il dispose de la division Lamarque, dont il engage 7 bataillons puis quatre autres, total 11 bataillons (au lieu des 12 de mon Ordre de Bataille). Grenier doit le soutenir avec les divisions Séras et Durutte, tandis que la cavalerie de Sahuc mène un mouvement tournant. Lamarque est d!abord victorieux, malgré la “nuisance” de la division Dupas qui masque en partie son front d!attaque. Plusieurs bataillons autrichiens se rendent. Mais l!Archiduc Charles mène en personne la contre-attaque