Bataillons de la Jeunesse

Il y a illustré des formes de l’amour et de l’amitié, de la tendresse fraternelle, qui sont celles auxquelles il est resté fidèle toute sa vie. Les grands thèmes, celui de la désillusion, celui de l’éducation sociale, sont ceux qui ont hanté sa jeunesse et sa vie d’homme mûr. Ayant besoin d’une industrie et d’un décor, il a choisi ceux qui avaient laissé dans sa mémoire une trace inoubliable. Jusque dans ses plus petits détails, il trahit le besoin d’une référence constante à ses propres souvenirs

des beautés inconnues : Des visages rongés par les chancres du cœur, Et comme qui dirait des beautés de langueur ; Mais ces inventions de nos muses tardives – 20 – N’empêcheront jamais les races maladives De rendre à la jeunesse un hommage profond, – À la sainte jeunesse, à l’air simple, au doux front, À l’œil limpide et clair ainsi qu’une eau courante, Et qui va répandant sur tout, insouciante Comme l’azur du ciel, les oiseaux et les fleurs, Ses parfums, ses chansons et ses douces chaleurs

peuples anciens des beautés inconnues : Des visages rongés par les chancres du cœur, Et comme qui dirait des beautés de langueur ; Mais ces inventions de nos muses tardives N’empêcheront jamais les races maladives De rendre à la jeunesse un hommage profond, – A la sainte jeunesse, à l’air simple, au doux front, A l’œil limpide et clair ainsi qu’une eau courante, Et qui va répandant sur tout, insouciante Comme l’azur du ciel, les oiseaux et les fleurs, Ses parfums, ses chansons et ses douces chaleurs

anciens des beautés inconnues : Des visages rongés par les chancres du cœur, Et comme qui dirait des beautés de langueur ; Mais ces inventions de nos muses tardives – 20 – N’empêcheront jamais les races maladives De rendre à la jeunesse un hommage profond, – À la sainte jeunesse, à l’air simple, au doux front, À l’œil limpide et clair ainsi qu’une eau courante, Et qui va répandant sur tout, insouciante Comme l’azur du ciel, les oiseaux et les fleurs, Ses parfums, ses chansons et ses douces chaleurs

retrouve avec une pression terrible dans une espèce de « seringue sociale » pour apprendre, face à des jeunes qui n’ont plus - ou pas, ou pas vraiment- envie d’apprendre, ou en tout cas qui considèrent qu’ils ne peuvent pas apprendre sur « ordre », en bataillons bien rangés, intégrant et s’appropriant les savoirs, parce que les adultes le décréteraient à un moment donné. 8» L’École de la République : un modèle qui ne s’applique plus, pourquoi ? Marcel Gauchet, décrit à travers un entretien publié dans

peuples anciens des beautés inconnues: Des visages rongés par les chancres du cœur, Et comme qui dirait des beautés de langueur; Mais ces inventions de nos muses tardives N'empêcheront jamais les races maladives De rendre à la jeunesse un hommage profond, - A la sainte jeunesse, à l'air simple, au doux front, A l'œil limpide et clair ainsi qu'une eau courante, Et qui va répandant sur tout, insouciante Comme l'azur du ciel, les oiseaux et les fleurs, Ses parfums, ses chansons et ses douces chaleurs

Il y a illustré des formes de l’amour et de l’amitié, de la tendresse fraternelle, qui sont celles auxquelles il est resté fidèle toute sa vie. Les grands thèmes, celui de la désillusion, celui de l’éducation sociale, sont ceux qui ont hanté sa jeunesse et sa vie d’homme mûr. Ayant besoin d’une industrie et d’un décor, il a choisi ceux qui avaient laissé dans sa mémoire une trace inoubliable. Jusque dans ses plus petits détails, il trahit le besoin d’une référence constante à ses propres souvenirs

Il y a illustré des formes de l’amour et de l’amitié, de la tendresse fraternelle, qui sont celles auxquelles il est resté fidèle toute sa vie. Les grands thèmes, celui de la désillusion, celui de l’éducation sociale, sont ceux qui ont hanté sa jeunesse et sa vie d’homme mûr. Ayant besoin d’une industrie et d’un décor, il a choisi ceux qui avaient laissé dans sa mémoire une trace inoubliable. Jusque dans ses plus petits détails, il trahit le besoin d’une référence constante à ses propres souvenirs

6 KARL LUDWIG VON HALLER (1768-1854) ou le retour au passé Son grand père: Albrecht von Haller. Aristocrate, juriste, professeur de droit à l'Académie de Berne. Il fut attiré par les Lumières mais le Romantisme reprit le dessus! (Erreur de jeunesse!) Il justifie le retour à l'Absolutisme et devient catholique (à Berne!!!) mais s'exile à Fribourg et écrit La Restauration de la Science politique. Surnom: "Haller le Restaurateur". 1815-1830( La Restauration, Haller est le seul Suisse à donner

anciens des beautés inconnues: Des visages rongés par les chancres du cœur,  Et comme qui dirait des beautés de langueur; Mais ces inventions de nos muses tardives N‘empêcheront jamais les races maladives De rendre à la jeunesse un hommage profond, - A la sainte jeunesse, à l‘air simple, au doux front, A l‘œil limpide et clair ainsi qu‘une eau courante, Et qui va répandant sur tout, insouciante Comme l‘azur du ciel, les oiseaux et les fleurs, Ses parfums, ses chansons et ses douces chaleurs!