Baudelaire Le Desespoir De La Vieille

Sonnets, (1597)Texte 2 : Arthur RIMBAUD, Poésies, « Le Dormeur du val », (1870).Texte 3 : Victor HUGO ,Les Châtiments, Livre II, 3, « Souvenir de la nuit du 4 », (1852).Texte 4 : Paul VERLAINE, Poèmes Saturniens, "Melancholia", VI, (1866). | -Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal, Tableaux parisiens, « Rêve parisien », (1861).-Victor HUGO, Les Orientales, « Rêverie », « Les Djins », strophes 1 à 8,(1829).-Maurice ROLLINAT, Les Névroses, « La Bibliothèque », 1883.-Aloysius BERTRAND, Gaspard de la nuit,

d’autres encore la question de l’argent. Activité 2 : proposer ensuite de lire le texte de Baudelaire. Un rappel est peut-être nécessaire pour présenter son travail de critique. Leur poser ensuite la question suivante : Baudelaire a-t-il la même approche de la mode que la vôtre ? Que représente-t-elle pour lui ? Le texte propose deux idées très importantes chez Baudelaire, la première est que la mode est significative d’une époque, et en cela, elle est éphémère

Ethnologues prétendent volontiers que les vieux acceptaient facile mort infligée parce que c’était la coutume. Optimisme justifié ? 2 contre exemples Narayama (nom montagne) roman japonais inspiré de faits réels dans lequel Fukasawa évoque la fin du vieille femme . Villages si pauvres dans certains coins du japon que pour survivre sacrifice vieillard transportés dans les « montagnes de la mort » O’Rin encore toutes ses dents honte dans un village qui manque de nourriture, inutile parce que deux femmes

dans le temps et dans l’espace.              De par son inspiration hétéroclite, le poète mélange savamment les strophes pathétiques, tragiques, lyriques, satiriques et des strophes bouffonnes sans toutefois ignorer les passages épiques exhumant de vieilles légendes rhénanes et des chansons vulgaires puisées inévitablement dans les us et coutumes les plus populaires, portant l’imitation du célèbre poète François Villon ou des romantiques les plus représentatifs. Dans ce contexte, le recueil de poèmes

Faust pour un pacte avec le Diable. Ensuite, il relatera le récit ses voyages, plus développées dans la version originale qu’en anglais, ainsi que ses exploits de magicien, enfin la transcription pathétique de ses derniers moments marqués par le désespoir et l’horreur de sa damnation. En Angleterre –comme dans toute l’Europe- l’histoire a un succès phénoménal, mais surtout en Allemagne où, au XVII° et XVIII° siècle, Faust est représenté dans des foires et dans des théâtres de marionnettes. La farce

d’affaires (1845) 62 Les paysans (posthume, 1855) 63 Eugène de Rastignac, personnage balzacien 64 L'ascension de Rastignac dans la Comédie Humaine 65 Le Cabinet des Antiques 66 Le portrait de Benassis 67 Analyses 69 Baudelaire à propos de Balzac 70 Balzac, vu par Baudelaire 71 Extrait du discours de Victor Hugo sur la tombe de Balzac, le 21 août 1850: 73 Les métamorphoses du pacte diabolique dans l'ouvre de Balzac. 75 Pour une Esthétique du personnage : Balzac et le problème de la représentation

n’y paraît, car imiter peut se comprendre en deux sens très différents : a) Ou bien comme une sorte de souci de réalisme très cru, comme une simple photocopie sociologique de la réalité. On devrait alors voir sur le tableau les verrues de la vieille femme, la laideur des visages, comme dans le roman la misère du peuple, la bêtise du bourgeois, l’arrogance de l’aristocrate, ma médiocrité ordinaire. Sans le moindre souci de travestir ou d’idéaliser quoi que ce soit, ni même d’y rechercher une quelconque

nous pousse, dans l’époque qui est la nôtre, aux exils passagers ou durables : engagements humanitaires, études à l’étranger, défis lointains, expatriations, déceptions, relations amoureuses…chacun de ces exils sont une « odyssée moderne ». Quand Baudelaire affirme que «Les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent / pour partir »4, François Mauriac répond en se demandant si ces voyageurs n’auraient aucun autre motif, s’il n’en trouve pas, « il leur reste toujours celui-là : ils ne peuvent se

aussi, ms surtout contre la monarchie. Une révolution dépréciée : Quelques mois de bouleversements, une année de révolution. 1848 nous parait être une révolution oubliée ou dépréciée par rapport à 1789, 1871 ou encore 1917. Quarante-huitards et vieilles barbes : en 1848, la barbe était le symbole d’anarchie d’une jeunesse émancipée. Cette expression fut couramment usitée vers la fin du Second Empire et sous la IIIe République pour désigner les vétérans prophétiques et grondeurs parce qu’ils étaient

l’heure solennelle Où l’âme aime à chanter son hymne le plus doux. Voyant la nuit si pure, et vous voyant si belle, J’ai dit aux astres d’or : Versez le ciel sur elle ! Et j’ai dit à vos yeux : Versez l’amour sur nous ! « Les ténèbres », Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, 1857 Dans les caveaux d’insondable tristesse Où le Destin m’a déjà relégué ; Où jamais n’entre un rayon rose et gai ; Où, seul avec la Nuit, maussade hôtesse, Je suis comme un peintre qu’un Dieu moqueur Condamne à peindre,